XALIMANEWS-Le 16 décembre marque la Journée de la Réconciliation en Afrique du Sud, un symbole de l’aspiration à l’unité après la fin de l’apartheid. Trente ans après l’avènement de la démocratie, les inégalités persistent, notamment en matière d’accès aux terres.
La petite-fille de Nelson Mandela, Ndileka, s’engage activement pour un processus de réconciliation toujours inachevé, dénonçant l’inaction des autorités et les défis auxquels les jeunes sud-africains font face.
Le 16 décembre, jour de la Réconciliation en Afrique du Sud, marque les 30 ans de démocratie, mais les inégalités persistent, notamment en matière d’accès aux terres. La petite-fille de Nelson Mandela, Ndileka, estime que le processus de réconciliation est inachevé. Elle critique l’inaction du gouvernement, notamment en matière de justice sociale, et déplore la frustration des jeunes, souvent confrontés au chômage et à la délinquance. À travers sa fondation, elle milite pour l’émancipation de la jeunesse « born free », incitant à une action immédiate pour garantir un avenir meilleur. Les Sud-Africains sont appelés à s’impliquer activement pour poursuivre ce travail de réconciliation.