La situation nationale du secteur de l’énergie ne peut pas être traitée en dehors du contexte mondial. L’idée la plus répandue et acceptée est que nous sommes déjà entrés dans la phase de la transition énergétique. La hausse des cours du baril de pétrole nous a donné un aperçu de ce qui va se passer dans les prochaines années.
Pour l’Agence Internationale de l’Energie il nous reste 45 ans de pétrole, 60 ans de gaz et 250 ans de charbon, alors que le charbon pose des problèmes environnementaux difficiles à maîtriser. Ce qui est cependant sûr c’est qu’on va vers la pénurie. Il s’agit donc de préparer cette pénurie pour pouvoir y faire face en temps opportun car il se posera deux problèmes majeurs : disponibilité et coûts.
Il s’agit donc pour nou