« Ousmane Sonko, quand il parlait d’antisystème, il parlait de sa doctrine, mais quand la doctrine se frotte aux réalités politiques, dans 90% des cas elle vole en éclat », à déclaré sur le journaliste politologue Babacar Justin Ndiaye hier sur la TFM.
« Le Président houphouet Boigny disait que la politique c’est le réel avant d’être l’idéal. Il disait toujours encore que la politique est ce qui est avant d’être ce que l’on veut. « Ce qui est » est ce que Sonko est en train de faire et qui inévitable pour lui. Ce que Sonko veut, on le verra une fois au pouvoir. Donc pour l’instant, Sonko est obligé de composer avec « ce qui est », c’est-à-dire s’allier avec Karim et Khalifa », explique-t-il.
Babacar Justin d’ajouter, « Entre la doctrine et le réel il y’a un faussé, et quand il y’a confrontation, le réel reste intact et la doctrine vole en éclat. Si Sonko persiste avec sa doctrine, il n’ira nulle part, car la politique a ses pesanteurs. La politique n’est pas simple, elle n’est pas linéaire ni rectiligne. Les affaires d’antisystèmes ne sont que des paroles, il n’y a que le réel en politique »
Babacar Justin Ndiaye, « si Sonko persiste avec sa doctrine, il n’ira nulle part ».
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Sonko avec son anti-système
Belle analyse, mais sonko a déjà réussi une bonne partie de sa mission au Sénégal et même en Afrique : allumer les esprits pour éclairer les chemins du Sénégal. Il a réussi à recentrer les débats politiques, économiques et sociaux sur les véritables enjeux de l’Afrique et de l’homme noir : la souveraineté.
Ml diedhiou, c’est vrai sonko a réussi sa mission d’émancipation des esprits de la jeunesse sénégalaise et africaine.
Je vois aussi qu’il s’adapte bien aux réalités politiques du moment.
Pour moi, les gens du système au pds, à taxawu Sénégal et au pur ont tous rejoint la mouvance présidentielle et profitent du gourou, des vols et autres partages des ressources de ce pays.
Vous pouvez les voir, les compter.
Ceux qui sont restés aiment leur pays, ont refusé la corruption pour aller au pouvoir.
La coalition annoncée est excellente, mais: elle doit d’abord résister à la corruption pour ne pas imploser, ensuite s’ouvrir aux autres opposants si non corrompus ou in filtreurs.
Le président est capable de donner 10 milliards au pds ou à taxawu Sénégal pour ne pas rester dans la coalition annoncée.
Les 5 plus grandes qualités de Sonko Fusilleur : le populisme, la manipulation, l’amateurisme, le radicalisme et la victimisation. Ajoutez-y l’immoralité d’un ibadou Yolom Guénio national qui a sodomisé et resodomisé une pauvre jeune fille qui a l’âge de son fils aîné Mohamed et vous comprendrez bien le sens des propos de Babacar Justin Ndiaye. Tu ne peux pas dénoncer dans des centaines de VAR le « système » et même appeler à fusiller ses responsables, pour venir ensuite t’allier avec les pires incarnations du même « système » depuis 40 ans ! Sonko Fusilleur n’est qu’un menteur et un dangereux manipulateur et ça lui a réussi jusqu’à maintenant. Mais les sénégalais ne sont pas dupes… le vent tournera et lui même sait qu’il payera bientôt chèrement ses forfaitures…
Un raisonnement erroné.Le système n’est pas viable et laisse la jeunesse au bord la route. Il ne peut donc être immuable parce saturé et en régression continue Sonko est l’expression incarné d’une montée populaire. même sans lui, quelqu’un d’autre lui succédera. Ne pas sous estimer que le système est arrivé à ses extrêmes limites et ne peut ni ne doit perdurer parce saturé et inefficient. Ne pas avoir peur du changement