spot_img

Troisième mandat:  » La candidature de Macky Sall en 2024 dépend des résultats de 2022″ selon Mahmoud Saleh

Date:

 » La candidature de Macky Sall en 2024 est dans les résultats de 2022″, c’est la déclaration faite, hier dimanche, par Mahmouth Saleh, ministre d’Etat et chef de Cabinet du président Macky Sall à Mbour. Face aux responsables et militants de la coalition Benno Bokk Yakaar de ladite localité. Selon l’observateur, Mahmouth Saleh a levé un coin du voile sur la candidature de son leader pour un autre mandat en 2024.  » Les Élections locales à venir, ne seront locales que de nom. C’est des élections politiques, c’est des élections nationales, peu importe, la personne qui incarne notre liste. Elle n’est pas déterminante. C’est l’enjeu politique contenu dans les élections qui est déterminant. Nos résultats vont trancher le débat sur la candidature de Macky Sall à la présidentielle de 2024. Si on perd ces élections ce n’est pas le peine de continuer. Mieux vaut rendre tablier. Ces élections vont vont déterminer notre avenir politique en 2024″ a-t-il avoué devant les responsables de Benno de Mbour.

3 Commentaires

  1. Et les résultats de 2022 sont dans la fraude. Macky Sall et BBY n’ont gagné aucune élection au Sénégal de Mai 2012 à ce jour. Ils ont fraudé toutes les élections et consultations. Et cela ne va pas changer. Surtout pas quand ils savent ce qui les attend s’ils quittent le pouvoir.

  2. Décidémment Sonko fait perdre la tête ces bandits.
    écoutez bien ce que ce Mr Saleh dit : « Sonko est nihiliste, il ne respectecte aucune institution. »
    aprés il dit encore : « le 3èm mandat dépent des résultat des éléction locale » donc en d’autre terme ce mr vient de cracher sur la consitition qui dit que « Nul ne peut faire plus de 2 mandat consecutif »
    hahahahaha Sonko haa bari dolé, si le chef de cabinet du président qui délire à ce point, on comprend pourquoi ta vie est menacé.
    mais ce sont des gamin qui lance des ballon de sonde, ils ont du mal à admettre que le peuple les ont vomi depuis les événement de Mars.

  3. Aborder la question du 3e mandat de cette façon cavalière et si légère met à nue et témoigne de l’énormité de la faiblesse des facteurs limitants institutionnels (parlement, Justice, société civile et opposition politique) et internationale (CEDEAO, UA). Elle relève d’une motivation purement personnelle voire dictatoriale. Le contournement de limite de mandat fragilise la gouvernance, les institutions et les clubs des dictateurs sensés incarner l’unité africaine régionale et continentale. Non, il faut s’en tenir au respect de la limitation de mandat vu ce qui prévaut : : corruption, délabrement des mœurs, faiblesse institutionnelle, bâillonnement du jeu démocratique et politique et des violences inévitables inhérentes au processus. Une tare éhontée à exorciser, à subjuguer et à éviter absolument pour le plus grand bien du pays, pour la stabilité pacifique et sociale. Il a réduit la durée cumulée de deux mandats de 14 à 10 ans. Alors, pourquoi vouloir faire 17 ans? Il faut de la cohérence et de la suite dans les idées. Le respect strict de deux mandats est une question de principe républicain et non découlant de probabilité aléatoire.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

spot_img

DEPECHES

DANS LA MEME CATEGORIE
EXCLUSIVITE