Affrontements entre forces de l’ordre et marchands ambulants à Petersen
DEPECHES
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les ambulants sont d’une indiscipline tel que les mairies ont intérêt a gagner ce rapport de force,si les mairies baissent les bras ce sera la pagaille a jamais
Il faut que l’ordre,la discipline citoyenne et la décence prévalent.Trop, c’est trop car on commence même a exporter dans le monde notre bordel generalisé
Jamais un désordre ne fera régner l’ordre.
Rappel.
Khalifa Sall aurait été courageux, il aurait été visionnaire, il aurait été moderne, il aurait été un homme de rupture, si et seulement si,
il n’y a aucune possibilité de moderniser, mettre de l’ordre, développer, transformer Dakar en vitrine de l’Afrique, sans, casser, sans brûler, sans priver des millions de citoyens de leur gagne pain.
Encore cette idiotie de « On ne peut faire d’omelettes sans casser des eux », encore cette idiotie de mettre de l’ordre en cassant . En 2013, on fait bel et bien des omelettes sans casser d’œufs.
Comment se peut-il que des citoyens qui ont toujours gagné leur vie d’une activité, et parfois depuis 40 ans, depuis deux à trois générations, se retrouvent brusquement privé de cette activité, et qu’on trouve des personnes pour dire bravo ? C’est dire que l’autorité qui est responsable de cela et les citoyens qui applaudissent n’ont pas l’être humain et son bonheur au centre de leurs activités. Si ce qu’ils font et ce qu’ils désirent ont comme but l’être humain, ils n’auraient jamais, pour quelques raisons que ce soit, penser priver un père de famille de sa source de vie, même pour un jour.
Khalifa était maire sous le pouvoir précédent, mais jamais il n’a pensé, déguerpir, casser, sans, au préalable (condition siné quoi non) mettre en place des structures de transition. Et cela mérite réflexion. Pourquoi, il ne l’avait pas fait ?
Le citoyen, l’être humain n’est pas (ou plus) au centre des projets de Khalifa Sall. Alors ses projets visent quoi ? Allez le lui demander. Des textes sur l’environnement, des normes, ont été signé entre 2001 et 2003. Et les textes sur les impacts environnementaux des projets ont commencé à être appliqués.
Tout projet au Sénégal devait commencer par une étude d’impact environnemental. Autrement dit, une enquête pour savoir les effets du projets sur la santé des personnes, sur leurs revenus, sur leur habitat, sur les eaux qu’ils consomment, sur leur cadre de vie. Et ce n’est pour savoir s’il faut arrêter le projet ou pas. Mais c’est pour ficeler un projet avec un cahier de charges qui intégrera les résultats de l’étude d’impact. Par exemple l’étude d’impact peut produire un cahier de charge qui exigera des travaux qui ne seront réalisés que la nuit. Toute entreprise soumissionnaire doit pouvoir respecter cette clause pour le bien des populations même au moment des travaux. C’est dire que cette démarche rendue obligatoire par des textes en vigueur au Sénégal n’a lieu que parce c’est le bien de l’être humain qui est au centre du projet. Tout projet doit pouvoir s’exécuter sans perturber personne ou perturber le moins possible. Qu’est ce qu’on est loin, alors, de la ritournelle « on ne peut faire d’omelette sans casser des eux ». Les gens qui ne peuvent pas comprendre cela ne peuvent pas comprendre comment vivent les métropole actuelles, des villes de millions d’habitants, toujours en chantier et où la vie continue comme si de rien n’était.
ici, des gens guidés par leur cœur veulent nous faire avaler que c’est impossible de développer sans faire mal.