XALIMANEWS- Dénouement d’une affaire qui a duré près de deux ans. Selon Libération, dans sa plainte déposée depuis aout 2019, le leader du Pastef chargeait Mamour Diallo, Meissa Ndiaye, Tahirou Sarr et X pour escroquerie portant sur les deniers publics, faux, usage de faux et concussion. « Même à supposer établies, les infractions susvisées ne sauraient occasionner ou entrainer un quelconque préjudice ni directement ni personnellement pour l’auteur de la plainte ou quiconque à l’exception de l’Etat », estime le juge dans son « refus d’informer »
Avec SenCafeActu
Thiey mim reew! bi justice! Le scandale Petro Tim qui suspecte Aliou Sall and co ensevelie, l’affaire des 94 milliards mettant en cause Mamour Diallo enterrée. Pourtant cette même justice a instruit et vider les affaires concernant K. Wade et Kh. Sall en les condamnant à des peines de prison, pour des faits d’enrichissement illicite et de détournement de deniers publiques.
Il devient alors évident que les deux premiers cités ne doivent leur salut à des procès qui les auraient fait probablement condamner, qu’à cause de leur proximité, leur appartenance du « Macky ». Plus que jamais la justice sous ce régime est mise aux ordres et assure de ce fait, l’impunité à toute cette « mafia politique » qui nous dirige.
Un tel système qui pose un problème de gouvernance avec acuité devrait être combattu farouchement, sinon il risque de mener le pays vers une dérive certaine. Il est aberrant que des dirigeants se fondant sur une prétendue « confiance » accordée par le peuple pour le diriger s’autorisent tous les excès, en prenant en otage ce peuple.
La mainmise de la justice par ce régime de malfaiteurs est sournoisement orchestrée à travers une corruption systémique au sein de l’institution judiciaire. Par ce moyen nos dirigeants véreux projettent de se maintenir au pouvoir aussi longtemps que possible, afin d’échapper à toute poursuite judiciaire consécutive à leurs nombreux forfaitures et crimes.
Seulement ils semblent omettre une réalité qui veut que tout système aussi « puissant » soit-il, est voué à une fin certaine dans ce monde éphémère. Par ailleurs aucun régime ne saurait résister à la fureur d’un peuple décider à en découdre avec ses dirigeants résolument disposés à abuser d’eux constamment.