Accusée à tord ou à raison d’être au centre du divorce entre l’actuel Premier ministre, Mimi Touré et le coordonnateur du Parti démocratique sénégalais Oumar Sarr, Aïda Ndiongue paye t-elle les frais de son attitude ?
La question est aujourd’hui sur toutes les lèvres. En effet, depuis qu’Aïda Ndiongue a été inculpée et que sa fortune révélée à la place publique par le Procureur, les attaques et accusations fusent et de l’opposition et du pouvoir. La dame Aïda Ndiongue est aujourd’hui au centre des commentaires, même les plus fous. En atteste les confidences révélées par l’Observateur qui renseigne que lorsque Oumar Sarr Sarr se préparait à se marier avec l’actuel Premier ministre, il a fait d’Aïda Ndiongue sa « Ndieukké » (genre de belle sœur). Pour d’aucuns, ajoute le journal, si Aïda Ndiongue est aujourd’hui en prison c’est parce qu’elle paye les frais d’un rôle qu’elle aurait joué dans la séparation de Oumar Sarr et Mimi Touré. Vrai ou faux !
setal.net
des le debut j’avais des doutes sur ce dossier et maintenant tout est clair. sè de la vengance , mimi toure veut detruire cette dame en utilisant la force de notre gouvernement
j’espère que la république, ne se laissera pas faire. moi je ne soutient pas MIMI TOURE, mais je détiens en possession des informations avérées et des détailles précises sur des complots politiques, montés de toutes pièces; par des mbacke-mbacke, tres en vues dans l’organisation du magal, qui cherchent de patrimonialiser la confrerie mouride, et en suite d’en faire une valeur d’échange d’une influence politique, avec à la faveur de laquelle il obtiendront du président de la république, l’abandon total des poursuites contre les délinquants de la république.
j’ai appris que, ces religieux, sont de mèche avec des journaliste chroniqueurs, qui gravitent au palais et cherchent à tenir en respect MIMI TOURE, soit pour qu’elle accepte le nouveau glissement de la politique de la traques des biens mal acquis, c’est-à-dire la politique du relâchement. soit qu’elle se tienne coule, en laissant faire.
Fabrique de milliardaires (suite)
Lorsqu’une république colonialiste s’approprie, par la force, en Afrique, des terres des paysans et les remet à un seul citoyen de ce pays pour les exploiter en faisant travailler des esclaves nègres, cette république n’a-t-elle pas enrichi ce privilégié ? Maintenant, le privilégié meurt et ses enfants héritent de la fortune colossale et des biens éparpillés dans les pays colonisés, ils l’agrandissent y font de la place aux politiciens. Maintenant, un petit homme d’affaire de ce pays intégre cette fortune par sa petite participation. Il prend le temps de comprendre tout le mic mac qu’il y a l’intérieur de cette fortune. Il s’attache les services de journalistes. Puis il commence un travail sous la forme de : «J’ai tout compris des choses louches, ici. Je veux plus, une plus grande part. Je veux la direction ou je révèle tout ». Et effectivement des révélations commencent à être publiées dans les médias. Le monde de cette fortune finit par se dire qu’il faut lui accorder ce qu’il dit pour pas tout perdre. Qui a rendu milliardaire ce petit homme d’affaire ? N’est ce pas l’état qui a compris et qui a refusé de remettre les choses en ordres ? Vous venez de lire un résumé de l’origine de la fortune de Bolloré. Le citoyen privilégié de l’état colonial, c’est l’aieul des Rivaud. La fortune celle de la banque Rivaud. Les politiciens sont du parti RPR devenu UMP. Notez bien que Bolloré est entré au sommet d’une fortune de façon pas trop orthodoxe sous les yeux complaisants du pouvoir. Notez que la même fortune a été fabriquée par la France pour un particulier et par la sueur des pauvres africains et autres colonisés. Le même Bolloré réinvestit chez nous et ça s’appelle argent propre. Qui a le monopole du sens des mots ?
Pour comprendre que Xeme n’a rien inventé, un lien suffit. Votre recherche fera le reste. tinyurl.com/l2h3xt4
J’espère que les mêmes recherches vous feront remonter la fabrique de beaucoup d’autres milliardaires. En Occident la source principale reste l’Afrique avec la complicité des états coloniaux qui ont facilité la tâche à leurs citoyens en terre d’autrui.
Pour ne pas être long sur les milliardaires de l’Occident, j’ai voulu ajouté le cas Bernard Tapie pour le cas d’école qu’il est et la multitude de leçons à en tirer pour la compréhension du Sénégal.
François Mitterand arrive au pouvoir à la suite d’une campagne basée sur un socialisme populiste. Le peuple l’élit parce qu’il promettait de tout réformer. Le peuple allait enfin reprendre son dû. Les biens du peuple vont être au peuple. Et effectivement, dés l’installation au pouvoir, les décrets dans ce sens se multiplient. L’assemblée (socialiste) vote tout. Mais dans le monde des détenteurs de fortunes (les capitaux), on a préféré regarder venir. Chacun s’est agrippé à sa fortune. Pas d’investissement. On attend de voir clair. La crise commence à être sentie. Pour le commun des français c’était incompréhensible. Les décrets sont bien écrits, les virgules sont mises au bon endroit, pas de faute d’orthographe, l’assemblée a voté, le peuple a applaudi, et pourtant tout le monde sentait un « deukeu bi dafa Mitterand ».
C’est en ce moment que les penseurs du pouvoir socialiste ont envisagé la fabrique d’un milliardaire, un golden-boy particulier. Parce que le milliardaire imaginé par les penseurs socialistes devait servir de cobaye. Il devait inciter les financiers réticents à investir. Et pour ce faire, l’état lui facilitait les acquisitions de sociétés boiteuses, même au franc symbolique, et lui assurait une couverture médiatique qui faisait croire que dés que Tapie reprenait quelque chose, tout de suite la santé financière revenait. Et le fameux slogan de Tapie était né : « Quand on travaille, on a de l’argent. Il n’y a pas de secret, il faut investir ». Alors les reprises se suivent : les Provinces, Crédit Lyonnais, Adidas, PSG, Groupe Hersant, Nice Matin, etc. L’homme connut sa période de médias. Il était sur tous les plateaux de télé. Normal. Il était celui que les autres devaient imiter.
Mais, avec même le pouvoir socialiste, Tapie se retrouve dans des dossiers judiciares qu’il était impossible de couvrir. Et quand les socialistes perdirent le pouvoir, les successeurs ne se génèrent pas pour détruire celui qui a été la mule, le porteur des idées des vaincus. Ainsi, autant Tapie a été milliardaires pendant une période, autant le château s’est écroulé. Mais, on a compris qu’il s’agit de la fabrique d’un pouvoir et de la destruction par un autre.
Dans mon prochain, texte inchallah, les fabriques de milliardaires en Chine et Russie.
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Le Mouridisme, en tant que voie de matérialisation spirituelle, d’accomplissements moraux et de ressourcement religieux, s’est toujours illustré de sa vocation d’éducation et d’élévation spirituelle ayant comme assise, la sagesse soufie -fondée autour du dogme, du dévouement et de l’abnégation- et de l’enseignement éclairé de CHEIKH AHMADOU BAMBA.
Autre temps, autre signe ! Maintenant que la gangrène d’affairisme contamine la chaumière, et que le système de « jebulu aki daara » que le Cheikh avait prévu comme rempart ; commence à s’écrouler sous le poids d’une course effrénée à l’enrichissement, surtout illicite de nos dignitaires religieux musulmans en général.
Le daara est devenu aujourd’hui, pratiquement orphelin, parce qu’il est sevré, du sein nourricier des mannes religieuses devenues biens personnels et de la tutelle des grands chefs religieux, qui ne s’en occupe plus. Du fait de la perte de son grand mécène, qui fut : SERIGNE SALIOU MBACKE. Sur ce plan, les KEUR SERIGNE TOUBA qui aidaient à la résolution de l’équation mendicité, l’une des pires formes de travail des enfants ; initialement, ils ont été effectivement créés comme des hospices destinés à recevoir des apprenants, à servir d’abri ou de refuge aux gens de couche sociale déshéritée et les dévots.
Donc, partant de cette conception de posture utilitariste, recommandée par le Cheikh, on peut affirmer sans risque de se tromper que la voie soufie, prônée par le Cheikh, recèle des remèdes et des réponses aux crises sociétales et sociales. Donc, il est beau de faire le tour du monde –par une démarche exotique pour magnifier l’œuvre et l’action titanesques de Cheikh Amadou Bamba, dont les exploits surhumains, les démarches chevaleresques, et l’engagement épique, sont gravés sur les frontons du temple de l’éternité.
Mais, tant que le Mouridisme continuera de se prêter à des pratiques hérétiques bannies par l’islam et proscrites par le Cheikh ; les quelles pratiques, qui défigurent la voie soufie du Cheikh ; nous serons loin des comptes, d’un soufisme sunnite prôné par le Cheikh.
A mon sens, les grandes rencontres, dites soufies dans lesquelles des discours ex-cathedra se prononcent, des chants de khassaïdes se déclament, sans qu’il y ait pour autant, une véritable auto- évaluation des mourides par rapport à l’enseignement du Cheikh, ces démarches ne représentent en réalité, que des tournées de grands-ducs et sont farfelues, contre productives, en un mot : une fuite en avant totalement étrangère au mouridisme pur.
Abou Hourayrat se prémunit à travers des invocations contre l’avènement de : l’an « 60 hégire » – 680 du calendrier grégorien – et l’émirat des jeunes émirs – imaratou sibyaan. Une telle situation, aux périls desquels, le Prophète lui-même, avait l’habitude d’en prévenir à toute la « oumma islamique ».
Cette date de l’an 60 hégire – 680 ère grégorienne – marque non seulement le décès d’ABOU HOURAYRAT, mais consacre le début de règne de la dynastie omeyyade, avec comme lot d’horreur et de désolation : la persécution contre la famille de Sayyidouna MOUHAMMAD entre autres, le bombardement de la Kaaba par la catapulte.
Les méfaits du « sacre des petits émirs » ne se limitent simplement pas à ces affres perpétrées par les omeyyades, mais en 680, les notables de la ville shi’ite de Kufa décident de mettre sur le trône Husayn, deuxième fils d’Ali. Le détachement militaire shi’ite est détruit à Karbala la même année, et Husayn tué.
A La Mecque, Abd Allâh ibn Zubayr, petit-fils d’Abu Bakr, refuse de faire acte d’allégeance à Yazid Ier. Il se proclame calife en 681, reçoit de nombreux soutiens et étend son pouvoir jusqu’à Basra (Irak). Il est écrasé par le calife Abd al-Malik (prise de La Mecque en 693).
Le kharidjisme commence à se montrer de nouveau menaçant : des émeutes éclatent à Basra (678) et à Kufa (680). Cette dernière ville est placée sous haute surveillance et les éléments kharidjites les plus turbulents, sont déportés dans d’autres provinces de l’empire.
Et en conclusion, étant donné que les petits émirs sont atteints par le virus des tentations du pouvoir, et de la griserie de son corolaire qui est l’argent et le luxe insolent, ils sont incités souvent à adorer le vau d’or.
Et dans cet ordre d’idée, ces tournées tumultueuses, à l’exemple des vols spéciaux, du comité d’organisation du Magal, à travers le monde, sous la houlette des jeunes maras, qui sont plus tentés par l’argent et le luxe, ne sont pas étrangères de cette logique, d’adoration du vau d’or.
A Touba, il y a un mauvais ciblage des œuvres et objectifs de développement. Les voix autorisées, invoquent toujours la question de la densité démographique, pour faire appel aux services régaliens de l’Etat, sans pour autant, s’évertuer un seul instant, à y associer la population souveraine, la première concernée.
Il n’est pas du tout normal, il est antirépublicain et contre toutes les règles du libre choix des citoyens électeurs, que la liste unique leur soit imposée. Ce qui est un cas singulier à Touba dans toute la République. Ceci représente à vrai dire, l’expression typique d’un baiser de judas démocratique, contre la souveraineté des citoyens de Touba. Avec toutes les ressources financières, les dotations et autres subventions tirées des caisses de l’Etat, dont Touba bénéficie au nom de ses populations, la composition de l’institution du conseil rural ne devrait en aucune façon se faire autours de personnes choisies indépendamment de la volonté souveraine des citoyens. Comme cela se fait partout dans l’étendue du territoire national, les citoyens de Touba ont aussi droit à avoir un large éventail de listes de candidats pour faire le choix démocratiquement, de leurs dirigeants au sein du conseil. Sinon, on tomberait dans les travers d’une féodalité religieuse qui ne dit pas son nom.
Donc la liste unique représente : le chancre d’inoculation d’un césarisme religieux et l’incubation d’un centralisme religieux dans la gouvernance locale. Pour conclure, je dirai qu’aucun NDIGËL ou appel, qui ne feront pas l’économie des conditions de vie difficiles des talibés et de la dégradation des mœurs, ne sauraient nullement faire valoir d’argumentaire religieux.
Serigne Fallou Dieng maitre soufi et président du cercle des soufis
En tout le « bara yëgoo » se prepare sous l’impulsion des chefs religieux du senegal. qui veulent vaille que vaille, inciter les sénégalais à arrêter la traque des voleurs.
cette attitude irresponsable est condamné par l’islam. l’islam invite ceux qui l’incarne à s’intéresser aux affaires des pauvres fidèles et à ne pas être des hérauts de la fatalité et de la résignation, pour le simple compte de la classe dominante et de l’ordre politique toujours regnant.
les religieux ont beau inviter les enseignants, à reprendre les cours, ou blâmer un adversaire politique du régime, mais ils n’ont pas droit de le faire, simplement pour les beaux yeux de MACKY SALL,qui commence à en avoir l’eau de bouche, du collaborationnisme religieux. les religieux. eux aussi ils s’intéresse du clientélisme politique, pour pérenniser leurs influence politique, afin de pouvoir négocier, le sort de leurs protégés, qui font l’objet de poursuite judiciaire. et pour réaliser cette objectif il faudrait impérativement abattre tous les domino encombrant, soit pour les tenir en respect c’est-à-dire qu’ils sachent de quoi s’en tenir, soit qu’ils y adhèrent.
secundo promouvoir un collaborationnisme politico-religieux, sur fond de perfusion étatique.
c’est là où les déboires politiques, que les gens prêtent à MIMI TOURE; coule de source s’ils se vérifient