Au commencement était Adam, père de l’humanité, prophète et patriarche animé par la volonté réelle de goûter aux délices de l’éternité. Projet qui, pour reprendre les propos de Serigne Cheikh Tidiane Sy, « lui fit perdre quelques points face à la sagacité de ces terribles champions que l’on appelle les préjugés ».
A ses côtés, Eve, qui voulut avoir le temps d’appliquer ses principes afin qu’Adam soit moins lourdeau. Là, Serigne Moustapha Sy déclare : « Quand l’épouse n’a d’yeux que pour une lune de miel, la volonté de son conjoint ne peut qu’être complètement étouffée ». Et il y’a Lucifer, avec une ambition qui pourrait être résumée ainsi selon Al Maktoum dans « Crise de Logique » : « Dieu a fait de moi un rampant. Je ferai de sorte que les agissements de l’espèce humaine soient aussi « rampants ». » N’est-ce pas là un scénario assez alambiqué pour illustrer le commencement, mais aussi accepter la nécessité de moraliser les agissements de la race humaine ? Moralisation qui ne se fera que sous le truchement de l’action de l’Etoile de Médine, en l’occurrence Seydouna Muhammad (psl).
« Au nom de Dieu, dont la grâce se trouve déposée aussi bien dans l’infiniment petit que dans l’infiniment grand », aimait à dire David. Bien que prophète, architecte, tenor et poète, sa présence aux côtés du fils fît, à un moment, l’objet d’une crise qui ne dit pas son nom. « Daoud et Souleymane peinaient à faire l’objet d’une certaine compatibilité parce que très différents en termes d’émissions d’ondes « , annonce le guide des Moustarchidines. Pour lui, hommes comme djinns émettent des ondes positives comme négatives ayant un impact assez fort sur les rapports avec autrui.
Le genre de choses que ne découvrent que ceux qui tendent l’oreille à des hommes plus savants que le commun des mortels à l’image de Cheikh Ahmad Tijany Cherif (rta). Sa fameuse « djeuwheureutoul Kamal » avec ses serrures et clés témoignent de la dimension mystique de l’homme. Quand on a accès au centre des intelligences et de l’entendement (markazil fouhoumi wal ma aanii), on ne peut pas ne pas dépasser la sphère du langage et de son code écrit, et par dessus tout les cadres d’apprentissages intra muros. C’est d’ailleurs ce qui explique la réplique tout aussi audacieuse que légitime de Seydil Hadj Malick Sy (rta) à l’encontre de son détracteur-pour ne pas dire détraqué-: « Si c’est la Tafsiroule Djalalayni qui vous sert de source pour contredire mes propos, sachez que son auteur s’est trompé sur toute la ligne. » Mawdo (rta) que l’on connait avec son « xilassou zeuheub » et sa profonde maîtrise de la philosophie Mahométane est loin d’être un simple apprenant. Il est l’homme le plus savant que son temps n’ait connu.
Les héritiers du Prophète (psl) et leurs disciples ne cesseront à jamais de s’émerveiller de la fameuse prosternation de ce dernier, et ceci pendant 700 ans avant la création. Tout part de cette dite création. Le trésor caché dont font référence les gnostiques -Serigne Moustapha Sy aborde dans le même sens mais parle plutôt de coffre- n’est autre que le Prophète (psl) lui-même. Quand le ciel voulut nous le faire découvrir « en guise de miséricorde », il décida de faire descendre sa forme humaine. « Fa Khalaqtoule Khalq Fabii… », nous dit-on dans le Hadith Koursi. Dans la numérologie, « Fabii » est égal à 92, équivalent parfait du prénom Mouhamad. Quant à la prosternation, elle rapelle les termes « salli alaa sadjidine… » et « Maa Nouqtatou Tawhid qablou bi ouchi haa » cités respectivement dans le Taissir de Mawdo (rta) et le « Fa Ileyka » d’Al Maktoum. Enfin le terme arabe « Soudjoud » (prosternation) est égal à 313 en numérologie, et symbolise, selon l’homme des Champs de Cours, la force mystique qui pu contribuer avec succès à la victoire de Badr. Comme quoi les grands gestes font les grandes victoires dans l’histoire sainte.
Maam Cheikh
Chroniqueur
Ma cha allah Maam
Maam seekh dis à ton Moustapha gros nez d’être un tout petit peu plus poli, plus humble, plus respectueux des sénégalais, plus respectueux des autorités religieuses de Tivaouane ! Ses menaces (j’ai un arsenal) et ses insultes sur le Khalife actuel sont indignes, irresponsables, criminelles et stupides ! Moustapha Sy est un menteur, un manipulateur et un mystificateur. Il peut vous prendre vous les moustarsidine pour des idiots vauriens et des imbéciles sans cervelle, mais il ne trompe personne au Sénégal ! Écoutez ce que 99% des Sénégalais pensent de lui ! Même Kara fait mieux ! Votre gourou ne raconte que des bobards : j’ai sauvé untel, je sais ce qui va venir, je suis intervenu dans l’élection du président américain, je sais qui a fait ça dans le pays, pourquoi untel est mort… ay douli késsé ! Si Moustapha Sy avait le moindre pouvoir surnaturel pourquoi il a failli mourir de justesse du covid il y a 2 ans ? Je dis bien de justesse… et il ne perd rien pour attendre. Pourquoi il a été évacué plusieurs fois en France et dans un pays arabe pour des maladies chroniques graves qui l’attaquent encore souvent régulièrement (d’où ses absences prolongées) ? Lui-même sait qu’il est gravement diminué, d’où ses bêtes gesticulations actuelles. Respectez les Sénégalais.
Fen rek ay feni kepp
Ay feni kepp, pur et dur mensonge
La Numérologie en Islam et son Interdiction
En Islam, la numérologie est considérée comme haram (interdite), car elle implique des croyances et des pratiques qui contredisent les principes fondamentaux de la foi islamique. La numérologie repose sur l’idée que les nombres ont une signification mystique ou divine, et qu’ils peuvent influencer ou prédire le destin. Cela contredit le concept central de tawhid (l’unicité de Dieu) en associant une puissance ou une connaissance aux nombres, ce qui est considéré comme du shirk (associant des partenaires à Dieu).
Le Prophète Muhammad (?) a explicitement mis en garde contre les pratiques qui cherchent à prédire l’avenir ou à attribuer des significations cachées aux choses au-delà de ce qui est permis. Dans un hadith rapporté par Abu Dawood, le Prophète (?) a dit :
« Quiconque s’approche d’un devin ou d’un sorcier et croit à ce qu’il dit, a rejeté ce qui a été révélé à Muhammad. »
(Abu Dawood, Hadith No. 3904)
De même, dans un autre hadith authentique rapporté par Muslim, le Prophète (?) a déclaré :
« Celui qui va voir un devin et lui demande quelque chose, sa prière ne sera pas acceptée pendant quarante jours. »
(Sahih Muslim, Hadith No. 2230)
Ces hadiths montrent clairement que la recherche de la connaissance du futur ou l’attribution de pouvoirs surnaturels aux nombres est strictement interdite en Islam. La numérologie tombe directement sous cette interdiction, car elle s’appuie sur des croyances et des pratiques non fondées dans la tradition islamique.
Le Coran dit : « Aucune âme ne sait ce qu’elle gagnera demain… » (Luqman : 34) Le Prophète (paix et bénédictions sur lui) a dit : « Ne fréquentez pas les astrologues [as-hab an-nujum] ». (Rapporté par Ahmad)
Zayd ibn Khalid a rapporté : » Le Messager d’Allah, que la paix et les bénédictions soient sur lui, a dit Le Messager d’Allah, paix et bénédictions soient sur lui, a dit : » Allah le Tout-Puissant a dit : » Parmi Mes serviteurs, il y a ceux qui se réveillent avec la foi en Moi et la mécréance en Moi : Parmi Mes serviteurs, il y a ceux qui se réveillent avec la foi en Moi et la mécréance en Moi. Quiconque dit que nous avons reçu la pluie grâce à la faveur et à la miséricorde d’Allah est un croyant en Moi et un mécréant en les étoiles. Celui qui a dit que nous avons reçu la pluie en raison du lever de cette étoile, celui-là a mécru en moi et a placé sa foi dans les étoiles.
Source : ?a??? al-Bukh?r? 1038, ?a??? Muslim 71
Critique d’Ahmad at-Tijani et de la Salatul Fatih
Ahmad at-Tijani (1737-1815) est le fondateur de la Tijaniyya, une tariqa (confrérie soufie) qui est largement répandue en Afrique de l’Ouest. La Tijaniyya est connue pour certaines de ses pratiques et croyances spécifiques, dont la Salatul Fatih. Ahmad at-Tijani a affirmé que la récitation de cette prière équivaut à la récitation de 6 000 fois le Coran, une affirmation qui a été vivement critiquée par les érudits salafis.
Les salafis, qui prônent un retour aux pratiques et croyances des premières générations de musulmans (les Salaf), considèrent de telles déclarations comme innovantes (bid’ah) et contraires à l’Islam orthodoxe. Leur critique repose sur plusieurs points principaux :
Absence de Preuve Textuelle : Les salafis insistent sur le fait que toutes les pratiques religieuses doivent être basées sur des preuves claires du Coran et de la Sunnah. La prétention qu’une prière équivaut à réciter 6 000 fois le Coran n’a aucune base dans les textes islamiques authentiques. Les salafis rappellent le hadith du Prophète (?) qui dit :
« Quiconque introduit dans notre affaire quelque chose qui n’en fait pas partie se verra rejeté. »
(Sahih al-Bukhari, Hadith No. 2697)
Ce hadith met en garde contre l’introduction de nouvelles pratiques religieuses sans fondement scripturaire.
Risque d’Innovation (Bid’ah) : Les salafis considèrent que de telles affirmations et pratiques mènent à l’innovation religieuse, qui est strictement interdite. Ils soulignent que toutes les formes de worship doivent suivre strictement les enseignements du Prophète Muhammad (?) et de ses compagnons.
Égalité avec le Coran : Prétendre que la récitation d’une prière spécifique peut être comparée à la récitation de milliers de fois le Coran est vu comme une forme de shirk ou d’associer à l’importance divine du Coran des pratiques humaines non autorisées.
En conclusion, la critique de la Salatul Fatih et d’Ahmad at-Tijani repose sur une stricte adhésion aux enseignements originaux de l’Islam et le rejet des innovations non fondées. La numérologie, de la même manière, est rejetée en Islam en raison de son incompatibilité avec les principes de tawhid et de l’interdiction de chercher des connaissances occultes.