Quand l’un (Macky Sall) succéda à l’autre (Idrissa Seck) participant à la mise à mort politique de ce dernier à travers ce qui est apparu comme la plus vaste machination politico-judiciaire du Sénégal, le dossier des Chantiers de Thiès en l’occurrence, venait de naître une inimitié vieille maintenant de six ans. Les deux hommes sont équivalents en grade avec des avantages différents pour chacun : Ils ont été tous les deux Premiers ministres, mais l’un fut président de l’Assemblée nationale alors que l’autre fut au stratégique poste de tout-puissant Directeur de cabinet du chef de l’Etat, concentrant entre ses mains l’exclusivité des prérogatives d’un véritable sherpa, tête à penser et complice intellectuel du Président Wade. Passée cette différence, ils ont tous les deux été numéro 2 du Parti démocratique sénégalais, Directeur de campagne victorieux du candidat Abdoulaye Wade à des élections présidentielles et maire d’une grande ville de l’intérieur du pays. Ils ont tous les deux été poussés, hors du pouvoir, pour finir par créer leur appareil politique, l’Alliance pour la République pour l’un, Rewmi pour l’autre. Opposants désormais irréductibles à leur ancien camp au pouvoir, ils ont en commun l’ardent désir de faire tomber leur ancien patron, pour le remplacer à la tête du pouvoir. Last but not least, ils partagent en outre la singulière aversion pour le fils biologique du chef de l’Etat, Karim Wade qui a été à l’origine de la disgrâce de l’un et de l’autre.
Pourtant ce sont ces deux hommes qui sont en train de s’étriper sur la dernière ligne droite menant à la présidentielle. Cette guerre des « héritiers » a été déclenchée par le Président de Rewmi qui a dit qu’une fois aux affaires, il ferait de sorte que Macky Sall rende compte de sa gestion des 7 milliards du Fonds taïwanais. Ce dernier avait, en clamant qu’il n’est « pas un détourneur de fonds publics », ramené Idrissa Seck sur le devant de la scène à propos de sa gestion des fonds politiques qui l’ont d’ailleurs opposé à leur ancien patron. Attaques contre attaques, argent contre argent et ex-Pm contre ex-Pm, la pesée des boxeurs promet un match à sang.
Avant le pugilat de la campagne qui risque d’être dur, surtout pour les peaux tendres, voici une évaluation psychologique des combattants Idy et Macky, qui pourra aider les bookmakers à ouvrir les paris sur l’issue de ce combat, singulier entre tous, qui ne manquera pas d’attirer l’attention, d’ici au 26 février 2012. Pour notre part, en première lecture, et sous réserve d’avis plus affinés, nous avons le sentiment d’assister à une bataille entre le feu et le vent, plus l’un est fort, plus l’autre est dévastateur.
Qui est le feu ? Qui est le vent ? L’un ou l’autre, tel ou tel autre élément, aucune importance. La dévastation risque de porter préjudice plus aux autres candidats qu’aux antagonistes eux-mêmes. Déjà, on dirait qu’il n’y a qu’eux deux comme candidats. Juste parce que leur duel les a installés au cœur du débat électoral. Cependant que Wade risque l’invalidation, et que le reste des candidats pataugent en quête d’une formule…magique. Pour revenir à la psyché, au tempérament et au caractère, place aux spécialistes de B. Coaching qui n’ont pas fini de nous étonner.
Quand l’un (Macky Sall) succéda à l’autre (Idrissa Seck) participant à la mise à mort politique de ce dernier à travers ce qui est apparu comme la plus vaste machination politico-judiciaire du Sénégal, le dossier des Chantiers de Thiès en l’occurrence, venait de naître une inimitié vieille maintenant de six ans. Les deux hommes sont équivalents en grade avec des avantages différents pour chacun : Ils ont été tous les deux Premiers ministres, mais l’un fut président de l’Assemblée nationale alors que l’autre fut au stratégique poste de tout-puissant Directeur de cabinet du chef de l’Etat, concentrant entre ses mains l’exclusivité des prérogatives d’un véritable sherpa, tête à penser et complice intellectuel du Président Wade. Passée cette différence, ils ont tous les deux été numéro 2 du Parti démocratique sénégalais, Directeur de campagne victorieux du candidat Abdoulaye Wade à des élections présidentielles et maire d’une grande ville de l’intérieur du pays. Ils ont tous les deux été poussés, hors du pouvoir, pour finir par créer leur appareil politique, l’Alliance pour la République pour l’un, Rewmi pour l’autre. Opposants désormais irréductibles à leur ancien camp au pouvoir, ils ont en commun l’ardent désir de faire tomber leur ancien patron, pour le remplacer à la tête du pouvoir. Last but not least, ils partagent en outre la singulière aversion pour le fils biologique du chef de l’Etat, Karim Wade qui a été à l’origine de la disgrâce de l’un et de l’autre.
Pourtant, ce sont ces deux hommes qui sont en train de s’étriper sur la dernière ligne droite menant à la présidentielle. Cette guerre des « héritiers » a été déclenchée par le Président de Rewmi qui a dit qu’une fois aux affaires, il ferait de sorte que Macky Sall rende compte de sa gestion des 7 milliards du Fonds taïwanais. Ce dernier avait, en clamant qu’il n’est « pas un détourneur de fonds publics », ramené Idrissa Seck sur le devant de la scène à propos de sa gestion des fonds politiques qui l’ont d’ailleurs opposé à leur ancien patron. Attaques contre attaques, argent contre argent et ex-Pm contre ex-Pm, la pesée des boxeurs promet un match à sang.
Avant le pugilat de la campagne qui risque d’être dur, surtout pour les peaux tendres, voici une évaluation psychologique des combattants Idy et Macky, qui pourra aider les bookmakers à ouvrir les paris sur l’issue de ce combat, singulier entre tous, qui ne manquera pas d’attirer l’attention, d’ici au 26 février 2012. Pour notre part, en première lecture, et sous réserve d’avis plus affinés, nous avons le sentiment d’assister à une bataille entre le feu et le vent, plus l’un est fort, plus l’autre est dévastateur.
Qui est le feu ? Qui est le vent ? L’un ou l’autre, tel ou tel autre élément, aucune importance. La dévastation risque de porter préjudice plus aux autres candidats qu’aux antagonistes eux-mêmes. Déjà, on dirait qu’il n’y a qu’eux deux comme candidats. Juste parce que leur duel les a installés au cœur du débat électoral. Cependant que Wade risque l’invalidation, et que le reste des candidats pataugent en quête d’une formule…magique. Pour revenir à la psyché, au tempérament et au caractère, place aux spécialistes de B. Coaching qui n’ont pas fini de nous étonner.
Source : Popxibaar.com
Macky n’est pas digne dans la mesure où il accepte d’être utiliser pour éliminer un adversaire politique afin d’être dans les bonnes grâces des wade. CE TYPE N’inspire pas confiance , seuls les traitres agissent de la sorte