XALIMANEWS-«Le Sénégal est compliqué aujourd’hui (ndlr : avant hier) et depuis quelques jours. Mais nous demandons à Macky Sallet à Sonko d’avoir pitié des populations, de penser à elles, à la jeunesse, à l’avenir du pays. Sachez que ce n’est pas en mobilisant les jeunes pour les faire manifester et se battre que va se construire leur avenir», a martelé Cheikh Mahi Ibrahima Niasse de la Gambie où il se trouvait.
«Nous leur demandons qu’ils aient une autre vision pour leur pays autre que celle-là», dit-il en interpellant Macky Sall : «Monsieur le président de la République, vous êtes le plus haut responsable de ce pays, tout le monde est à votre écoute. Pensez à votre peuple, à la nouvelle génération qui grandit. On ne vous a pas élu pour vous retourner contre la population, mais pour protéger le Sénégal dans la paix». Le Khalife n’a pas manqué de dire aussi son fait au président de PASTEF : «Sonko, ce n’est pas parce que tu es adulé par les jeunes, que tu peux les mobiliser que dois exploiter cela jusqu’à causer des torts. Il faut garder ça à l’esprit, ce n’est pas constructif».
«Pouvoir et opposition sont pareils pour le peuple qui les écoute tous les deux. Donc il faut faire de sorte de préserver l’intérêt du peuple», leur a conseillé le Khalife de Médina Baye qui s’est, par ailleurs désolé que «le Sénégal ne considère pas les Niassènes, ne nous écoute pas, mais ailleurs où on nous considère nous et écoute, nous leur parlons. Au Sénégal, on nous a confinés quelque part et nous ont bloqués. Mais tant pis. S’ils le voulaient ce qu’on fait ailleurs, on aurait pu le faire ici, mais s’ils ne veulent pas, on le fait pour d’autres et ils sont nombreux à nous écouter et à nous attendre partout dans le monde».
Il s’est également désolé que «pendant un an, au Sénégal, il n’y en avait que pour Adji Sarr et Sonko comme s’il n’y avait que cela au Sénégal. Alors qu’il y avait plus important. Ce qu’il y ,a c’est une jeunesse inquiète de son avenir, un peuple pauvre qui demande comment en sortir, un peuple dont on dit qu’il est intellectuel, mais qui ne l’est pas». Selon le saint homme, «ce qui est important, c’est comment faire pour que cessent ces difficultés qui sont le fait des politiciens, de l’opposition, du pouvoir». «C’est nous les victimes», fulmine le Khalife des Niassènes pour parler du peuple.
VoxPopuli
Les plus gros NAFEKH du senegal, ce sont ces marre a bout. Quand le peuple fait face au mal et au bien, ils se debinent et renvoient tout le monde dos a dos. C’est tout simplement ingrat, parce que s’ils sont la c’est grace a leurs talibes qui sont en majorite jeunes et qui souffrent de la mal gouvernance et des abus dictatoriaux de ce regime