20 milliards, c’est à peu près la même somme que le Sénégal demande pour le procès. Il faut savoir que Wade est à la bourre, les élections approchent et il est au plus mal. Il cherche de l’argent partout, il s’est fait acheter par le Qatar pour 12 milliards pour créer une fracture au sein du club des soutiens africains de Khadafi. De sources proches de la présidence Tchadienne, Idriss Deby a affirmé : « Je ne crois pas à ce type qui m’a assez soutiré de l’argent, par conséquent les 2 milliards que nous avons versés pour le procès, il n’a cas les garder comme acompte. Le reste à la livraison. ». Echanges téléphoniques, Wade fait une autre proposition à savoir que Deby envoie à Dakar une personne qui accompagnera Hissein Habré mais cette personne devra avoir avec elle une grande partie du pactole. Le solde à l’arrivée du colis.
Par lettre du 5 juillet, Abdoulaye Wade a informé Deby que par vol spécial, il lui livrera le Président Hissein HABRE. Le gouvernement tchadien a toutefois attendu le vendredi 8, dans l’après midi, pour rendre publique l’information. Il semble que c’est la présidence sénégalaise qui ait demandé au régime Deby d’attendre le début du week-end, ceci dans le but de rendre impossible toute contestation de la décision devant les juridictions sénégalaises. Dans la capitale tchadienne, l’émotion et le scandale sont perceptibles dans les hautes sphères de l’Etat, provoqués par la proposition de Wade ami et frère d’Idriss Deby ; en fait, un bandit de grand chemin ayant déjà à son tableau de chasse, l’assassinat du vice-président du Constitutionnel du Sénégal Maître Babacar SEYE. Un Kaffir, s’est exclamé un grand marabout.
20 milliards, c’est à peu près la même somme que le Sénégal demande pour le procès. Il faut savoir que Wade est à la bourre, les élections approchent et il est au plus mal. Il cherche de l’argent partout, il s’est fait acheter par le Qatar pour 12 milliards pour créer une fracture au sein du club des soutiens africains de Khadafi. De sources proches de la présidence Tchadienne, Idriss Deby a affirmé : « Je ne crois pas à ce type qui m’a assez soutiré de l’argent, par conséquent les 2 milliards que nous avons versés pour le procès, il n’a cas les garder comme acompte. Le reste à la livraison. ». Echanges téléphoniques, Wade fait une autre proposition à savoir que Deby envoie à Dakar une personne qui accompagnera Hissein Habré mais cette personne devra avoir avec elle une grande partie du pactole. Le solde à l’arrivée du colis.
Livrer Hissein HABRE à Deby ou à Khadafi, Abdoulaye Wade l’a maintes fois dit, pensé parce que négocié ; c’est pourquoi cette éventualité revenait souvent comme une menace, en fait une tentation, un signe en direction de ses interlocuteurs, histoire de faire monter les enchères. Il a d’ailleurs tenté de le faire en 2005, en décidant de remettre Habré au président du Nigéria alors président de l’UA, en fait une véritable opération d’enlèvement qui a échoué devant les tollés d’indignation des populations sénégalaises.
Ce qui est important à souligner, c’est qu’en analysant les actes les plus importants posés par Wade, on constate que tout au long des tractations et des marchandages avec les différents protagonistes, il s’est toujours engagé avec force dans les actions qui mettent en péril la vie de Hissein Habré, parce qu’il savait pertinemment que ce sont celles qui lui rapporteraient le plus financièrement. Il a toujours été tenté par ce schéma, il a toujours agité cette éventualité parce qu’elle l’obsédait littéralement. Le reste était une question de timing, d’opportunité politique et de pactole versé.
C’est la raison fondamentale qui fait qu’il s’agrippait de toutes ses forces sur cette affaire qui lui a été si utile, qui l’a considérablement enrichi, qui lui a permis, ivre sans alcool, de dérouler devant la presse occidentale ses délires sur l’affaire Habré.
Acte criminel dans la mesure où Wade ne pouvait même pas entrevoir une éventualité d’extradition en dehors d’une demande d’extradition du Tchad qui, rappelons-le n’a pas été faite à ce jour. Même dans l’hypothèse où le Tchad en ferait la demande, il faut nécessairement une décision de justice laquelle est un avis qui peut être favorable ou non. Si la Chambre d’accusation émet un avis favorable, il peut la suivre ou non, mais si la juridiction se prononce contre l’extradition, lui, chef de l’Etat ne peut passer outre. De plus, l’extradition est toujours refusée quand des règlements de comptes politiques la motivent, si chez le pays demandeur la peine de mort est en vigueur. Il y a aussi l’obstacle, juridiquement incontournable, de l’inexistence d’accord d’extradition entre le Tchad et le Sénégal.
Cette décision prouve à souhait que Wade conspué et rejeté par la jeunesse sénégalaise descendue massivement dans la rue pour se faire entendre, est en train de, comme une bête blessée, livrer son dernier combat, rageusement, dangereusement, follement sur tous les dossiers importants. Affaibli mais ayant encore des restes de forces, il est désormais enragé, touché dans son égo surdimensionné, et une nouvelle fois, la mine d’or HISSEIN HABRE est mise à contribution pour exprimer l’existence d’un pouvoir fort, capable de faire toujours ce qu’il veut. Ultime tentative pour essayer de polariser l’attention de l’opinion internationale le temps d’un week-end. Isolés, paniqués et enfermés dans leur palais présidentiel, Wade et son fils avaient demandé l’intervention des militaires français contre les jeunes manifestants pour quelques voitures brulées, selon les déclarations de Robert BOURGI. Prendre une telle décision n’a fait qu’accroître le sentiment, dans l’opinion, que Wade est un homme prêt à tout pour sauver son pouvoir. Tout le monde a encore en mémoire son implication dans l’assassinat du vice président du conseil constitutionnel exécuté par des hommes à lui comme l’a démontré le journaliste d’investigation Abdoul Latif Coulibaly dans son livre « Affaire Maître Babacar SEYE, MEURTRE SUR COMMANDE ».
Aujourd’hui, sentant sa mort politique prochaine aux élections, le 26 février 2012, il est au bout du rouleau, à la dérive, c’est un vieillard devenu sénile et incapable de discernement. L’image qu’il a donnée du Sénégal est pitoyable. EST CRIMINEL CELUI QUI A DES INTENTIONS CRIMINELLES. On dit souvent que la vieillesse est un naufrage, installer au pouvoir un vieillard de 92 ans mène tout droit au désastre. Les Sénégalais ne peuvent plus compter les dérives et les folies de Wade. « Y en a marre ! » est à Dakar ce qu’a été le désormais célèbre « Dégage ! » des jeunes Tunisiens. Ce mouvement des jeunes sénégalais né dans la banlieue dakaroise a porté les manifestants dans les rues et a fait reculer Wade et son fils.
L’acte criminel posé par Wade symbolise la mal gouvernance du pouvoir sénégalais selon le bon mot de Maître François SERRES, Avocat d’Hissein Habré, mais est aussi révélateur de l’errance d’un pouvoir en fin de règne. Le pouvoir de Wade s’assimile désormais à ces fameuses républiques bananières d’Afrique, où le président a droit de vie et de mort sur tout le monde. Le peuple sénégalais mérite-t-¬il un tel dirigeant ? Certainement pas. Qui arrêtera ce vieillard de 92 ans, à moitié sourd, trainant une jambe, se déplaçant avec peine et qui porte des couches ? A quand un coup d’Etat médical ?
dakaractu.com
et si on fait le coup le 23 juillet?
Boy Yerim , bii eupna , mais il y a une part de vrai dans ces allégations <;
Nous savons tous qu'il a déjà vendu HAbré.
Rusé comme un ndiombor il continue à marchander une marchandise dont il a déjà jouit du prix.
un peu de respect cas meme!!!!!!!
Yerime beug xaliss…bayil meew. lingay waakh dara woroulassi…meew reek mais anna Aida dieng…?
bravo bien dit ce vaut rien de Wade, qui, quand il recoit quelqun lui dit je vais te donner les moyens de travailler, allez va voir Mr………… Ministre de…………….. il appelle le Ministre en question devant la personne et donne les instructions avec une telle force……..Mais des que la personne tourne le dos, il rappelle son Ministre et lui donne des instructions contraires. Un mec comme ca ne merite pas de diriger notre pays. Qu il degage avec ses clics et ses clacs. On en veut plus. Il a brise nos espoirs.
en lisant cet article, j’ai vraiment tremblé d’indignation !
comment peut on arriver a cette extrémité de la part d’un journaliste qui se veut sérieux et crédible ? la décence, l’équilibre, la foi et l’élégance ne cautionnent pas du tout cet écart terrible, ce commentaire libertin…
en prenant part a la curée, on se doute bien que l’on fait partie des chiens.
la question est alors de savoir, yerim seck, si oui ou non, tu es un chien ?
vous n’étes pas de bons citoyens vous manquez de respect à nos institutions c’est anticivisme au moins dites la vérités aux sénégalais si vous les aimez c’est vraiment honteux votre comportement !!!!!!!!!!!
Je suis contre Wade mais ce Yérim Seck là, faut faire attention à ses dires.