Hommage à une self-made-woman
C’est un classmate, un grand frère qui t’écrit.
Je te mets ces quelques ligne juste pour te rendre un vibrant hommage pour tout ce que tu as fait.
Je ne t’ai pas connue dans la musique, mais plutôt à l’école, en classe.
Au lycée des Parcelles Assainies, nous cheminions ensemble. On a tout partagé, des bons et durs moments.
A la fac, je te trouvais toujours dans ton refuge, les Bois sacrés.
Tu faisais la fierté de la fac de droit jusqu’à ton malheureux événement.
Je t’ai connue brave, sérieuse et infatigable combattante. Pourquoi ce relâchement? Pourquoi baisser les bras en si bon chemin ?
Personne n’a jamais fait l’unanimité dans la vie. Pas même le Sceau des Prophète (PSL), le plus parfait des créatures.
Pourquoi tu nous fais pareil coup, au moment où nous avons plus besoin de toi?
Je te prie de te ressaisir et de nous revenir plus forte.
C’est ton grand-frère qui te fait cette demande et solennellement.
A New York, plus particulièrement à Brooklyn, je suis allé voir personnellement Papa et Maman, ainsi que ta sœur et ses enfants.
Ceci est une marque particulière d’affection que j’ai pour toi. Parce que notre relation est loyale, sincère.
Deux mois avant mon départ pour les USA, tu es venue me présenter tes sincères condoléances, alors que je venais de perdre ma chère mère, ton homonyme de surcroît. Une mère qui t’a connue et qui t’aimais tant.
Pour tout ce qui nous lie, je te demande de revenir, pour l’amour de Dieu.
Ton grand-frère, Papa Waly NDAO depuis les États-Unis
allez vous faire foutre !!
Boul nieuwate dé