Xalimasn.com
Pour Karim Wade ce qui s’est passé en Tunisie et en Egypte ne peut arriver au Sénégal. « Pourquoi avoir peur ». « Nous sommes un pays de paix » a t-il déclaré ce dimanche soir sur le plateau de la RTS1 lors de l’émission du « Grand – Débat » . Pour le fils du président, il y a des gens qui souhaitent que le Sénégal se plonge dans la violence comme en Tunisie, Egypte, Irak et en Afghanistan. Mais c’est peine perdue: « parce que chaque jour, il y a des gens qui travaillent…. On est entrain de construire le pays. Je me sens à l’aise au Sénégal » a t-il assuré.
Pour le super ministre « il y a aucun doute » sur la candidature de son père à la prochaine élection présidentielle de 2012. D’ailleurs : « mon ambition est de réélire le président » de la République affirme t-il
K J S
Le gouvernement sénégalais est décidé à encourager les consommateurs à économiser l’énergie et ne va donc pas dans l’immédiat autoriser une hausse du prix de l’électricité, a indiqué, dimanche à Dakar, le ministre d’Etat, ministre de la Coopération Internationale, des Transports Aériens, des Infrastructures et de l’Energie Karim Wade.
« Il n’y a pas d’augmentation pour le moment du prix de l’électricité. Nous allons par contre pousser les consommateurs à économiser l’énergie », a affirmé M. Wade qui était l’invité dimanche soir de « Grand Débat », une émission de la Radiotélévision sénégalaise (RTS, publique).
« Nous allons même mettre en place une nouvelle tarification afin de donner un bonus aux consommateurs qui feront des économies d’électricité et sanctionner les consommateurs négligeant qui eux paieront plus cher », a-t-il précisé.
« Nous allons ainsi donner un bonus aux consommateurs qui font des efforts en utilisant des LBC (lampes à basse consommation) et en se dotant de compteurs prépayés et (au contraire) ceux qui n’utiliseront pas de LBC et de compteurs prépayés seront pénalisés avec une facturation plus élevée », a-t-il dit. Il a laissé entendre que le gouvernement a opté pour le fioul lourd, le charbon, le gaz et l’hydraulique.
En effet, a-t-il expliqué, le coût au kWh du solaire, estimé à 125 FCFA, est pour le moment trop élevé. Le gouvernement accompagnera les projets solaires et d’énergie renouvelable mais plus pour des capacités d’appoint.
La deuxième raison qui fait que le Sénégal ne peut, pour le moment, opter pour le solaire est liée au fait qu’on « ne peut reconstruire le cœur de la production d’électricité du Sénégal (les centrales de SENELEC) avec le solaire mais (plutôt) avec des technologies stables parfaitement maîtrisées et dont nous connaissons le rendement et les performances ».
Selon lui, « les pays qui développent actuellement le solaire ou les énergies renouvelables comme l’Espagne et l’Allemagne ont en même temps des centrales thermiques et/ou nucléaires, et l’énergie solaire n’intervient que comme une énergie additionnelle et d’appoint ».
Il a toutefois plaidé pour le solaire individuel qui permet au consommateur de se doter par exemple d’un chauffe-eau solaire ou d’équipements solaires. « C’est d’ailleurs ce que nous sommes en train de faire. En tant que ministre également chargé des infrastructures, j’ai donné des instructions pour que les routes de Ouakam et de l’aéroport soient éclairées par des poteaux solaires pour soulager financièrement la mairie de Dakar et le contribuable sénégalais », a expliqué M. Wade.
Le ministre de la Coopération internationale, des Transports aériens, des Infrastructures et de l’Energie Karim Wade a plaidé, dimanche à Dakar, en faveur d’un consensus national à propos de la crise de l’énergie à laquelle le Sénégal fait face présentement et qui a nécessité des audits et l’élaboration d’un plan d’urgence – plan de restructuration et relance du secteur de l’énergie- intitulé « Plan Takaal ».
S’exprimant dimanche soir dans le cadre de l’émission « Grand Débat » de la Radiotélévision sénégalaise (RTS, publique) le ministre d’Etat Karim Wade a annoncé qu’il avait décidé de rencontrer très rapidement des leaders de l’opposition pour leurs présenter ce plan d’urgence.
« J’ai l’intention d’aller très rapidement rencontrer, en présence du Comité de relance et de restructuration, l’ensemble des leaders politiques de l’opposition qui sont très concernés par ce dossier (afin) de leur présenter ce plan et recueillir leurs commentaires et suggestions », a-t-il déclaré. Selon lui, cette question relève de l’intérêt national et ne devrait donc pas être politisée.
« Il nous faut travailler tous pour un Sénégal émergent, compétitif où tout le monde aura de l’électricité », a-t-il dit. Il a ensuite passé en revue les cinq volets de ce plan conçu à partir du diagnostic fait par des cabinets de renommée internationale commis à cet effet.
Le premier volet présenté est relatif au renforcement des capacités de production de 150 MW par la location temporaire des centrales. La volonté de l’Etat, selon M. Wade, est de substituer le plus rapidement possible et à très court terme cette location par l’acquisition de capacités durables qui permettront à la SENELEC d’arrêter certaines centrales existantes comme les turbines à gaz (TAG) et les centrales à vapeur dont les coûts d’exploitation sont très élevés.
Le deuxième volet du plan concerne la gestion de la demande dont la maîtrise permettra au Sénégal d’économiser 35 milliards de FCFA, soit le prix d’une centrale de 70 MW grâce à la généralisation des lampes à basse consommation (LBC).
On rappelle, à cet égard, le décret présidentiel pris récemment pour interdire l’importation et la production des lampes à incandescence sur l’ensemble du territoire national à partir du 1er mars. Ce volet prévoit aussi, selon le ministre de l’Energie, l’instauration d’une nouvelle tarification dont l’objectif est de pousser les clients de la SENELEC à économiser leur consommation en électricité.
La restauration de la crédibilité de la SENELEC et le rétablissement de la confiance entre la SENELEC et sa clientèle, troisième volet du plan décliné par M. Wade, se fera par le déploiement de compteurs prépayés et intelligents. Ce qui permettra aux consommateurs de recevoir des factures qui reflètent avec exactitude leur consommation.
Le quatrième volet concerne la sécurisation des approvisionnements en combustibles de SENELEC à travers un Fonds spécial de soutien à l’énergie (FSE), alors que le cinquième et dernier volet est relatif à la restructuration financière de la SENELEC dont le passif est estimé à 286 milliards de FCFA. Cela passe par la recapitalisation de la société, a indiqué le ministre de l’Energie.
APS
ok continue d y croire fils de despote le reveil sera brutal pour vous votre basse cours; demain fera jour inchalah :
can foul some people sometime but not all the time
Ok La tunisie tes les autres pays ne sont pas des pays de paix
c vraie k le senegal est un pays de paix mais ablaye wade est sa famille commencent détériorer cette paix
c vrai k le senegal est un pays de paix mais wade et sa famille commencent à la détériorer dà cause de l’iniquité.
c vrai k le senegal est un pays de paix mais wade et sa famille commencent à la détériorer à cause de l’iniquité.
Tu essaies de te donner bonne conscience en croyant ke ça n’arrivera jamais au Sénégal.
Ton père nous fait beaucoup de tort, déjà k’il a déclaré publiquement que tu es le plus intelligent de nous tous.
Et nos pères, ils en ont pensé koi, tu crois.
Mais laissez mouton pisser, tabaski viendra.
mai bien sur sa peu arrive chez nous vu la pauvrete le chomage des jeune qui sont demoralise de tout les ministre ki sont des incapables des voleurs qui pense ka leur gueule sa va arrive
il y a juste un moi Gamal Moubarak avait les mêmes certitudes, il se voyait déjà dans les habits de son père qui disait que c’était le plus travailleur des égyptiens. QUI VIVRA VERRA
« Nous sommes un pays de paix », je trouve l’argument très léger. Il faut surtout essayer de prendre le devant avant qu’il ne soit trop tard. Il règne au Sénégal une telle injustice sociale que les choses finiront par bouger.
Avant d’economiser l’energie khana dangua koy amme ba parre. karim tu ne nous decois pas puisqu’on attendait rien de positif de toi. Vivement fevrier 2012.
Ce sont les Sénégalais qui doivent être fiers de vous. Ceux qui ont la liberté de vous critiquer, doivent aussi avoir l’élégance de reconnaitre vos succès. Après les routes, les autoroutes, les hôtels de luxe, les échangeurs , la nouvelle compagnie aérienne en attendant l’aéroport de Diass, l’autoroute à péage, l’électricité et les autres questions d’ordre social.
Vos réalisations ont positivement impacté sur la vie des populations aussi bien à Dakar qu’à l’intérieur du pays. Je n’en veux pour preuve que le temps court que j’ai mis pour rallier Bakel la semaine dernière. Rien que pour ces réalisations , les Sénégalais gagneraient à vous faire confiance.
vivement le mouvement de soutien : KFSP »Karim Fidèle Serviteur du Peuple »pour la réélection du président Wade en 2012.