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Contrairement aux détracteurs du Président du Conseil Constitutionnel (Cheikh Tidiane Diakhaté), le journaliste Abdou Latif Coulibaly préfère jouer la carte du loto
« Abdoulaye Wade est convaincu qu’ en nommant le juge Cheikh Tidiane Diakhaté il tient en lui un pion essentiel et docile qui fera du Conseil Constitutionnel une chambre d’enregistrement et d’ exécution de ses désirs les plus déraisonnables pour les prochaines élections générales » affirme le journaliste dans un éditorial intitulé « Devoir d’ingratitude » paru sur les colonnes de l’hebdomadaire la « Gazette » paru ce jeudi 16 septembre.
Mais pour l’éditorialiste le président de la République se trompe sur ce que Cheikh Tidiane Diakhaté peut, demain, faire pour lui. » Comme ce fut le cas de l’ancien président de la CENA : « il s’ était du reste, hier, trompé sur ce que Moustapha Touré pouvait faire pour lui à la CENA. »
La nomination de Cheikh Tidiane Dikahaté à la tête de cette haute institution semble être un défi pour le juge à en croire Abdou Latif Coulibaly. « Il est presque à la fin de sa carrière. A lui de penser à Dieu et à son pays, en refusant d’accepter d’être la marionnette qu’ on a voulu en faire et qu’ on veut continuer de vouloir en faire. Pour y arriver, il faut que l’ homme se demande ce qu’ il peut dans sa situation actuelle faire d’ extraordinaire pour son pays, pour lui, pour ses enfants, pour ses parents, ses proches et pour tous ceux qui l’ aiment pour ses qualités et ses défauts » argumente t-il
Voila tant de raisons qui motivent le « pari fou » de journaliste.
La prochaine présidentielle nous édifiera !
Khady Jeanne Seck et Anta Sy (Xalimasn.com)
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En tant que membre du parti c’est à nous de mettre un terme à ses attaques contre ce Magistrat. En quoi faisant ? tout simplement en demandant à son Excellence Maître Abdoulaye Wade de le démettre car sa présence nuit plus à M° Wade qu’il ne l’aide vraiment. Un « arbitre » contesté depuis sa nomination ne peut donner aucun verdict qui trouvera l’assentiment général. D’emblée quelque soit la décision qu’il prendra surtout en cas de victoire de la coalition bleue.
Pour ne pas entacher ce que je prévois comme une victoire prochaine de la large coalition de partis, de mouvements de soutiens, d’acteurs politiques et ou citoyens autour du «candidat» du PDS, il nous faut asseoir les bases d’une victoire claire nette et sans bavure. C’est volontairement que j’ai mis « candidat » du PDS car je persiste et signe que nous nous devons de choisir dés à présent une figure de proue à même de mener les espérances libérales et d’être le porte flambeau du renouveau de la mouvance présidentielle.
Dans le landerneau politique actuel il n’ya que de vieux grizzlis, à la veille de leur retraite politique. Ces vieux râleurs pros qui pour certains ont raclé dans tous les râteliers avant de se rappeler au bon souvenir des Sénégalais sous les traits d’une jouvencelle pure alors qu’au dessous de leurs habits immaculés se sont les guenilles sales de leurs comportements pernicieux, prévaricateurs qui prouvent à volonté que le masque qu’ils montrent au peuple ne reflète pas leur vraie personnalité ! Ces gens ont pressés le peuple, sucé son sang jusqu’à épuisement et se pavanent dans les medias de la place en moralisateurs et en objecteurs de conscience !! Fi !!
Le mal du PDS, c’est.. le PDS !! Dans son entêtement obstiné de réfléchir en termes de « unique constante » ! Il n’y a qu’une seule constante.. C’est Allah swt !! Nul n’est irremplaçable, nul n’est éternel ! Alors chers frères et sœurs libéraux il est grand temps de réfléchir ensemble, de façon sereine, sans parti pris à la mise en place d’une équipe nouvelle, dynamique, qui puisse refléter toutes les sensibilités qui gravitent autour du « SOPI » et partant revigorer et remettre d’aplomb le parti qui semble essoufflé et en léthargie.
Le pape du SOPI a mené sa vie tambour battant, avec fougue et passion autour d’un idéal auquel l’on retrouvés beaucoup d’hommes épris de changement, mais il faut noter qu’au terme de son deuxième mandat que beaucoup de ses compagnons de lutte qui jadis humaient avec lui l’âcre odeur des lacrymogènes socialistes sont laissés en rade au profit de marchands d’illusions plus prompt à ourdir des complots, à médire qu’à conseiller et accompagner les politiques de M° Wade. Ces violeurs de l’alternance ont terni l’image de la République par leurs agissements et causés du tord à l’image du Président. Alors que de nobles serviteurs, désintéressés et patriotes sont là, l’honneur en bandoulière avec comme seul sacerdoce, le suivi et la mise en place effective des politiques du chef de l’Etat !
Ce n’est pas tout de gagner une élection, le choix des hommes et des femmes capable de porter les charges et les orientations du Président est fondamental pour la réussite et le succès d’un mandat. Maître, revoyez votre copie quand à certaines nominations, il y va de la crédibilité de notre victoire (Inch Allah) et pour le cas du Président du conseil constitutionnel, cela nous permettra de couper l’herbe au pied des opposants qui craignant une débâcle aux prochaines joutes électorales entament le chant du cygne.
DonQuichotte
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