– Le président de la République continue ses manœuvre en direction de la présidentielle de 2012. Si certains journaux, se basant sur des actes qu’il pose, sont convaincus que le président Wade ne se présentera pas en 2012, d’autres estiment qu’il se prépare pour ces joutes électorales et s’apprête même à mettre en place un gouvernement de technocrates. Il va ainsi envoyer tous ses ministres politiques à la base pour battre campagne. Certains journaux, eux, donnent la parole à des hommes politiques qui demandent à la communauté internationale d’intervenir avant que le pays ne s’embrase.
« L’Observateur » révèle que « Wade prépare un gouvernement de technocrates » et que tous « les ministres politiques (seront) renvoyés sur le terrain ». (Extrait revue de presse, nettali.net)
L’Observateur, pour sa part, scrute un ‘’remaniement pré-électoral’’ et signale que le président Abdoulaye Wade ‘’prépare un gouvernement de technocrates’’ avant l’élection présidentielle du 26 février 2012. ‘’Les ministres politiques renvoyés sur le terrain’’, selon le journal. (extrait revue de presse aps.sn
quele desastre ce gouvernement de voyous
De toute manière à quoi ils servent ces gens-là sinon à coûter de l’argent au contribuable en s’enrichissant ? Ils sont plus nombreux que les équipes gouvernementales des pays développés mais quelles solutions ont-ils apportées aux problèmes du Sénégal ? Hé ! Hé ! tout le monde sait bien que c’est Abdoulaye WADE l’homme-orchestre : au four, au moulin, à la Présidence, dans chaque Ministère, au turbin, au PDS, à l’internationale, redresseur de torts, donneur de leçons de démocratie aux tyrans récalcitrants à quitter le pouvoir, pacificateur en chef dans les zones de turbulence, conseilleur en chef de rebelles ayant conquis le pouvoir, présent partout où on peut éventuellement glaner quelques indices de notorité voire de popularité, chez les maires, chez les marabouts, chez les lutteurs et on en oublie ! Et pendant ce temps, les autres comptent les coups et attendent d’engranger des dividences non mérités. Quel homme, Super-Abdoulaye. Seul bémol : à son âge ne devrait-on pas craindre pour lui le surmenage aigü voire l’infarctus ?