Du politologue proclamé on a insidieusement viré à ce qu’on pourrait appeler l' »idrissalogue » certifié qui ne rate alors aucune occasion de coincer, pour ne pas dire cerner, son « objet d’étude »: Idrissa Seck. Bizarrement notre politologue s’intéresse plutôt à la personne qu’au politique lui-même.
De quoi Aziz a-t-il vraiment peur, pour appliquer ainsi à Idy ce qu’on appelle dans le jargon sportif un marquage systématique, tout terrain (à la culotte). Aurait-il peur qu’Idy marque des « buts » ou des points dans son camp ? Serait-il le dernier rempart d’un camp déserté contre l’attaque décisive d’un « butteur » virevoltant et agressif ?
Puisque notre expert, enseignant de son état, ne nous apprend rien de plus en politique, ses élucubrations fortuites nous amènent donc systématiquement à nous poser des questions sur son état d’esprit. En réalité Monsieur Diop a véritablement un problème avec la liberté d’expression, ce qui le disqualifie déjà du débat intellectuel. Il semble ignorer un principe élémentaire (que certainement ses étudiants « maître du discours politique » devraient lui rappeler), selon lequel dans un débat qui se veut intellectuel chacun a le droit de raisonner et même de déraisonner en fonction de l’argumentaire avancé. Il appartient dés lors, au nom de la dialectique positive, aux protagonistes du débat d’opposer leur contre argumentaire, afin que la vérité triomphe d’elle-même. Notre généreux professeur devra savoir alors que dans cette noble
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