Epinglé pour des dépenses de prestige, l’ancien maire de Mante-La Jolie dit avoir offert des cadeaux à Macky Sall

Ceux qui se ressemblent, s’assemblent et les bons comptes font toujours les bons amis. Ce gus et son copain notre « chef de clan national », ont cette manie d’utiliser l’argent du contribuable à des fins personnelles, criminelles, sans aucun souci pour les masses laborieuses. Ailleurs ce maire s’est servi des fonds municipaux qui lui ont été alloués, pour s’offrir une virée princière et risque certainement de le payer cher, car la justice de son pays est fiable pour ce faire. Ici on note une dilapidation éhontée de nos maigres deniers par un président qui d’entrée de jeu se délecte avec un fond politique dont le montant frise l’indécence, au regard de la misère endémique que vit une grande partie de sa population. Sans compter son salaire, ses avantages et la prise en charge de ses nombreux voyages et autres villégiatures trop onéreux sur le compte du contribuable sénégalais. Mais aussi la prise en charge de toute son équipe, son personnel et ses autres collaborateurs ou conseillers pléthoriques. Son gouvernement, ses députés et conseillers, ses institutions politiques futiles et budgétivores, on comprend mieux pourquoi 5/100 des agents de l’état(la haute administration) se tapent 50/100 de la masse salariale globale de l’état.
C’est une véritable république de la bamboula de ses dirigeants, avec « le patio » qui consacre un partage très inégal et inéquitable du « gâteau » Sénégal. Les plus grands bouffons se taillent la part du lion, tandis que les plus méritants qui triment et suent le plus, se retrouvent avec des miettes.
Ici à « Ndoumbélane », les singes sont entrain de piller et saccager la république, profitant du temps de sommeil du lion. Ils peuvent encore jubiler et continuer leur sinistre fiesta tant que durera ce moment léthargique. Cependant le réveil du lion risque de s’avérer particulièrement fatal pour cette bande de prédateurs et rapaces insatiables, systématiquement abonnés aux forfaitures en bandes organisées. Laissons le temps au temps, la révolution s’opérera sans doute dans ce pays, pour venir à bout de ce système criminel.