Joint par nos soins, M. Seck déclare : « C’est vrai. J’ai passé six heures à la Dic dans le cadre de l’enquête sur une voiture du Pds incendiée à son siège. Convoqué à 12 heures, je ne suis sorti de la Dic qu’à 18 heures ». Et le moral ? « Eh bien, comme d’habitude, au top. Je suis d’attaque et leur rappelle que l’intimidation ou la répression valide nos doléances ».
Et de poursuivre : « La répression traduit l’affaiblissement du pouvoir ».
A la surprise générale, à 19 heures 25, Malick Noël Seck qui venait de retourner chez lui après six tours d’horloge d’enquête, nous signale qu’il vient d’être rappelé à nouveau par les enquêteurs. « Je dois retourner tout de suite à la Dic parce que les enquêteurs disent avoir omis de me poser certaines questions. Je ne sais pas si c’est un piège, mais j’y vais à l’instant même. Et demain, nous tiendrons une conférence de presse relativement à cette affaire ».
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