La dame qui avait accusé le ministre Arona Coumba Diouf d’avoir cherché à la violenter et aussi à la violer, brise le silence. Elle se livre à Direct Infos sans détours. Mme Barosso se confie.
« Ce fameux vendredi, c’est lui-même qui a fixé l’heure du rendez-vous. Je vais m’en souvenir le restant de ma vie. M. (Arona Coumba Ndoffène) Diouf aura transformé sa casquette de père, de Nidiaye (oncle) prétendu et de DG d’entreprise, ministre qu’il est, pour porter une autre. Il a bien tenté de me violer en se collant sur moi.
Avec mon refus, il m’a battue, ensuite traînée et jeté toutes mes affaires dehors pour des raisons que vous savez déjà », jure la jeune femme de 37 ans, mère de deux enfants de 8 et 7 ans et en instance de divorce avec son mari M.Barrosso.
« Je refuse de faire partie de sa collection de… Ma plainte a été déposée depuis. Aucune intimidation de lui et de ma mère ne me fera changer d’avis. C’est moi la victime. Je me suis rendue d’urgence à l’hôpital pour les coups et blessures sanguinolentes que j’ai reçus de ce dernier et j’ai acheté mes médicaments. Ma mère et mon père ne sont pas venus voir mon état de santé jusqu’à présent.
Je n’ai pas fait le tour des médias non plus. J’ai posté sur ma page Facebook et M.Diouf s’est permis de donner ma photo aux médias. Nous étions seuls dans le bureau. Il a pris la fuite quand j’appelais la police et l’huissier a bien constaté », ajoute-t-il.
Ce qu’elle ne veut pas, soutient-elle, c’est lui donner l’occasion d’abuser de son pouvoir sur elle. « Je mènerai ce combat jusqu’au bout pour ma dignité en tant que femme et mère avant tout, pour qu’il ne recommence pas avec d’autres », fait-elle savoir.
Joint au téléphone par « Direct Info », le ministre conseiller déclare : « Je pensais que ce dossier était clos après notre conversation téléphonique. Je ne vais pas y revenir. Elle a été renvoyée partout sauf chez vous. Faites ce que vous voulez, j’ai clos cette histoire ».
Direct Infos
Qu est qu elle allait faire dans ce bureau? Pour faire chanter les gens leur soutirer des sous ces femmes sont pretes a raconter des balivernes c est une honte tout le monde cherche l argent facile au Senegal meme s il Faut ternir la reputation d autrui
Elle a peut t être raison on ne sait jamais avec ces politiques