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Le cancer du sein a dévasté sa vie avant que sa famille n’enfonce le clou en lui faisant vivre l’enfer dans leur propre maison. Seynabou Dial, 39 ans, journaliste, est la victime malheureuse de sa propre fratrie qui la confine dans une spirale hallucinante de maltraitance, d’humiliations et de…coups mortels. Alors qu’elle venait de subir une mastectomie, elle est battue et ligotée par sa famille qui la passer pour une droguée. Meurtrie, au bord du gouffre et laissée à elle-même, elle livre à Weekend son « testament ». Le récit est irréel, dramatique. Tout simplement pathétique.
« Je m’appelle Seynabou Dial. J’ai 39 ans. Je suis née à Dakar mais j’ai grandi en France avant de revenir au Sénégal en 1995. J’ai eu à exercer le métier de journaliste dans différents organes de presse du pays, comme le Témoin, L’Info 7, Walf FM, Le Quotidien etc. cette interview est un appel car il se passe des choses graves dans ma vie. Je ne suis pas bien portante et je ne reçois aucune aide venant de la famille avec laquelle je vis et dont je suis l’aînée. Et je pense que si je n’en parle pas publiquement, je risque de finir mes jours sur un malentendu. Car si je meurs aujourd’hui, les gens pourront penser que je suis morte à cause de ma maladie ou que c’est le destin qui en a décidé ainsi alors que je suis victime de mauvais traitements. Je vis dans une ambiance viciée par la haine et la méchanceté et ceux qui me font subir cela, ce sont mes propres parents, à savoir ma mère, mes frères et mes sœurs. Quand des gens se liguent pour vous détruire, il faut savoir être combatif. Je veux qu’on sache exactement ce que je vis tous les jours. Cette interview aura forcément des retombées négatives pour moi car je touche un sujet tabou à savoir les relations parents-enfants qui sont entourées du sceau de la sacralité au sénégal. Mais il y va de ma vie, de mon équilibre physique et même mental.
Depuis 2005, je souffre du cancer du sein. Quand je me suis rendu compte que je développais un cancer du sein, j’étais dévastée. En fait, cela a démarré par une grosseur. Je suis allée voir un médecin, il m’a fait un prélèvement qu’il a envoyé à l’institut Pasteur. Quand je suis allée prendre mes résultats, j’ai vu qu’il s’agissait d’un cancer du sein en stade avancé puisque le tissu graisseux était touché. Donc il fallait faire une mastectomie (ablation du sein, Ndlr). J’ai refusé de faire cette opération car je me disais que ce serait la fin de ma vie de femme. Ce jour-là, j’étais en compagnie de ma mère. Une fois dans la voiture, comme nous étions en compagnie d’une parente alitée, j’ai demandé à ma mère de sortir pour que je puisse lui parler. Elle m’a répondu que je pouvais parler devant notre parente. J’ai insisté mais elle a refusé de sortir. J’étais bouleversée. Je suis sortie de la voiture et je suis partie voir un de mes oncles qui m’a consolée et revigorée. Le soir, je suis rentrée à la maison et c’est là que ma mère a daigné m’adresser la parole pour me demander ce que j’avais. Quand je lui ai dit que je souffrais d’un cancer du sein, elle m’a juste dit : « Ah bon ! » elle ne s’est pas effondrée, ni n’a pleuré. Ensuite, on est allées ensemble à l’hôpital Aristide Le Dantec. Lors de ma thérapie, ma mère a payé le Taxoter qui est la forme de chimio la plus chère et qui coûte 1 300 000 F Cfa. Comme après la chimio, on ne se sent pas très bien, il faut prendre des médicaments pour soulager les douleurs, ma mère m’a dit qu’elle s’engage à payer la chimio mais qu’il revenait à mon père de s’occuper de mes frais médicaux.
«Ma mère, elle m’a répondu cyniquement : « Je gère ta chimiothérapie mais, je ne pas gérer le soutien moral. Ne me prends pas en otage avec ta maladie. »
Ce n’est pas tant le cancer qui me fait souffrir mais, plutôt la chimiothérapie avec ses effets secondaires. Concomitamment à cela, j’ai développé une tachycardie. Mon pouls bat à 120 à l’heure. Cette chimio m’a affaiblie car en plus des problèmes cardiaques, j’ai des problèmes articulaires, d’allergies et j’ai développé une hyperthyroïdie. Je devais intégrer le groupe de presse de Laye Bamba Diallo (Nouvel Horizon, Ndlr) mais, vu que j’étais malade, ma mère m’a demandé, devant le médecin d’arrêter de travailler. Je me suis opposé à cela car je savais qu’elle n’allait pas me soutenir. Elle a juré qu’elle m’aiderait. Par la suite, vu qu’il était impératif de pratiquer l’ablation, j’ai dû arrêter de travailler. J’ai finalement accepté la mastectomie car ma mère m’avait assuré qu’elle allait me payer la chirurgie réparatrice. On m’a fait l’ablation et pour les séances de chimio, ma mère me déposait pour aller travailler. Ce n’était pas évident car tous les malades étaient accompagnés alors que moi, j’étais toute seule. Le soir, je n’arrivais pas à dormir car j’étais complètement anéantie, comme si j’étais face à ma propre mort. Je faisais des crises d’angoisse. Un nuit, j’en ai fait part à ma mère, elle m’a répondu cyniquement : « Je gère ta chimiothérapie mais, je ne pas gérer le soutien moral. Ne me prends pas en otage avec ta maladie. »
A partir de ce moment, je me suis fait une raison et j’ai vécu ma maladie toute seule. Sans le soutien d’aucun des membres de ma famille. Mes parents sont divorcés et je vis avec ma mère et mes frères et sœurs. Le jour de l’opération, mon père était présent de même que ma mère et une tante. Quand je suis sortie de l’hôpital, la situation s’était envenimée. C’était dispute sur dispute. Aucun des membres de ma famille ne daignait se soucier de moi. J’étais seule dans ma chambre et les membres de ma famille vaquaient à leurs occupations sans se soucier de moi.
« Au lendemain de la mastectomie, ma famille m’a frappée, ligotée et fait passer pour une folle »
Un jour, j’ai eu une altercation avec un des gardiens de la cité. Il m’a crié dessus et comme je me laisse pas faire, j’ai répondu. Ma mère a dit au gardien que si toutefois, j’exagérais, il n’avait que me battre. Ce dernier l’a prise au mot et il m’a frappée. Je m’en suis tirée avec des blessures. Je suis allée porter plainte au commissariat de Dieuppeul, certificat médical à l’appui. Le gardien a été convoqué à la police et il juré qu’il n’avait pas levé la main sur moi. A la seconde convocation, ma mère est venue elle-même avec la convocation. Ce qui était totalement illégal. Elle a parlé au commissaire qui m’a dit que l’affaire était close. La plainte a été étouffée car ma mère a préféré protéger le gardien au détriment de sa fille. Ma mère est une personne influente et mère des gens qui peuvent cesser des actions en justice. Par la suite, la situation s’est aggravée. En avril 2005, comme on m’avait fait la mastectomie, je devais garder mon bras immobile tout le long de mon corps. Un jour, je me suis disputée avec la domestique de la maison, elle s’est amusée à sortir un couteau. Je n’ai pas supporté cela. Mon jeune frère, sur l’injonction de ma mère, m’a frappée alors que je venais d’être opérée. Ma blessure est rouverte et ma mère a demandé à mon plus jeune frère de me ligoter les deux bras dans le dos. Ce qui m’a fait le plus mal c’est le fait de voir que mon propre frère obéissait au doigt et à l’œil à ma mère car il lui doit tout. On m’a ficelée et traînée au commissariat de Dieuppeul. Une fois sur place, ma mère a demandé aux policiers de m’enfermer sous prétexte que j’étais folle. J’ai dit aux policiers que je venais de rencontrer mon médecin et que j’étais saine d’esprit et que s’ils m’enfermaient, ils auraient des ennuis. Les policiers ont dit à ma mère qu’ils ne pouvaient pas m’enfermer car je n’avais rien fait. Ma mère m’a emmenée à l’hôpital Fann. Les médecins m’ont administré un psychotrope, un calmant si puissant que je me suis endormie presque pendant 24 heures d’affilée. A mon réveil, je me suis renseignée auprès d’un agent de la police centrale. On m’a dit que je pourrai porter plainte avec constitution de partie civile et que je devais payer 15 000 F Cfa. Je n’avais pas une telle somme avec moi, vu que j’étais sans ressource. Je suis retournée à la maison et j’ai dit à ma famille que cette fois-ci, j’allais porter plainte. Ma mère m’a répondu cyniquement : « Si tu fais cela, je dirai partout que tu te battais avec moi et que tu voulais me pousser dans les escaliers et c’est pour cela que ton frère t’a battu. » je lui ai répondu : « Tu ferais cela ? Toi qui passe ton temps à prier ? » J’étais abasourdie. Par la suite, comme je n’arrivais pas à trouver l’agent pour payer et vu que mon frère devait se marier, une tante m’a convaincue de laisser tomber la plainte. J’ai cédé. Avec mes frères et sœurs, on s’adorait mais au fil du temps, ma mère les a tous montés contre moi. Je ne saurais dire comment est née cette haine viscérale que ma famille, a, à mon égard. Je sais que depuis que je suis toute petite, ma mère me maltraite. Aussi longtemps que je me souvienne, j’ai toujours été le souffre-douleur de ma mère et je me souviens qu’une fois, on était encore de petits enfants, elle dit ceci : « C’est bon d’avoir des enfants auprès de soi comme cela au moins, on pouvait se défouler sur eux. »
« Ma famille raconte partout que je drogue. Mon père m’a renié. »
Ma famille passe son temps à raconter des horreurs sur moi. Une fois, un ami m’a interpellée pour me dire que ma famille véhicule la rumeur selon laquelle je me droguais. Et cela est dû au simple fait que je prends régulièrement du Temesta 2.5mg, qui est en fait un tranquillisant. Je me suis renseignée auprès d’une clinique spécialisée dans la désintoxication et ils m’ont dit que le Temesta n’est pas une drogue. J’ai demandé à ma mère de m’accompagner là-bas pour qu’elle ait la confirmation, elle a refusé et m’a dit que le Temesta était une drogue. Sans plus.
Après la chimio, j’étais obligée de me prendre en charge. J’ai intégré Annour Fm en 2005, puis Top Fm en 2006, Xew-xew Fm à Mbour en 2007. En 208, j’ai intégré un cabinet d’ingénierie financière (Ife) puis, j’ai été coordonnatrice de la radio X Fm à Guédiawaye en 2009. Et depuis que j’ai quitté ce poste à cause de divergences avec le patron, je suis à la recherche de boulot. Je suis de plus en plus faible. Mes parents refusent de m’acheter mes médicaments alors que pendant deux années successives (2005 et 2008), ma mère a convoyé gratuitement des personnes à la Mecque. Tous les membres de ma famille se sont détournés de moi car ma mère me faisait passer auprès d’eux pour une folle. Mon père qui s’est remarié ne croit rien en ce que je lui raconte quand je lui dis que je suis victime de maltraitance. Sa femme, qui a réussi à me séparer de lui, m’a dit un jour que j’étais jalouse de son frère et c’est pour cela que j’agissais ainsi. Puisque mes parents se sont séparés et que ma mère a dû tout assumer, mon père préfère la laisser faire et prendre pour argent comptant tout ce qu’elle lui dit. Mon père n’aime pas prendre parti. Il n’aime pas les conflits. Il est énormément changé à mon égard. Une fois, je suis allée chez lui car je n’avais plus un sou et je voulais qu’il me dépanne. Ce jour-là, il m’a frappée sans raison évidente et j’ai rendu le coup. Par la suite, on s’est réconciliés et il m’a donné sa bénédiction. C’était un lundi. Le jeudi suivant, ma mère m’appelle et me dit que mon père a appelé pour dire qu’il me reniait et qu’il ne voulait plus me voir chez lui. Tel que je connais ma mère, je sais qu’elle a dû lui dire quelque chose pour nous mettre en mal. J’ai appelé mon père pour y voir clair. Il m’a dit : « Merde, fais chier ! » et il m’a raccrochée au nez. Apres cet incident, je n’ai plus cherché à le voir. On se voit que durant les cérémonies familiales. Même quand il partait à la Mecque, il ne m’a pas informée et pourtant, je suis sa fille aînée.
« Je veux que les gens sachent qu’au Sénégal, une famille peut tuer impunément son enfant parce qu’on a des préjugés sur les rapports parents-enfants »
Ma famille me reproche de ne pas m’être mariée. Alors que c’est elle qui est responsable de mon célibat. Car, à mon retour au Sénégal en 1995, je voulais convoler avec un français mais mon père s’y est opposé sous un prétexte fallacieux. Sa petite sœur est venue me voir pour me dire que mon père lui a affirmé que j’étais la cause de sa maladie et qu’il mourrait, je n’avais qu’à ne pas me présenter à ses funérailles. Cela ne s’est pas fait finalement. Il a eu le culot de me reprocher quelques années plus tard le fait que je ne me sois pas encore mariée. On me reproche tout. Même le fait que je sois maigre et affaiblie. Je suis une paria dans ma propre maison. Je passe mon temps enfermée dans ma chambre. Cette année, quand ma mère est partie à la Mecque dans le cadre de son travail (voyagiste pour la Mecque, Ndlr), elle m’a juste laissé un billet de 5000 F Cfa. J’ai crevé la dalle. Ma mère m’a laissée à la merci de ses trois enfants. Je refuse d’avoir peur et de subir des menaces.
Aujourd’hui, la situation est plus tendue que jamais à la maison. Je suis sans ressources et j’ai besoin de m’éloigner d’eux, d’être hospitalisée et de trouver un emploi. Je sais que ce témoignage peut me nuire pour trouver un emploi et peut me coûter d’être mise dehors. Mais je préfère que les masques tombent plutôt que de vivre dans ce simulacre de comédie. Je me sens de plus en plus affaiblie. Cette interview est un appel à l’aide et un testament. J’ai prévenu la police et ma famille mais personne n’a réagi. Au contraire, ils se sont tous débinés car ils ont peur d’affronter ma mère.
Je veux que les gens sachent qu’au Sénégal, une famille peut tuer impunément son enfant parce qu’on a des préjugés sur les rapports parents-enfants. J’ai demandé autour de moi, mais il n’y a pas de foyer qui accueille des jeunes adultes au sénégal. Je suis condamnée à vivre sous son toit. Je suis en train de mourir à petit feu. »
Par Ndèye Fatou Seck, [email protected]
Weekend Magazine de la semaine du 23 au 29 octobre 2010
tu n’est qu’une fille gatee qui ignore ce qu c’est l’education familial.tu pense que avec ta plume ou ta langue tu peux tout avoir.c’est comme ca qu’on finit si on est impoli.suit le chemin de tes freres et soeur;on ne oeut pas etre sous lr toit de quelqu’un et lui dire ce qu;il doit faire.traite les gens commes tu veux qu’on te traaite.Merde!
le malheur est qu’lle a raison! mais té une personne brave! mais est ce que tu te rends compte que Dieu t’aime beaucoup! ne crain pas la mort car le jour du jugement dernier yaura des explications! et on parlera a ta place. que dieu te garde! je ne t’oublierai pas in cha allah! courage sister:::
salut c domage je vous jure que je peux croire a ellecar jai vu la meme chose dans une famille la soeur ainee est abandonnee et montee contre toute sa famille elle souffre du matin au soir sans avoir ancun soutitnt de sa famille au senegal il ya du tout
il y a des non dits, pourquoi ton pere te frappe sans raison,qu est ce que tu lui as dit, pourquoi tu te disputes avec tout le monde, les gardiens, les bonnes etc.
je souhaite que DIEU te vienne en aide pour ta maladie et qu il t assiste,mais revoie ton comportement avec ton entourage car j ai comme l impression que t es difficile et invivable.et je me demande meme si ta langue n est trop tranchante…..
il faut respecter et aimer ces parents, si ta mere ne t aimait pas, tu n allais pas vivre toutes ces anness, elle a eu l occasion a maintres reprises de t eliminer depuis que tu etais bebe.ressaisis toi et essaie d etre plus agreable,
chers parents eduquez vos enfants a bas age, ceci c est le resultat de trop de gateries.
YALNALA YALLA SOUNOU BOROOM TAKHAWOU TE DEFFAL LA LI GUEUNE SI YAW.BONNE GUERISON ET BEAUCOUP DE SOULAGEMENT POUR TA DOULEUR.
wa salam.
tout dabord bonjour et courage ma soeur je partage beaucoup ta peine ce nest pas evident dtre malade et de penser a tt cela il faut laisser tt ds les mains de dieu dieu est grand il faut prier tt le tps faire des sacrifices sinon je suis prete a aider te donner une chambre argent pour tesmedicaments ce qui est a mon pouvoir essaie de me contacter de ce fait je pourrais tappeller you really need help
Tu n’es pas seule , certes tu souffres , mais tu n’es pas seule : ALLAH est avec toi , car lui , IL t’aime . ALLAH est le guerisseur par excellence ; qu’IL te vienne en aide de par son infinie bonte . QU’IL te guide vers une guerison prochaine ….
Plus de courage
le problème est que tu veux prendre en otage tout le monde. que tout ton entourage cesse leurs activités à cause de toi. celà est impossible. ta mère s est beaucoup sacrifiée pour toi ce que d autres pourraient ne pas faire.tu as trop peur de la mort surement ta maman ou un de tes proches souffrent aussi sans faire autant de bruit.^sache que la mort peut frapper n importe quel individu et à tout moment. tu nes pas plus proche de la mort que tes parents. essaie d oublier et évite d encombrer les gens avec ta maladie sinon tu seras traitée de femme impolie et choyée.
elle raconte du n’importe quoi, elle n’a pas dire ce quelle a faut a sa famille pour en arriver la, c’est la fille la plus difficile et la plus cruelle que je connaisse, elle doit remercier dieu de ne pas etre morte du cancer, elle a ete sauver par sa mere , cette derniere a payer des millions pour son operation. une mere ne traiterai jamai sa propre fille de la sorte, sa mere est la plus pieuse et la plus bonne des mere. et elle meme elle l’a confirme dans son histoire. donc il y a des passage contradictoire, elle a tout invente, je vous le jure
Cette fille raconte la vérité
Je la crois moi cette famille est cruelle, la famille Dial
Seynabou je suis tombée par hasard sur ce témoignage notre histoire se ressemble un peu mais pas tout à fait, moi c est ndéye bineta Dial Dieuppeul
ma mère sœur de seynabou Dial celle dont tu porte le nom
Elles ont essayé la même chose c est à dire elle te met en mal avec frères amies la terre entière en te calomniant en disant les pires choses sur toi jusqu’à ce que tu te met à dos les gens après elle te maltraite avec médisance de toute les force
T inquiètes c est leurs procédés puis il te torture en silence
C est des gens très spéciaux quand il te prenne pour cible
La différence que j ai avec toi c est qu moi hamdoullilah je suis très indépendante financièrement et je vis très loin d eux en France
Mais c est de famille. Tu es une cousine faut te battre dieu vois tout j aimerais avoir ton numéro afin de t aider??