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SUD
Une brise souffle sur les lignes estudiantines d’une Afrique de braises
Urgente rafale d’un Che qui flash sur les pulsions sociales du bitume
Une certaine presse malsaine manipule la rigueur des matinées solidaires
Sur le dos des controverses ombiliquées d’une démocratie de façade.
Et la nostalgie des terres dégarnies refuse aux larbins de la médiocrité
La succulence des perles lumineuses
Et la poudre ouate nos misères calées sur le versant nord oublieux
Du suc séculaire des braves témoins du sommeil des océans
Les ondes ouvrières électrisent le quotidien mystérieux des forêts irrédentistes
Avec le lugubre son de la souffrance
Elles caressent le doute martial de la mort dans les rizières assoiffées du soir
Jusqu’à l’arrivée du phénix porteur de l’agenda du cauchemar
Et puis l’improviste bouffeur de terres s’oppose au pouvoir du balafon
L’Est n’étant plus le repère du fils
Car le chaos méthodique est une génératrice du rugissement des pères putatifs
Qui reportent leurs passions monumentales sur les rives coléreuses
Pas un trou pas un coin pas un recoin pour dissimuler les masques du délit
La déontologie foudroyante a fini d’installer son quatrième tour
Sur les cimes de la fatale défaite des criminels
Pendant que la déliquescence des ténèbres annonce le triomphal vent du SUD
Talla SYLLA
TALLA tu as de la reconnaissance, de la fidélité, mais en plus tu es un homme entier