XALIMA NEWS – Libération, dans son édition du jour, pointé les failles du gouvernement qui disposait de 60 jours pour apporter sa version des faits au groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations-Unies dans le cadre de l’affaire Karim Wade. Non seulement les réponses du ministère de la Justice sont arrivées en retard mais il n’a pas sollicité de délais supplémentaire. Conséquence : le Groupe de travail n’as pas tenu compte des réponses du gouvernement dans son appréciation des faits.
Comme révélé par la presse, hier, le Groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations-Unies a déclaré arbitraire la détention de Karim Wade en plus de demander au gouvernement du Sénégal de prendre les mesures nécessaires pour remédier au préjudice subi, en prévoyant une réparation intégrale. La lecture de l’avais numéro 4/2015 concernant l’affaire Karim Wade renseigne sur une défaillance sans précédent qui met fortement en cause le gouvernement pour ne pas dire le ministre de la Justice. En effet, Groupe de travail a dû instruire à charge pour la simple raison que des réponses du Gouvernement ne lui sont pas parvenues.
Le Groupe de travail a entamé l’instruction du dossier après les informations reçues d’une « source ». Bien avant de délibérer, il a sollicité la version du Gouvernement pour se faire une idée. Mais, comme le renseigne l’avis obtenu par Libération, « le Gouvernement n’as pas répondu dans les délais impartis à la communication ». L’avis se veut plus détaillé au point 22 de la page 5 : « Le Groupe de travail a communiqué au gouvernement, le 25 juin 2014, l’ensemble des informations reçues de la source ». Mais celui-ci n’avait pas sollicité de délais supplémentaires ni apporté quelques explications. En conséquence, la réponse du gouvernement ne saurait être admise au dossier et prise en compte dans l’appréciation du groupe de travail. Comment cela a-t-il pu être possible si on sait que l’Etat du Sénégal avait deux mois pour faire valoir ses arguments ?
Libération via Leral
Et si le ministre de la justice cherchait là à aménager une porte de sortie pour Macky Sall, quitte à servir de fusible ou à encaisser les remontrances des Yakham.
Le ministre de la justice a hérité des bévues de Mimi Touré pour la satisfaction du cœur de Macky Sall et des Boloré. Il n’a pas pris son courage à deux mains pour dire la vérité tout de suite, à savoir que ce dossier n’avait rien de juridique, qu’il s’agissait d’une vengeance d’un président indigne d’une république. Il a cru que ses artifices de connaisseurs des arcanes du droit conjugués au travail assidu d’abêtissement de la presse des 100 lui fera trouver une formule pour rendre Karim Wade inapte politique (c’était le but de l’acharnement de Macky) tout en sauvant la face du président qu’il faut présenter comme un républicain qui ne veut pas s’immiscer dans les affaires de la justice, sauf pour limoger exceptionnellement le procureur en pleine audience au tribunal. Alors plus le temps passe, plus cela devient plus difficile. Parce qu’il fallait comprendre dés le début que le temps est l’ennemi du mensonge. Petit à petit les abasourdis de fortes doses de médiatique se réveillent et comprennent, et il devient plus difficile de leur faire croire que le Soleil se lève au Nord.
Macky Sall en a trop fait. on a dépassé le temps des possibles rafistolages. Que Macky prennent son courage à demain pour poursuivre sa dictature, son terrorisme qui n’épargne même pas de terroriser de pauvres dames pour qu’elles épousent ses ministres.
Des noirs sont tues a la frontiere espagnole par l armee espagnole a melia et ceuta en 2006 d autres servaient de cobayes dans des camps de regroupement ou les scientifiques espagnols procedaient des prelevements sur les negres l onu n a pipé mots maintenant qu il viennent nous tympanisés mais la faute incombe a nous africains qui refusons le progres et l independance…pour sombrer dans la paressse et la facilité
T hors suijet … Ils se sont mis dans cette situation eux meme. Parlant de l article c bidon.. L etat n a jamais eu de preuve c eat juste vengeance
Karim sera libéré et indemnisé, non pas parcequ’il est detenu abusivement ou qu’il soit innoncent, mais surtout parcequ’il a affaire avec des incompténts, qui racontaient sur tous les toits ce qu’ils vont faire avant de le commencer, de ce fait l’état ne pourra rien prouver.
L’illustration parfaite de cette incompétence est contenue dans la réponse de l’état du sénégal au comite des droits de l’homme.
Comment un état pléthorique fait-il pour ne pas trouver une seule personne compétente pour laisser passer un délai de deux mois pour répondre dans un dossier aussi important?
J’ai eu mal en lisant les arguties develeppées par l’état du sénégal.
C’est une honte.
Déposer un argumentaire hors délai et se comparer avec un autre pays africain qui avait vu ses moyens retenus hors délais.
On a presque envi de vomir.