XALIMANEWS-Le palmarès du prix du roman gay 2021 a été proclamé à Paris le 12 novembre dernier.
L’écrivain Sénégalais Mohamed Mbougar Sarr, Prix Goncourt 2021, a été récompensé par le Prix du prix littéraire, en tant qu’auteur, entre autres du roman De purs hommes (P. Rey), traitant de l’homosexualité et de l’homophobie au Sénégal.
Pour rappel, le prix du Roman gay a été créé en 2013 à l’initiative de l’Association Verte Fontaine et des Éditions Du Frigo. Il s’agit de récompenser des romans (déjà édités et diffusés) de langue française originale et appartenant à une littérature d’inspiration homosexuelle masculine. Depuis 2015, ce prix littéraire est ouvert à tous les pays francophones ou en partie francophones.
Parler de l’homosexualité et être primé dans un pays où le mariage homosexuel est légalisé est forcément très suspect et source de polémique dans un pays croyant comme le notre – malgré nos tares. Oui, l’homosexualité suscite presque toujours une réaction de répulsion chez les croyants, toutes confessions confondues ; il ne peut pas en être autrement, car en vérité, toutes les religions monothéistes (Islam, Christianisme et Judaïsme) la considèrent comme une perversion, un fléau grandissant qu’il faut nécessairement condamner ; et tout cela fait qu’il est quasi impossible d’en parler s’en s’attirer les foudres de certains défenseurs des ‘’droits de l’homme’’ dits ‘’progressistes’’, au nom de la laïcité et d’une certaine ‘’démocratie sexuelle’’. Indéniablement, l’homosexualité est une turpitude qui remonte à l’époque du Prophète Loth (contemporain de Abraham) ; elle fut à l’origine de la malédiction de Sodome et Gomorrhe – un terrible cataclysme rapporté dans la Bible et le Coran [(27. Les Fourmis : 57-58 – An-Nahl) ; (11. Houd : 74-83 – Hoûd) ; (27. L’Araignée : 28-35 – Al-Ankabût). Bible : (Genèse 18-19) ; (1 Corinthiens 7 : 9-11)]. Ainsi, l’homosexuel qui court un risque certain pour lui-même, constitue aussi un danger pour son entourage, du fait que le châtiment divin n’afflige pas exclusivement les injustes (8. Le Butin : 25 – Al-Anfâl) : et selon le Prophète (PSL) : « Il n’est pas un peuple qui ne soit ouvertement livré à la débauche sans que la peste (fléau ou ‘’plaies’’) ne l’ait frappé, ainsi que des maladies qu’ignoraient ses ancêtres ». Et c’est dire que la pratique d’une turpitude comme l’homosexualité et surtout sa généralisation et sa manifestation ouverte dans la société doivent être l’affaire de tous – Un motif légitime d’inquiétude et d’indignation, surtout en ces temps-ci où certains lobbies occidentaux font tout pour la promouvoir dans monde entier. Oui, on ne peut pas être un vrai croyant et être indifférent à la généralisation de la turpitude et des actes blâmables ; ce serait contribuer à leur légitimation et donc à leur propagation …
Toi tu es un gros idiot Bamba Ndiaye ! Ta place est dans une asile de fous ! Où est la relation entre parler de l’homosexualité dans une fiction et défendre l’homosexualité ? Le problème de tous nos salafistes nègres c’est qu’ils font toujours bêtement des raccourcis idiots, des calomnies indignes, des associations malhonnêtes. Les connards comme les Dame Mbodj, les Mame Matar Guéye et son business familial de Jamra, les Imam Ndao, les Karim Xrum cancer, les Cheikh Omar Diagne, les oustax Makhtar Sarr ou Iran Ndao et consorts sont tous des complexés nègres de leurs maîtres arabes ! Nous sommes des négro-africains et fiers de l’être ! Tous ces vauriens gueulards qui n’ont jamais rien foutu dans leur vie ni jamais été utile au pays se mettent à nous bassiner de bêtes discours obscurantistes et anachroniques. De vrais attardés mentaux ! Mbougar Sarr est une fierté nationale et internationale. Les autres africains, les noirs américains, les africains d’Europe, ont tous exprimé leur fierté de voir un jeune africain atteindre une telle consécration ! Il faut être un méga idiot sahélien pour taxer Mbougar Sarr de défendre l’homosexualité, comme si vous n’étiez pas foutu de lire un roman ! Comme si un roman parlait de voleurs, son auteur défendait les voleurs ! Comme si un roman parlait d’un viol, son auteur défendait les violeurs. Pauvres cons à contre-courant de l’histoire…