Elles avaient défrayé la chronique l’année dernière lorsque la DSC (division spéciale de cybercriminalité) a interpellé, le mercredi 14 octobre 2020, une bande de trois jeunes Lesbiennes, qui tournaient des films pornographiques qu’elles vendaient à prix d’or. Ces vidéos obscènes, mettant en scène des fillettes de 15 à 17 ans, étaient vendues à 50.000 FCFA à une clientèle masculine, obsédée de séquences érotiques pédophiles.
Cette triste affaire de dégradation des mœurs, qui gagne du terrain chez les filles mineures, n’était pas sans rappeler la scandaleuse EXPÉDITION PUNITIVE organisée au quartier de Thiaroye-Léona, durant le week-end du 24/25 août 2019, par un gang d’une vingtaine de LESBIENNES contre C.D., une ex-lesbienne-repentie.
SON SEUL TORT avait été d’avoir rompu ses relations avec Hawa Watt, la chef de gang des LESBIENNES, pour se réconcilier avec son ancien époux, et retrouver ainsi son domicile conjugal légal.
CE MÉLODRAME de «je t’aime moi non plus» entre ces deux filles, avait démarré après le refus de C.D. d’intégrer un groupe WhatsApp de lesbiennes (très actif dans les réseaux sociaux), suite à son divorce d’avec son époux. Mais c’était compter sans la hargne de la cheffe de file des LESBIENNES, Hawa Watt, qui a fini par inféoder de force la jeune divorcée sous sa coupole de “gouine-dominante”!
MAIS, leur idylle ne durera que le temps d’une rose, car C.D. s’est réconciliée avec son ex-mari. Hawa Watt, la gouine autoritaire, crie à la trahison. Et active son réseau de lesbiennes, pour organiser une expédition punitive, dans la maison familiale de C.D., sise àThiaroye-Léona. Menacée de mort et prise de panique, la victime se réfugie dans sa chambre.
HAWA ET SON GANG DE LESBIENNES, qui ne lâchaient toujours pas prise, défoncèrent le toit en ardoise de la chambre avec des jets de pierres et tentent d’amener de force C.D. Pire, son mari qui tentait de s’interposer est brutalisé et menacé de mort.
LE DÉLÉGUÉ de quartier alerta la Police, qui rappliqua dare-dare. Les LESBIENNES prirent la fuite, mais les policiers purent mettre la main sur leur CHEFFE de gang Hawa Watt.
DÉFÉRÉE au Parquet, pour “menaces de mort”, “destruction de biens appartenant à autrui”, “violation de domicile”… elle eut le toupet, lors du procès, de tenter de justifier son forfait en arguant qu’elle s’était sentie “trahie”, lorsque la victime avait décidé de retourner au domicile conjugal, auprès de son époux.
ELLE ÉCOPA d’un an de prison ferme. Mais à peine sortie de taule, revoilà Hawa Watt qui refait parler d’elle !
EN EFFET, dans sa livraison de ce lundi 03 janvier 2022, le quotidien Libération Sénégal online révèle que la cheffe du gang des LESBIENNES est retournée en prison, suite à une information judiciaire requise par le Parquet de Pikine-Guédiawaye pour “association de malfaiteurs”, “vol avec violence, commis la nuit”, “coups et blessures volontaires ayant entraînés un ITT” (incapacité temporaire de travail).
EN DUO avec une autre LESBIENNE, nommée Awa Niang, elle a dirigé une sanglante agression contre un chargé de mission au ministère de la Jeunesse, A.D., dont elle a fait la connaissance lors de la soirée du 11 décembre dernier, au dancing du “Ravin Night Club”.
ELLES ont tendu un traquenard à A.D., alors qu’elles entreprenaient de l’accompagner gentillement chez lui, à la Cité des Enseignants. C’est à hauteur du “Marché du Jeudi” qu’elles l’assommèrent d’un violent coup de bouteille à la tête. Quatre individus, sortis soudainement de l’obscurité, vinrent en renforts, pour rouer de coups ce cadre du ministère de la Jeunesse, et lui asséner un coup de poignard à l’épaule droite. Avant de le dépouiller de la somme de 1,6 millions de francs et de son smartphone.
L’ENQUÊTE dirigée par les hommes du Commissaire de Guédiawaye porte déjà ses fruits, avec l’arrestation de la cheff du gang des LESBIENNES, Hawa Watt, et d’un de ses complices agresseurs, Ibrahima Diongue. Pendant que Awa Niang, qui avait frappé d’une bouteille la victime, est activement recherchée par la Police.
La lesbienne Awa Watt fait (encore) parler d’elle, La police démantèle encore un réseau au ravin
Elles avaient défrayé la chronique l’année dernière lorsque la DSC (division spéciale de cybercriminalité) a interpellé, le mercredi 14 octobre 2020, une bande de trois jeunes Lesbiennes, qui tournaient des films pornographiques qu’elles vendaient à prix d’or. Ces vidéos obscènes, mettant en scène des fillettes de 15 à 17 ans, étaient vendues à 50.000 FCFA à une clientèle masculine, obsédée de séquences érotiques pédophiles.
Cette triste affaire de dégradation des mœurs, qui gagne du terrain chez les filles mineures, n’était pas sans rappeler la scandaleuse EXPÉDITION PUNITIVE organisée au quartier de Thiaroye-Léona, durant le week-end du 24/25 août 2019, par un gang d’une vingtaine de LESBIENNES contre C.D., une ex-lesbienne-repentie.
SON SEUL TORT avait été d’avoir rompu ses relations avec Hawa Watt, la chef de gang des LESBIENNES, pour se réconcilier avec son ancien époux, et retrouver ainsi son domicile conjugal légal.
CE MÉLODRAME de «je t’aime moi non plus» entre ces deux filles, avait démarré après le refus de C.D. d’intégrer un groupe WhatsApp de lesbiennes (très actif dans les réseaux sociaux), suite à son divorce d’avec son époux. Mais c’était compter sans la hargne de la cheffe de file des LESBIENNES, Hawa Watt, qui a fini par inféoder de force la jeune divorcée sous sa coupole de “gouine-dominante”!
MAIS, leur idylle ne durera que le temps d’une rose, car C.D. s’est réconciliée avec son ex-mari. Hawa Watt, la gouine autoritaire, crie à la trahison. Et active son réseau de lesbiennes, pour organiser une expédition punitive, dans la maison familiale de C.D., sise àThiaroye-Léona. Menacée de mort et prise de panique, la victime se réfugie dans sa chambre.
HAWA ET SON GANG DE LESBIENNES, qui ne lâchaient toujours pas prise, défoncèrent le toit en ardoise de la chambre avec des jets de pierres et tentent d’amener de force C.D. Pire, son mari qui tentait de s’interposer est brutalisé et menacé de mort.
LE DÉLÉGUÉ de quartier alerta la Police, qui rappliqua dare-dare. Les LESBIENNES prirent la fuite, mais les policiers purent mettre la main sur leur CHEFFE de gang Hawa Watt.
DÉFÉRÉE au Parquet, pour “menaces de mort”, “destruction de biens appartenant à autrui”, “violation de domicile”… elle eut le toupet, lors du procès, de tenter de justifier son forfait en arguant qu’elle s’était sentie “trahie”, lorsque la victime avait décidé de retourner au domicile conjugal, auprès de son époux.
ELLE ÉCOPA d’un an de prison ferme. Mais à peine sortie de taule, revoilà Hawa Watt qui refait parler d’elle !
EN EFFET, dans sa livraison de ce lundi 03 janvier 2022, le quotidien Libération Sénégal online révèle que la cheffe du gang des LESBIENNES est retournée en prison, suite à une information judiciaire requise par le Parquet de Pikine-Guédiawaye pour “association de malfaiteurs”, “vol avec violence, commis la nuit”, “coups et blessures volontaires ayant entraînés un ITT” (incapacité temporaire de travail).
EN DUO avec une autre LESBIENNE, nommée Awa Niang, elle a dirigé une sanglante agression contre un chargé de mission au ministère de la Jeunesse, A.D., dont elle a fait la connaissance lors de la soirée du 11 décembre dernier, au dancing du “Ravin Night Club”.
ELLES ont tendu un traquenard à A.D., alors qu’elles entreprenaient de l’accompagner gentillement chez lui, à la Cité des Enseignants. C’est à hauteur du “Marché du Jeudi” qu’elles l’assommèrent d’un violent coup de bouteille à la tête. Quatre individus, sortis soudainement de l’obscurité, vinrent en renforts, pour rouer de coups ce cadre du ministère de la Jeunesse, et lui asséner un coup de poignard à l’épaule droite. Avant de le dépouiller de la somme de 1,6 millions de francs et de son smartphone.
L’ENQUÊTE dirigée par les hommes du Commissaire de Guédiawaye porte déjà ses fruits, avec l’arrestation de la cheff du gang des LESBIENNES, Hawa Watt, et d’un de ses complices agresseurs, Ibrahima Diongue. Pendant que Awa Niang, qui avait frappé d’une bouteille la victime, est activement recherchée par la Police.