Laurent Gbagbo a été arrêté par les Forces d’Alassane Ouattara soutenues par l’Onuci et la force Licorne, selon le ministère français de la Défense.
Selon une source diplomatique interrogée par FRANCE 24, le président sortant aurait été arrêté par les forces pro-Ouattara et non pas par la force Licorne.
L’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire confirme l’arrestation de Laurent Gbagbo.
Le chef de l’État sortant Laurent Gbagbo a été arrêté par la force française Licorne. Il aurait été remis aux troupes du président élu Alassane Ouattara et se trouverait actuellement à l’Hôtel du Golf, d’après des sources concordantes.
Laurent Gbagbo a été arrêté par les forces spéciales françaises et a été remis aux Forces de la rébellion, selon un conseiller du président sortant cité par REUTERS
Selon Marc Smith, l’envopyé spécial de FRANCE 24 en Côte d’Ivoire, « des centaines et des centaines de soldats pro-Ouattara exultent dans l’enceinte de l’hôtel du Golf » à Abidjan, tandis que de nombreux prisonniers sont acheminés dans l’enceinte. Les pro-Ouattara se sont jettés par terre pour embrasser le sol en criant « vive la liberté, vive la liberté ».
Le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo a été arrêté lundi par les forces spéciales françaises et a été remis à des chefs de la rébellion, a déclaré à Reuters son représentant pour l’Europe, Toussaint Alain.
« Le président Gbagbo a été arrêté par les forces spéciales françaises et remis à des chefs de la rébellion », a-t-il dit de Paris alors que des chars français venaient de pénétrer dans la résidence du président ivoirien sortant.
« Ces chefs de la rébellion ont été convoyés sur place par les forces françaises qui ont pénétré dans la résidence avec des chars », a-t-il ajouté. « Le président était dans son bureau ». FRANCE 24 tente de vérifier ces informations.
Le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo a été arrêté lundi par les forces spéciales françaises et a été remis à des chefs de la rébellion, a déclaré à Reuters son représentant pour l’Europe, Toussaint Alain.
« Le président Gbagbo a été arrêté par les forces spéciales françaises et remis à des chefs de la rébellion », a-t-il dit de Paris alors que des chars français venaient de pénétrer dans la résidence du président ivoirien sortant.
« Ces chefs de la rébellion ont été convoyés sur place par les forces françaises qui ont pénétré dans la résidence avec des chars », a-t-il ajouté. « Le président était dans son bureau AFP
A en croire France 24, de vingtaine de blindés français appuyés par un hélicoptère sont en route vers la résidence de Gbagbo où se livre de rudes combats entre forces Gbagbo et forces Ouattara.
Abidjan : opération terrestre de la force Licorne
Des véhicules de combat de la Licorne ont quitté la base militaire de Port-Bouët. La force française s’engage dans les affrontements qui font rage au centre-ville d’Abidjan, près de la résidence de Gbagbo.
La force Licorne et L’ONUCI semblent desormais engagés dans les combats au sol aux cotés des FRCI en plus de l’appui aérien apporté aux forces pro-ouattara.
XALIMASN.COM AVEC BFM TV
La PROPAGANDE est la stratégie de communication, dont usent DEMBEL, KODIO, PEULS, NOIRAFRICAIN pour changer la perception des évènements en CI.
D’une manière générale, DEMBEL, KODIO, PEULS, propagent à grande échelle des informations, FAUSSES et toujours partiales.
LA DÉSINFORMATION
La désinformation est définit comme: l’action d’informer faussement en donnant une image déformée de la réalité. La désinformation n’est pas nouvelle, elle existe depuis la nuit des temps. Sun-Tzu le grand stratège militaire chinois d’il y a 2,500 ans, reconnu son importance stratégique sous la forme de la déception en écrivant:
«Quand vous êtes apte donnez l’illusion d’être inapte,
quand vous êtes fort, donnez l’illusion d’être faible».
TYPES DE PROPAGANDES
Certains considèrent la publicité comme un type de propagande.
Cependant, la propagande est habituellement politique (nationaliste, stalinienne, militariste, etc.). Elle est multiforme (utilisation des différents médias) et peut être insidieuse. Dans le langage commun, la propagande équivaut à la désinformation mise au service d’une cause politique d’intérêts privés.
Les propagandistes cherchent à altérer l’opinion publique en faveur de leurs intérêts propres. Cette imposition d’une nouvelle perspective a pour objectif de modifier les actions et les espérances de la cible. La propagande complète les dispositifs de censure. Celle-ci opère dans le même but, mais de façon négative, par la sélection intéressée des informations favorables à l’interprétation voulue. La propagande procède par excès d’informations, alors que la censure joue d’un manque délibéré d’informations. Ce sont les deux faces d’une même stratégie de domination mentale, surtout utilisée dans les contextes de guerre. Ces deux types de manipulation sont interdépendants : la censure crée un besoin que la propagande s’empresse de combler, tandis que la propagande passe mieux en l’absence d’éléments Ce qui distingue la propagande des autres formes de recommandation est la volonté du propagandiste de changer la compréhension des personnes par diversion ou confusion au lieu de convaincre et d’expliquer.
Les chefs d’un groupe peuvent savoir que l’information est partiale, voire erronée, tout en maintenant les membres du groupe et les relais de l’information dans l’ignorance.
La propagande est une arme puissante lors d’une guerre. Dans ce cas-ci, son but est habituellement de déshumaniser l’ennemi et de susciter la haine contre un certain groupe, en altérant la représentation que s’en fait l’opinion manipulée. Les procédés de propagande vont de l’omission à l’imputation mensongère.
La propagande a beaucoup évolué avec la naissance de la guerre psychologique. On parle aussi de « propagande religieuse » pour désigner le prosélytisme religieux.
En d’autres termes, la propagande se réfère aussi à l’information fausse censée rassurer les personnes qui y croient déjà. En effet, si des individus croient à une information fausse, ils seront constamment envahis par des doutes. Puisque ces doutes sont désagréables (voir dissonance cognitive), ils désirent les faire disparaître, et sont donc particulièrement réceptifs aux messages manipulateurs. Pour cette raison, la propagande s’adresse en priorité à ceux qui sont déjà bien disposés à l’assimiler.
TECHNIQUES DE PROPAGANDE
Les propagandistes emploient des arguments qui, bien que parfois convaincants, ne sont pas nécessairement justes. Un certain nombre de méthodes, inspirées notamment de la psychologie sociale, sont employées pour créer des messages persuasifs, mais faux. Plusieurs de ces techniques de manipulation rhétorique relèvent du sophisme.
Il a fallu beaucoup de temps pour analyser les canaux par lesquels les messages de propagande font leur effet. Si ce travail est important, il est clair que les stratégies de diffusion de l’information ne deviennent des stratégies de propagande qu’à partir du moment où elles diffusent effectivement des messages de propagande. L’identification de ces messages de propagande est donc un prérequis nécessaire. Nous proposons ci-dessous quelques techniques classiques, dont la plupart reposent sur une bonne utilisation de l’émotivité de l’auditoire.
La peur : un public qui a peur est en situation de réceptivité passive, et admet plus facilement l’idée qu’on veut lui inculquer. Par exemple, Joseph Goebbels a exploité la phrase de Théodore Kaufman, « l’Allemagne doit périr !», pour affirmer que les Alliés ont pour but l’extermination du peuple allemand.
Appel à l’autorité : l’appel à l’autorité consiste à citer des personnages importants pour soutenir une idée, un argument, ou une ligne de conduite.
Témoignage: les témoignages sont des mentions, dans ou hors du contexte, particulièrement cités pour soutenir ou rejeter une politique, une action, un programme, ou une personnalité donnée. La réputation (ou le rôle : expert, figure publique respectée, etc.) de l’individu est aussi exploitée. Les témoignages marquent du sceau de la respectabilité le message de propagande.
Effet moutonnier : cet appel tente de persuader l’auditoire d’adopter une idée en insinuant qu’un mouvement de masse irrésistible est déjà engagé ailleurs pour cette idée. Comme tout le monde préfère être dans le camp des vainqueurs que dans la minorité qui sera écrasée, cette technique permet de préparer l’auditoire à suivre le propagandiste.
Redéfinition, révisionnisme : consiste à redéfinir des mots ou à falsifer l’histoire de façon partisane.
Obtenir la désapprobation: cette technique consiste à suggérer qu’une idée ou une action est adoptée par un groupe adverse, pour que l’auditoire désapprouve cette idée ou cette action sans vraiment l’étudier. Ainsi, si un groupe qui soutient une politique est mené à croire que les personnes indésirables, subversives, ou méprisables la soutiennent également, les membres du groupe sont plus enclins à changer d’avis.
Généralités éblouissantes et mots vertueux : les généralités peuvent provoquer une émotion intense dans l’auditoire. Par exemple, faire appel à l’amour de la patrie, au désir de paix, à la liberté, à la gloire, à la justice, à l’honneur, à la pureté, etc., permet de tuer l’esprit critique de l’auditoire. Même si ces mots et ces expressions sont des concepts dont les définitions varient selon les individus, leur connotation est toujours favorable. De sorte que, par association, les concepts et les programmes du propagandiste seront perçus comme tout aussi grandioses, bons, souhaitables et vertueux.
Imprécision intentionnelle: il s’agit de rapporter des faits en les déformant ou de citer des statistiques sans en indiquer les sources. L’intention est de donner au discours un contenu d’apparence scientifique, sans permettre d’analyser sa validité ou son applicabilité.
Transfert: cette technique sert à projeter les qualités positives ou négatives d’une personne, d’une entité, d’un objet ou d’une valeur (un individu, un groupe, une organisation, une nation, un patriotisme, etc.) sur un tiers, afin de rendre cette seconde entité plus (ou moins) acceptable. Cette technique est utilisée, par exemple, pour transférer le blâme d’un camp à l’autre, lors d’un conflit. Elle évoque une réponse émotive qui stimule la cible pour qu’elle s’identifie avec l’autorité reconnue.
Bouc émissaire: en jetant l’anathème sur un individu ou un groupe d’individus, accusés à tort d’être responsables d’un problème réel (ou supposé), le propagandiste peut éviter de parler des vrais responsables, et n’a pas à approfondir le problème lui-même.
Slogans : un slogan est une brève expression, facile à mémoriser et donc à reconnaître, qui permet de laisser une trace dans tous les esprits.
Glissement sémantique : technique consistant à remplacer une expression par une autre afin de la décharger de tout contenu émotionnel et de la vider de son sens (euphémisme). Le glissement sémantique peut à l’inverse renforcer la force expressive pour mieux émouvoir l’auditoire. Exemples : « frappe aérienne » à la place de « bombardement », « dommages collatéraux » à la place de « victimes civile », « libéralisme » à la place de « capitalisme », « loi de la jungle » à la place de « libéralisme », « solidarité » à la place d' »impôt », « pédagogie préventive » à la place de « répression policière ».
Tout ça me rapelle quelqu’un ou même plusieurs personnes mais qui ? Hum ! KODIO, PEULS, NOIRAFRICAIN, DEMBEL qui ne sont qu’une et même personne.
STANISLAS KAZAL
ADIEU!!!!!!
PEULS-KODIO-DEMBEL-NOIRAFRICAIN ça été éprouvant mais la vérité a triomphé. Allez chercher un autre boulot.