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[Audio] Incidents au Stade LSS : El Hadji Diouf, « Ils veulent tuer le football sénégalais et disent que c’est moi, … »

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Indexé par la Fédération sénégalaise de football (FSF) et une bonne partie des fans des « Lions de la Téranga », El Hadji Diouf alias « Bad boy » soutient qu’il n’a rien avoir avec la débâcle du Sénégal. Il pense que les fédéraux, le coach mais également tous ceux qui tournent autour de l’équipe doivent démissionner. Car pour lui, ces derniers n’ont pas le niveau requis pour diriger une équipe avec des joueurs talentueux qui évoluent au plus haut niveau. Il a tenu ses propos sur les ondes de la Rfm.

pressafrik.com

2 Commentaires

  1. Pire qu’un sénégalais tu meurs ! pas un jour sans scandale pour alimenter la libido de ces paresseux buveurs de thé . Faites comme les autres nations ; bougez-vous les fesses et allez travailler, vous n’aurez plus le temps de palabrer et d’inventer de nouvelles rumeurs !

  2. Koto est « nul ». La sentence est tombée comme le couperet de la guillotine. Le juge s’appelle El Hadji Diouf. Dans sa cour, grouillent de piteux journalistes-animateurs de télé, d’anciens sportifs, des techniciens de studio- de- dimanche et des connaisseurs de tout. Leur objectif est clair : couper la tête de l’homme et foutre le bordel dans la tanière.

    Le seul tort de Koto est le fait qu’il soit un entraîneur local. Un entraineur national n’a jamais autant été violemment critiqué. Pire, l’on s’attaqua même à son physique. Ce n’est plus du football, mais du mépris

    L’on cherche à tout prix, du mensonge et de la calomnie à l’abattre. Ils n’ont pas d’arguments tangibles pour arriver à leur but. El Hadji Diouf, le chef de file de cette bande de brigands, ment matin, midi et soir. Il s’invite sur les plateaux et émissions télé, même les plus insipides et ludiques. Il lui reste d’aller au « Jotayu Xaleyi ». Il a en face de lui des flagorneurs, véritable karaoké : Lamine Samba de la TFM, Koloss de la RFM et Pape Cheikh Diallo de SEN TV, sont imbattables dans ce rôle. Mais il ne faut pas leur en vouloir, ils ont signé un pacte avec le diable.

    Le diable et son caniche, Paco Thiam Jackson (notez bien ce nom), réclament la tête de Koto et celle des dirigeants de la Fédé. Faut-il en rire ou en pleurer ? A vous de choisir !

    Quand Koto prenait l’équipe nationale, celle-ci était maudite : les joueurs dits « cadres » l’avaient tournée le dos, les supporters l’avaient abandonnée. Donc c’était une équipe à terre, qu’il a relevée et élevée au fil des rencontres jusqu’à recréer l’euphorie et l’engouement autour d’elle. C’est pourquoi Samedi 13 octobre, on s’était permis de rêver une qualification à la Can 2013, malgré la lourdeur de la tâche.

    Nous serons pas à la Can, mais on peut être au mondial, parce que l’équipe a fait une bonne entame et se classe première de son groupe. Ça c’est le travail de Koto. Ne pas le dire relève de la mauvaise foi.

    Le « Koto-bashing », devenu une tendance, même éditoriale, par les temps qui courent relèvent d’une insolence, et d’une méchanceté gratuite.

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