XALIMANEWS-L’avenir d’Arkadiusz Milik peut s’écrire loin de Marseille. Outre la Juventus, l’international polonais, serait dans le viseur du Paris Saint Germain, ennemi juré de l’OM.
L’international polonais, Arkadiusz Milik (27 ans), auteur de 6 buts en 12 rencontres toutes compétitions confondues avec l’Olympique de Marseille, a bien redynamisé la ligne d’attaque de la formation phocéenne. Mais malgré ses bonnes performances, l’ex coequipier de Kalidou Koulibaly à Naples, risque de ne pas faire long feu sur les bords de la Canebière. L’accord de prêt comprend certains alinéas mettant l’OM en mauvaise posture.
Avant de le prêter au club français pour 18 mois, Naples a prolongé le contrat de l’attaquant d’une saison, jusqu’en juin 2022. Milik ne reviendra sans doute jamais chez les Partenopei. Une option d’achat obligatoire fixée à 10 M€ (plus bonus) a été glissée. La direction de l’OM devra s’en acquitter… pour mieux revendre le joueur. Car une autre clause indique une revente immédiate à hauteur de 12 M€. En d’autres termes, Arek ne va jouer que six mois à Marseille.
La situation du polonais attirerait Leonardo, le directeur sportif parisien, qui souhaiterait l’enrôler, en cas de départ d’Icardi. La Juventus réfléchirait à réformer son attaque pour la saison prochaine et dispose de deux autres cibles de choix. Il y a Moise Kean, formé chez les Bianconeri, qui appartient désormais à Everton mais actuellement prêté au PSG, et Mauro Icardi. Depuis l’été dernier, l’Argentin est pleinement un joueur parisien, après avoir été prêté une saison par l’Inter et il se murmure qu’un départ serait déjà à l’ordre du jour.
En cas de départ de l’argentin, le Paris Saint Germain songerait à Milik pour le remplacer, et selon une information parue dans Footmercato et puisée dansTuttosport, le directeur sportif brésilien trouverait la situation contractuelle du Polonais très intéressante, notamment pour son tarif peu élevé, la fameuse clause à 12 M€. Le média italien précise que pour le moment, il n’y a qu’un intérêt du PSG et pas d’offre concrète. Néanmoins, l’intérêt existe. L’avenir nous dira si c’est le club de la capitale qui renflouera les caisses de son meilleur ennemi.