Louga : appuis à la presse. Des journalistes de la région tirent déjà la sonnette d’alarme…

L’imminence de la disponibilité, de l’éclatement et de la clé de répartition de l’appui spécial accordé à la presse dans ce contexte économique difficile de la pandémie du Coronavirus aiguise déjà les appétits et ouvre toutes les hypothèses dans le milieu des hommes de média. 
C’est ainsi que des débats rotatifs sont fréquemment animés par les intéressés pour éviter les discriminations négatives, les divisions de la corporation principalement les responsables des radios communautaires et de la presse en ligne qui ?jouent un rôle inestimable dans les campagnes de sensibilisations et d’information lié aux consignes et aux respects des mesures préventives prises par l’Etat du Sénégal en vue d’endiguer  voire confiner les populations. Plusieurs heures et avec des moyens dérisoires ces journalistes à considérer comme de vrais patriotes méritent une attention particulière ».  Ce commentaire de notre confrère Achil Niang directeur de la radio communautaire Ndiambour FM et du site est largement partagé et trouve l’adhésion totale des invités de ce mardi 7 avril 2020 réunis sur le plateau de ladite station. Étaient présent Ama Dieng directeur de la radio FESFOP, Ablaye Baba Dieng directeur de la radio Leral FM, Oustaz Mouhamed Sall directeur des programmes de la radio lergui FM et Achil Niang. L’émission était animée par Baye Codé FAYE une personne ressource influente à Louga. Jusqu’à présent, le travail abattu à l’ombre par ces journalistes permet à l’opinons locale de respecter toutes les consignes édictées durant le temps du confinement. Pour ces raisons, beaucoup de gens estiment qu’ils ont droit à être aidés pour aider leurs auteurs. Selon Ama DIENG chaque édition de la mise en place de ce fond d’aide, des problèmes se posent et les victimes ne sont autres que les oubliés par des organismes chargés de distribuer ce qui est désormais institué. Les journalistes régionaux doivent être servis au même titre que les autres pour le travail qu’ils mènent sur le terrain, loin des bureaux climatisés ou des salles de rédaction bien outiller de la capitale sénégalaise. 

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