XALIMANEWS: Au Sénégal les hivernages passent et se ressemblent. De l’eau partout, des routes impraticables et des populations dans le total désarroi, voici la situation du pays de la teranga toutes les saisons de pluies depuis bientôt 20 ans.
Chaque année les mêmes problèmes, et aussi les mêmes discours des gouvernants : plan d’urgence, plan orsec ou encore le plan décennal. De l’argent est éjecté, mais la situation demeure la même. Ce qui nous amène à poser la question de savoir, est ce que l’Etat a la volonté de régler le problème des inondations ? On dirait que non.
On a l’impression que les gouvernants ont intérêt à ce que les populations aient les mêmes problèmes pour qu’ils viennent faire les mêmes promesses sans jamais les tenir. En effet, les politiciens gagneraient à ce que les populations soient vulnérables et sans défense pour qu’ils les exploitent en faisant semblant de les aider avec du riz, de l’huile et de petites sommes d’argent.
Par ailleurs, il faut que les populations prennent leurs responsabilités et exigent des politiciens de régler leurs préoccupations. L’heure n’est plus de courir derrière les gouvernants, mais d’exiger d’eux de mettre en place des stratégies concrètes pour qu’enfin le problème des inondations ne soient qu’une vielle histoire d’ici les prochaines années.
Au Sénégal les hivernages passent et se ressemblent !
Date:
DIGRESSION : »
À la frontière entre la Turquie et l’Iran, un mur de 243 km pour stopper les migrants afghans »!
Construire un mur long de 243 km, n’est possible que par les
grands peuples dirigés par de grands hommes ! Nous, au Sénégal, malgré 65% de
jeunes vigoureux et intelligents, sommes incapables de construire des
canalisations qui permettraient de diriger toutes les eaux de pluie de la
région de Dakar et du département de Thiès vers un grand lac artificiel (à
créer) entre Notto et M’boro. Ce grand lac mesurerait 7 km de long et 1 de
large, avec une profondeur de 10 m en sa partie centrale. On y pratiquerait des
sports de voile, il y aurait un beau parcours sportif, la pêche de loisir et
des concours annuels, sans compter l’arrosage pour la culture maraichère et la
pisciculture intensive. Un peuple incapable de creuser un canal important ne
peut prétendre à l’émergence, mais a le droit d’en parler tout le temps par des
slogans creux !
A Dakar c’est le plateau qui est viable. A partir de la Médina, c’est un bas-fond. Ce n’est pas une question de volonté ou de démission de quiconque.C est comme ça tout simplement que les choses sont et on été conçues .Buvons notre calice d’amertume sans bouc-émissaires par mauvaise foi,désinformation ou volonté de nuire.Soyons honnêtes et objectifs. ce sera toujours ainsi quoi qu’on fasse