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Babacar Justin Ndiaye: « Aujourd’hui, les faits me donnent tragiquement raison »

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Au lendemain du discours présidentiel de capitulation, j’avais écrit : « L’État recule, la maladie avance « . Mal m’en avait pris. Du côté de la majorité, j’ai été lynché dans les médias. Une voix religieuse m’avait violemment attaqué pour avoir écrit que « L’État a capitulé devant la mosquée ».

Double Allusion à la révolte de Médina Baye à Kaolack et au refus de la famille religieuse de Médina Gounass de se plier aux mesures relatives au couvre-feu et à la fermeture des mosquées. Ma conclusion fut catégorique et carrée : « L’État a remis ses armes et ses armoiries à la Mosquée ».

Aujourd’hui, les faits me donnent tragiquement raison. Sous les Tropiques et plus spécifiquement au Sénégal : on a tort de tenir des discours non partisans, non courtisans et non complaisants.

UN INTELLECTUEL EST UNE SENTINELLE QUI VEILLE ET SONNE LE TOCSIN QUAND LE DANGER S’APPROCHE DE LA CITÉ ENDORMIE?

Babacar Justin Ndiaye avec Igfm

4 Commentaires

  1. M. NDIAYE,
    Vous êtes tantôt pertinent tantôt à côté de vos pompes, voire médiocre. Le problème lié à cette pandémie ne peut être réduits aux mosquées et à la religion. Il concerne les pans entiers de la vie sociétale. Les mosquées ne sont pas les seuls vecteurs de la contagion. Elle est partout. De grâce, alertez mais n’importez pas ce débat de religion cher au gaulois de l’hexagone qui dérive souvent vers un discours athéiste extrémiste.

  2. Le problème c’est que le religieux distille des idées pernicieuses pour faire avancer le peuple de moutons que sont les Sénégalais dans le sens de leurs propres intérêts.
    Car au Sénégal pseudos religieux de pacotilles ou politiques d’opérette c’est d’abord c’est propres intérêts.

  3. Pour cette fois il aura été plus que médiocre qeu jsutn Ndiaye.
    Sur le plan épidémiologique , il n’est démontré de contage accru , ni de surcontagion liée à une fréquentation ponctuelle de lieux de culte : église ou mosquée .
    Il faudra que l’on donne des chiffres sur fréquentation des marchés, les transports en commun etc.
    Non Babscar sait se laisser aller des hasardeuses à des conclusion abscons ….
    IL demeure un des grands ânes endormis de la cité qui se croit plus vigilant que les mulets

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