« Viviane n’est pas prête à arrêter la musique », écrit « L’Observateur ».
« L’Observateur » indique que « le suspense n’aura duré que le temps d’un week-end. Après le « miracle » qu’elle a vécu à Touba, lors du Grand Magal, Viviane Ndour a décidé de poursuivre sa carrière musicale. Un ouf de soulagement pour ses fans qui, à un moment donné, avaient cru ne plus pouvoir entendre la reine du jolof band crier « wuy yaayooy ». « Elle n’arrêtera pas sa carrière », a précisé son mari et manager, Bouba Ndour. Une déclaration suivie d’une salve d’applaudissements dans une salle qui avait du mal à contenir son monde, majoritairement composé de jeunes filles. « Je vais toujours continuer à chanter », a confirmé l’intéressée qui promet de dédier prochainement une chanson à Serigne Fallou Mbacké ».
« Walf Grand-Place » ajoute qu’après avoir vu Serigne Fallou sur son iphone, « Viviane arrête d’exhiber sa belle plastique ».
Dans « Walf Grand-Place », Bouba Ndour déclare : « il y aura des changements, surtout pour le côté vestimentaire. Même si en tant que son époux, cela ne m’a jamais dérangé qu’il y ait du bruit sur sa manière de s’habiller ».
« Kotch » confirme : « Viviane Ndour range ses tenues sexy au placard ». « Après l’apparition supposée d’une photo de Serigne Fallou Mbacké sur son téléphone, la star du Jolof band promet de ne plus porter de tenues sexy », écrit « Kotch ».
Viviane déclare dans « Kotch » : « j’ai eu la sensation que si je ne me rends pas à Touba cette année, je ne le ferai plus. J’ai même pensé en un moment que j’allais mourir. Mais c’était sans savoir que c’était une grâce qui devait venir à moi ».
Viviane ajoute dans « Walf Grand-Place » : « ce que j’au vécu m’a dépassée. J’étais catholique et c’est Serigne Saliou qui m’a reconverti à l’islam. Mieux, il m’a logé deux semaines durant dans la chambre de sa première épouse avant de me donner le prénom de Mame Diarra Bousso ».
Ce qui fait dire au journal « Le Quotidien » que « Viviane Ndour redevient Mame Diarra ».
« Le Quotidien » note également que le parti politique « jëf-jël » traverse une crise.
« Le feu couve chez Talla Sylla », écrit « L’Observateur ».
« Mously Diakhaté dénonce le putsch de Talla Sylla », écrit « Le Quotidien ».
« Mously Diakhaté rue dans les brancards », ajoute « L’Office ».
En fait, précise « Le Soleil », « la présidente du mouvement national des femmes du jëf-jël, Mously Diakhaté, dit non aux nominations intervenues à la tête de son parti après le départ de Talla Sylla. Elle juge « inélégante et illégale » la décision du bureau politique de Jëf-Jël ».
Dans « Le Populaire », « Mously Diakhaté se démarque de la candidature de Talla Sylla à la présidentielle de 2012 et de la réorganisation de la direction du Jëf-Jël ».
Ce qui fait dire à « Walfadjri » que « Jëf-Jël (est) divisé par 2012 ».
La crise énergétique est toujours au cœur des journaux.
« L’Observateur » écrit que « Itoc refuse 10.000 tonnes de fuel à Karim Wade, la Senelec radie la procédure judiciaire ».
« L’As » confirme l’information de « L’Observateur » et ajoute que « Karim et Itoc » sont hors du tribunal pour une expertise ».
« Kotch » se demande « à qui profite le mensonge sur le combustible suspect ».
« Déjà martyrisés par les délestages outranciers que lui impose la Société nationale d’électricité du Sénégal (Senelec), les abonnés de cette société deviennent depuis quelques jours des témoins impuissants d’une fable qui théorise à nouveau l’existence d’un combustible à la qualité suspecte issu d’un fournisseur. Ce qui expliquerait en même temps les coupures de courant en cours et ceux à venir. Or, à écouter les protagonistes de cette fable étaler leurs arguments, il n’y a aucun doute sur l’existence d’une manœuvre inique autour d’un gros mensonge. Ce qui est un mauvais présage pour les usagers de l’électricité de la Senelec qui retiennent leur souffle. La nouvelle histoire de combustible suspect signifie tout simplement une prolongation des coupures de courant », croit savoir « Kotch ».
Dans « L’As », « L’Office » et « Le Populaire », « Moustapha Niasse donne des solutions à la crise énergétique ».
« Moustapha sort la niasse formula » dans « Le Quotidien ». Il propose « la réduction de 30 à 40% du budget de la Présidence et la diminution de 50% des frais de voyage de Wade et des perdiem de son staff » pour que la Senelec soit sauvée.
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