XALIMANEWS- Les participants au dialogue national ont proposé à ce que le chef de l’Etat prenne un décret convoquant le corps électoral le 2 juin prochain pour la tenue de l’élection présidentielle initialement fixée au 25 février, a appris l’Agence de Presse Sénégalaise, mardi, de plusieurs membres de la commission chargée de faire de réfléchir sur le sujet.
Selon l’APS qui donne l’information, les commissions mises en place dans le cadre du dialogue national, ouvert lundi, en présence du chef de l’Etat, ont travaillé à huit clos sur une proposition de date pour la tenue de l’élection présidentielle et les voies et moyens de déterminer le processus à mettre en œuvre à l’issue le 2 avril prochain, date coïncidant avec la fin du mandat du chef de l’Etat sortant.
La source précise que les travaux de la commission chargée de réfléchir sur la date de la prochaine présidentielle étaient dirigés par le ministre de l’Intérieur, Sidiki Kaba.
Une autre commission, conduite par le ministre des Affaires étrangères, Ismaila Madior Fall, assurant l’intérim de la ministre de la Justice, a réfléchi sur les modalités suivant lesquelles le processus électoral se poursuivrait après le 2 avril.
Des chefs religieux, représentants de syndicats et d’organisations de la société civile et des candidats recalés à l’élection présidentielle ont répondu à l’appel du président de la République à dialoguer afin de permettre au pays de trouver les moyens de résoudre la crise politique qu’il traverse depuis l’annonce du report de l’élection présidentielle du 25 février 2024.
Des responsables du Parti démocratique sénégalais (PDS), la formation politique à l’origine des accusations portées sur certains des membres du Conseil constitutionnel qui ont procédé au contrôle de la régularité des candidats à l’élection présidentielle, ont participé à la rencontre.
Les accusations du PDS ont été portées après que le dossier de candidature du leader de cette formation, Karim Wade, a été déclaré irrecevable en raison de la double nationalité sénégalaise et française du fils de l’ancien président Abdoulaye Wade.
Avec l’APS
Ces gens en commencant par le putchiste en chef n´ont vraiment aucune vergogne. Reste au conseil Constitutionel de prendre ses responsabilite et mettre fin a cette recreation et a cette forfaiture.
Si le peuple senegalais et le conseil constitutionel se soulevent comme un seul homme, le droit constitutionel et le calendrier republicain sera retablit par la force.
Et il faut coute que coute et imperativement renforcer la securite de SONKO et de DIomaye s´ils decident de les laisser en prison. Nous avons affaire a des bandits de grand chemin et ils tenteront le tout pour eliminer ses deux leaders. J´esperes qu´ils n´oseront pas en arriver jusque la mais, ce sont des monstres prets a tout pour le pouvoir.
le candidat Amadou Ba meme devrait remercier Birame Souleye Diop, sa sortie qui lui a value une detention a surement ecarte la repetition du plan Coulibally de cote d´ivoire.