XALIMANEWS-Au rythme où vont les choses, la crise qui secoue le système éducatif depuis plusieurs mois, n’est pas sur le point d’être résolue. Car le Syndicat autonome des enseignants du moyen secondaire (Saems) et le Cadre unitaire des enseignants du moyen secondaire (Cusems) ne sont pas prêts à déposer les armes.
D’ailleurs, ces deux syndicats ont encore déroulé leur 10 ème plan d’action même si ’Etat du Sénégal a fait des efforts en mettant sur la table 90 milliards de F Cfa en guise d’indemnités.
Il démarre ce mardi 22 février et mercredi 23 février par un débrayage à partir de 09h. Le jeudi 24 février et le vendredi 25 février sont déclarés grève totale. Ces enseignants exigent la fin des lenteurs administratives, la correction du système de rémunération et le respect du protocole d’accord du 30 avril 2018.
L’État doit maintenant la décision finale de COUPER LES SALAIRES si les enseignants grévistes ne retournent pas dans les classes dès lundi 21 février !! Comment pouvez-vous justifier votre criminelle grève d’enseignants par un manque « d’équité salariale » ? Quelle minable connerie ! Comment pouvez-vous justifier votre criminelle grève d’enseignants par un manque « d’équité salariale » ? Quelle minable connerie ! Dans quel pays du monde on voit diplôme égal = salaire égal ? Nulle part dans le monde et encore moins en Afrique ! On ne peut jamais comparer le travail d’un médecin, d’un magistrat, d’un officier supérieur ou d’un administrateur civil à celui d’un enseignant. Jamais ! Ni le taux horaire quotidien ni les risques du métier ni l’impact direct sur les populations ni la périodicité ni la législation des congés ne sont comparables ! Rien n’est comparable entre les obligations et contraintes de ces corps et celui des enseignants !! De tous les corps de fonctionnaires, SEULS LES ENSEIGNANTS peuvent bénéficier de 3 mois de vacances sans rien foutre et continuer à encaisser tranquillement leur salaire ! Et ils osent en plus demander une augmentation généralisée de leurs indemnités comme si le budget national leur appartenait !! Bayyilène nafèkhe ak malhonnêtes ! Les enseignants grévistes sont des criminels qui prennent malhonnêtement et indignement l’école et les élèves en otage ! Sur des dizaines de revendications satisfaites qui ont déjà englouti des dizaines de milliards en leur faveur, seules 3 restent encore à régler et ces minables enseignants grévistes refusent de regagner les classes ! C’est un sabotage orchestré de l’école et comme je l’ai dit et répété, l’État doit réagir sévèrement et COUPER IMMÉDIATEMENT LES SALAIRES des enseignants grévistes ! La plupart des dirigeants des syndicats enseignants sont des politichiens actifs et bien connus du Grand cadre, du Cusems, du G20 et du Saems ! Principalement les Dame Mbodj, Souarou Sène et Ablaye Ndoye ! Ces minables syndicalistes prennent en otage l’éducation des enfants sénégalais et exercent un chantage immoral et criminel sur l’État ! Pourtant l’éducation bouffe plus de 40 % du budget national ! C’est énorme et disproportionné par rapport à d’autres secteurs d’activités qui vivent encore plus de difficultés que les enseignants ! Pire, ces indignes et minables enseignants ont profité de la période électorale et de la CAN pour faire des grèves bidon et déserter les classes DEPUIS PLUS DE 3 MOIS tout en continuant d’encaisser chaque mois leur salaire sans rien foutre ! C’est du vol et du riibah indigne et l’État doit COUPER LES SALAIRES ! D’autant plus que ces enseignants grévistes du public ont fait pendant tous ces 3 mois du xar matt en donnant des cours dans le privé ! C’est immoral, égoïste, indigne et criminel ! Vous sacrifiez de façon méchante et criminelle tous les élèves du pays ! Pourtant malgré la CAN, partout ailleurs en Afrique les enseignants ont travaillé dans des conditions encore plus difficiles qu’au Sénégal. Même au Mali, en Guinée, en Gambie ou au Burkina, les enseignants sont restés dans les classes et souvent longtemps sans percevoir leur salaire ! C’est ça le vrai patriotisme ! Mais chez nous on n’a que de nafèkhes syndicalistes politisés comme Dame Mbodj, Ablaye Ndoye et Souarou Sène qui sacrifient de façon aussi criminelle nos élèves ! L’État doit réagir fermement en COUPANT LES SALAIRES des absentéistes qui ne regagneront pas leurs postes dès le lundi 21 février et en défalquant les précédents mois payés sans travailler !! Si c’était au Ghana, au Rwanda, au Nigeria, en Algérie, au Maroc ou en Afrique du Sud, ces minables enseignants sénégalais seraient rapidement radiés en remplacés…