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Agression d’un petit fils du Khalif des mourides: le commissaire de Gouye-Mbind et ses 3 agents suspendus

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XALIMANEWS: suite à l’agression de Serigne Bassirou Mbacké, petits-fils du Khalife Général des Mourides, le commissaire de Gouy Mbinde et ses agents ont été suspendus. Il a été « cueilli chez lui par erreur, battu, menotté, traîné par terre ».

En effet, l’autorité de tutelle a décidé de suspendre ces éléments du lieutenant Faye et de remplacer ce dernier. Le futur maître des lieux vient du poste de police de Diamaguène 2.  Désormais, le lieutenant Pape Ndiogou Mbaye aura en charge le poste de Gouy-Mbind.

2 Commentaires

  1. Les violences policières doivent être sévèrement sanctionnées au senegal. Les policiers senegalais se croient tout permis et n’ont que la violence comme argument devant le citoyen dont ils ont pourtant la mission de protéger et d’assurer sa sécurité. Même dans la communication le langage qu’ils utilisent envers le citoyen est totalement dégradant et méprisant. Il faut faire les états généraux voire un dialogue national sur les relations entre la police et le citoyen. Il faut reformer l’enseignement reçus par les élèves policiers et policières en insistant sur l’aspect savoir être et savoir servir le citoyen. L’enseignement
    dont on parle tant au senegal doit commencer et être intensifié chez les policiers. Toutefois, je trouve que sur cette belle sanction deux poids deux mesures. L’on se rappelle l’affaire du commissaire sankhare qui a brutalise, menotte et même conduit à la police un pharmacien dans sa pharmacie et dans l’exercice de ses fonctions. Aucune sanction pour ce commissaire au contraire il aurait même eu une promotion dernièrement. Alors, peut-on penser que dans ce cas présent, parce qu’il s’agit d’un petit fils du khalif que ces policiers ont été sanctionnés ?.

  2. Les violences policières doivent être sévèrement sanctionnées au senegal. Les policiers senegalais se croient tout permis et n’ont que la violence comme argument devant le citoyen dont ils ont pourtant la mission de protéger et d’assurer sa sécurité. Même dans la communication le langage qu’ils utilisent envers le citoyen est totalement dégradant et méprisant. Il faut faire les états généraux voire un dialogue national sur les relations entre la police et le citoyen. Il faut reformer l’enseignement reçus par les élèves policiers et policières en insistant sur l’aspect savoir être et savoir servir le citoyen. L’enseignement
    civique dont on parle tant au senegal doit commencer et être intensifié chez les policiers. Toutefois, je trouve que sur cette belle sanction il y’a deux poids deux mesures. L’on se rappelle l’affaire du commissaire sankhare qui a brutalise, menotte et même conduit à la police un pharmacien dans sa pharmacie et dans l’exercice de ses fonctions. Aucune sanction pour ce commissaire au contraire il aurait même eu une promotion dernièrement. Alors, peut-on penser que dans ce cas présent, parce qu’il s’agit d’un petit fils du khalif que ces policiers ont été sanctionnés ?.

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