Bagarres, attaques, discours au vitriol, puis négociations. C’est ça le pape du Sopi, l’ancien président de la République du Sénégal.
Le chaud et le froid, la dramatisation et le burlesque, le comique et le grave. Wade ? Un vrai personnage à casiers, pendant vivant du roman à tiroirs. Il débarque à Dakar, entretient le flou sur son statut et dissimule la raison principale de son retour dans des « récits » emboîtés qui mettent en scène d’autres faits et personnages. Ancien chef d’Etat ou leader de parti d’opposition ? L’amalgame est là. Cet art consumé d’emmêler les pistes au détriment de l’intrigue principale, c’est du Wade…pur miel ! Face à une foule enflammée, à la permanence Omar Lamine Badji du Parti démocratique sénégalais (Pds), il relègue, au cours de son intervention aux allures belliqueuses, Karim Wade à l’extrémité d’une énumération trop courte. « Aïda Ndiongue, Ndèye Khady Guèye, Karim Wade… », dénombre-t-il. Alors que son ex-conseiller en Tic, fils d’un compagnon de longue, Cheikh Tidiane Sy, multiplie les demandes de liberté provisoire, par l’entremise de ses avocats. L’excuse de l’omission passe mal. Encore moins les fuites de mémoire, courantes, il est vrai, pour les personnes de son âge. Wade a, en effet, lui-même reconnu être resté volontairement deux ans à l’extérieur pour ne pas gêner son successeur. Ce temps passé dans l’Hexagone est bien suffisant pour mettre en musique des thèmes épars, soumettre sa cervelle aux automatismes de l’énumération chaque fois qu’il s’agit d’inventorier les caciques de son parti épinglés dans la traque des biens mal acquis. Vêtu d’un somptueux grand boubou bleu, Me Wade campe, pour la galerie, dans le registre de la sagesse grâce à son bonnet en laine rouge et son écharpe blanche et refuse de l’intérieur de ruiner le mythe de toréro qu’on lui colle. L’ambivalent Wade ne mourra jamais ! Mais une chose fascine : comment ce crâne éternellement rasé a pu subjuguer des foules de jeunes deux ans seulement après sa défaite à la Présidentielle ? Des adolescents normalement plus portés vers des politiques au « regard de braise » ont littéralement succombé. Ils ont ce soir du 25 avril, sur la longue VDN, plébiscité chez Wade la répugnance du politiquement correct. La République lui ouvre le salon d’honneur, lui envoie la garde motorisée puis lui cède un appartement du palais de Roume, il regarde ailleurs. Là où ça paie le mieux : la victimisation. En ces temps de canonisation, il préfère se mettre dans les habits de Saint-Pierre. En vérité, les 40 ans (1974-2014) de parcours politique de Wade crayonnent la même geste faite de ruse et d’intensité dramatique. Son slogan de guerre est le Sopi (changement, en ouolof), mais lui ne change jamais !
En 1974, lorsque le pape du Sopi a créé son parti, il avait laissé croire qu’il en ferait un « parti de contribution ». Au fil du temps et des élections, le Pds corse son discours pour devenir un véritable parti d’opposition. Face à Abdou Diouf, Wade souffle le chaud et le froid, fait dans le clair-obscur de temps à autre. Il a fallu d’ailleurs que Diouf quitte le pouvoir pour qu’on comprenne le vrai sens d’une des menaces récurrentes du secrétaire général du Pds à l’endroit du pouvoir. « Cette fois-ci je ne ferai rien pour contenir la colère du peuple », aimait-il lancer dans ses meetings. Interrogé bien des années après, Abdou Diouf a affirmé avoir toujours eu avec le chef de file de l’opposition (Ndrl : Wade) une entente secrète scellée chaque fois que le régime devait prendre des mesures impopulaires comme l’augmentation du prix des denrées. N’empêche, le leader du Pds, obnubilé par le pouvoir fera de ses différentes Présidentielles des moments de tension politique où zigzags et discours de fiel s’enchaînent.
Présidentielles de feu
Au lendemain des élections de 1983, Wade se réveille le feu à la poitrine. Il essuie un revers face à Diouf. Même si dans la foulée de ses promesses de campagne, il avait annoncé le kilogramme de riz à 60 FCFA. Il est battu par le candidat du Ps, mais habitué à contester les résultats des élections, Wade crie à la fraude. Quelques jours après, il «inspire» le cadre des «Onze», une coalition de 11 partis d’opposition et menace avec fracas de mettre en place un «Gouvernement parallèle». Finalement, Wade ramollit son discours après avoir été reçu au palais de la République. Contrairement au Pr Cheikh Anta Diop qui refuse, en signe de contestation, de siéger à l’Assemblée, le Pds met fin à sa bouderie. Spécialiste du clair-obscur, Wade maintient la pression sur Diouf jusqu’en 1988, année de toutes les folies.
Me Wade fait sa troisième Présidentielle. Lui qui se plaint toujours d’avoir été «volé» est décidé à ne pas se laisser faire cette fois-ci. La tension est perceptible partout. Diouf essuie des jets de pierres à Thiès. Il lance : «La jeunesse est malsaine». Wade draine des foules immenses. Dans cette ambiance lourde d’incertitudes, Abdou Diouf «arrache» le Ndigël de Touba. Le défunt Khalife général des mourides, Abdou Lahat Mbacké lance à la radio : «Tout mouride qui ne vote pas pour Abdou Diouf a trahi Serigne Touba». Serigne Cheikh Tidiane Sy prend, également, fait et cause pour Diouf. Les mouvements de soutien au secrétaire général du Ps intensifient leur campagne. Après le scrutin, la Cour Suprême présidée par Ousmane Camara n’avait pas encore proclamé les résultats que la violence s’enclenche dans le pays. Dakar accuse le coup. L’état d’urgence est décrété. Wade, Ousmane Ngom, Boubacar Sall sont arrêtés, puis les alliés Abdoulaye Bathily et Amath Dansokho. Le pape du Sopi est jugé puis libéré avec 6 mois d’emprisonnement assorti du sursis. Le tribunal l’avait reconnu coupable d’avoir organisé des attroupements sans autorisation.
Le jour de la Korité, Diouf prononce un discours de décrispation, sans doute résultat de discussions souterraines avec le leader du Pds. L’état d’urgence est levé, une loi d’amnistie votée en faveur de Wade et Cie. Les deux hommes se rencontrent et tombent d’accord, selon Wade qui faisait face à la presse, sur l’organisation d’une table ronde. «Une nouvelle Constitution, une charte nationale organisant la Démocratie et ses conditions d’exercice (…).Un référendum suivi de nouvelles élections pourrait être proposé (…)», lance, euphorique, Me Wade. Le 4 juillet 1988, s’ouvre la « Table ronde » après deux reports. Wade s’impatiente et fait (re)monter les enchères. La confrontation entre opposition et pouvoir reprend de plus belle. Les premières voitures piégées explosent en novembre et décembre. Ousmane Sène dit « Tenace » et Clédor Sène sont identifiés et arrêtés comme les vrais coupables. Pape Samba Mboup et Cheikh Tidiane Touré avaient, dans un premier temps, été arrêtés.
On est en mars 1989. Durant ce même mois, une autre tension Ps-Pds éclate. Diouf parti en voyage doit rentrer le mardi 14 mars 1989. Wade appelle le peuple «à l’accueillir». Jean Collin, ministre d’Etat à la présidence met en selle Ahmeth Khalifa Niasse. Ils parviennent à «rouler Wade dans la farine» en lui faisant croire que le chef de l’Etat est partant pour un gouvernement d’union nationale de transition et la dissolution de l’Assemblée nationale. N’empêche, en 1991, la trêve s’installe. Me Wade, Aminata Tall, Jean-Paul Dias, Ousmane Ngom, et Me Massokhna Kane entrent dans le «gouvernement de majorité élargie». La victoire de Diouf est donc acceptée. Il est crédité de 73,20% des suffrages contre 25,80% pour Wade. Pour peu de temps seulement. Car, une nouvelle « bombe » va éclater avec la Présidentielle de 1993.
Me Babacar Sèye assassiné
Cette élection présidentielle est le vrai premier chant du cygne du règne des socialistes. Abdou Diouf dégringole de près de 15 points. Alors que le leader du Sopi gagne près de 7 points. L’élection présidentielle a eu lieu le 21 février 1993. La commission nationale de recensement des votes dirigée par Mme Andrezia Vaz est paralysée par des querelles internes. Elle est incapable de donner les résultats provisoires. Le 2 mars, le défunt juge Kéba Mbaye, président du conseil constitutionnel démissionne.
Dans la journée même, Diouf nomme Youssoupha Ndiaye, alors, jusque-là président de la Cour de cassation. Les violences postélectorales de 1988 hantent les esprits. Au terme de huit jours de travaux, le Conseil constitutionnel proclame Abdou Diouf vainqueur avec 58,40% contre 32,02% pour Wade. Le calme observé jusque-là vire à la violence. Le domicile de l’ancien député-maire de Saint-Louis, Abdoulaye Diaw Chimère est incendié. Celui de Lamine Diack prend le relais. Après la Présidentielle, arrivent les Législatives. L’opposition rêve de contraindre le pouvoir à la Cohabitation. La campagne électorale est ouverte le 17 avril 1993. Le 29 avril, à Diourbel où il tient un meeting Wade récuse le conseil constitutionnel. Dans une déclaration reprise par Le Soleil du 30 avril 1993, il dit : «Le conseil constitutionnel n’est pas crédible et n’a pas à interpréter l’élection (…) Abdou Diouf étant candidat, n’avait pas à nommer le président du conseil qui se trouve être son homme. Son vice-président est un membre du Parti socialiste c’est connu de tous». Dans la même foulée, le chef de file des Sopistes annonce que la décision de cette institution ne sera pas reconnue. Le scrutin se déroule le 9 mai. Les résultats sont proclamés avec 84 députés pour le Ps et 27 députés pour le Pds. C’est la déception chez les libéraux. Le vendredi 15 mai 1993, le juge Babacar Sèye, vice-président du conseil constitutionnel est assassiné. La machine judiciaire s’enclenche. Me Ousmane Ngom, Abdoulaye Faye, Jean-Paul Dias, Me Wade, Samuel Sarr, Mody Sy, entre autres, sont arrêtés. L’enquête privilégie, en effet, la piste politique. Ils seront finalement relâchés. Sauf, Assane Diop, Pape Ibrahima Diakhaté et Clédor Sène. Les deux premiers sont condamnés à dix-huit ans de prison, le troisième écope de vingt-deux ans de réclusion criminelle. Ils passeront neuf ans de leur vie en prison. L’an 2000 arrive, c’est l’épilogue pour Wade.
Après vingt-six ans d’opposition mouvementée, il accède au pouvoir. Ses alliés du Front pour l’alternance, en l’occurrence Abdoulaye Bathily, Amath Dansokho et Landing Savané en sont les artisans. Wade, fatigué et ruiné par une vingtaine d’années de politique n’y croit plus. En France où il se trouve, le patron du Pds fait enfler le suspense sur sa candidature en 2000. Dans cette ambiance, le Ps fait circuler la rumeur de l’incapacité de Wade à s’engager à la Présidentielle. On le dit malade. Bathily fait le voyage dans l’Hexagone et supplie leur candidat à rentrer au pays. Il est âgé de 74 ans.
Le « Ticket » de la mort
Finalement Wade revient. Il est accueilli par une foule impressionnante et gagne, alors, le «vrai» 1er tour du scrutin. La campagne électorale s’ouvre. Faute de moyens, le Fal inaugure une nouvelle forme de conquête de l’électorat. A la place des meetings, l’opposition autour de Wade fait des marches dites «marche bleue». Le mode opératoire est payant. Diouf est recalé au 1er tour. Il a 41,3% des suffrages, Wade obtient 31%, Moustapha Niasse engrange 16% des voix. Le 19 mars, après la tabaski, les électeurs retournent aux urnes. Et portent Wade au pinacle avec 58,1%.
Un an après qu’il a accédé à la magistrature suprême en 2001, Wade se sépare de tous les ténors de l’opposition qui l’ont porté au pouvoir. Moustapha Niasse est le premier à passer à la trappe. Tour à tour Amath Dansokho et Abdoulaye Bathily lui emboîtent le pas. La transhumance est érigée en système pour accueillir les «gros actionnaires » socialistes. Dans la même foulée, le président Wade, initiateur d’une nouvelle charte fondamentale, procède à des révisions constitutionnelles intempestives. Le Conseil de la République pour les affaires économiques et sociales (Craes) est créé, le Sénat réhabilité, le nombre de députés porté à 150, le Conseil économique et social (Ces) renaît des cendres du Craes. Les remaniements ministériels sont intempestifs. Wade s’illustre dans une diplomatie jugée calamiteuse. Dans sa propre famille politique, c’est la déchirure avec en toile de fond une série de scandales du genre des chantiers de Thiès. C’est dans ce contexte que l’on s’achemine vers le scrutin de 2007. Tout le monde présage d’un deuxième tour inéluctable. A l’arrivée, le Sopi rafle la mise avec quelque 58% des suffrages. L’opposition crie à la fraude. Wade s’en balance…jusqu’en 2000 où il sent le roussi.
Les inondations, les délestages de la SENELEC, le conflit en Casamance, la diplomatie chaotique de Wade, l’affaire Segura, Contes et mécomptes de l’Anoci, la statue de la Renaissance, le micmac dans les infrastructures, les Locales de mars 2009, sont autant de faits qui affaiblissent le Sopi. Les sondages politiques ne sont pas autorisés au Sénégal. Mais, la presse en publie de temps en temps et annonce l’improbable victoire de Wade au premier tour. Wade soumet alors un projet de loi instituant le ticket à la Présidentielle un certain 23 juin 2011. En substance, cette « loi » allait instaurer un ticket à la Présidentielle et pour être élu, il suffit d’avoir 25 % des suffrages exprimés. A huit mois des élections, une loi qui modifie en profondeur la charte fondamentale avait toutes les chances de charrier une colère généralisée. Surtout que derrière se cachait, selon l’opposition, le dessein de Wade de se faire remplacer par son fils Karim Wade, actuel ministre de l’Energie. Une goutte d’eau qui a fait déborder le vase déjà trop plein des mille et une réformes constitutionnelles. Dakar s’embrasse, le « maître » de la rue s’affaisse mais refuse de « mourir ».
Felix Diagne
lagazette.sn
Monsieur, le Président Abdoulaye WADE, votre retour au bercail a fait du tabac Car nostalgie de votre physique (état de sante et morale) – L’attente de votre discours, lequel qui sait ? – Curiosité, enthousiasme de vos fans Vos militants et ceux qui ont toujours aimé la vie facile et qui rêvent. Après votre bain de foule, que vous aimez tant. Le discours revêt trois points majeurs !: La situation actuelle du Sénégal que vous avez laissez en désordre dont vous supposez être le seul à avoir la solution et l’état de votre parti qui est déchiré en lambeau, bref. L’économie planétaire actuelle va mal partout, les exemples sont là : Les immigrés Sénégalais d’Italie qui envoyaient à leurs familles chaque mois entre 100.000f et 500.000f ne l’ont plus. Ceux de France ne viennent presque plus en vacance faute de moyens (billet – argent de poche. Et le Président François Hollande et son Premier Ministre cherchent à acheter des actions chez Alstom pour pouvoir récupérer deux milliards d’euro afin d’équilibrer les salaires (moyenne revenus) à court terme. Ceux d’Espagne ??? Tant de situation alarmante que le monde et tous les gouvernements sont confrontés. Seul le Président Macky Sall a su présenter à la face du monde son programme, plan émergent exceptionnel en Afrique et dans le monde dont les bailleurs et partenaires ont la confiance et l’assurance de pouvoir financer. L’Affaire Karim et les Autres ? Notre frère a occupé un panel de porte feuille ministériels, voyez-vous dans n’importe quel pays du monde dont le régime et le pouvoir en place est destitué ou déchu mérite des enquêtes et audits. Ce qui est sûr, la justice fera son devoir comme cela se doit. Et, seule la création de cette cour (CREI) ne peut le faire Souvenir, vous l’avez fait, vous-même avec : Monsieur Idrissa Seck Mbaye Diouf (P.S) Modibo Diop etc… Enfin, vous, grand politologue et économiste avéré. Votre devoir est de contribuer au financement du Plan Sénégal Emergent pour votre pays que vous devez tout,votre fils Macky Sall qui vous a été toujours fidèle et loyal. Monsieur, le Président, veuillez participez à son Plan, il le mérite. Cheikh Baba Fall [email protected]
Aux marabouts le Président Wade Abdoulaye a fait cette recommandation : « Priez pour mes enfants, et pour moi, mais pour ce qui est de la politique, ne vous en faites pas , je m’en charge » ! Tout Wade est résumé dans cette phrase qui revêt beaucoup de chance ! « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu » ! Nul ne doit douter que Wade Abdoulaye a toutes les capacités requises pour faire face à tous les défis ! L’avenir très proche nous édifiera, et la boue pour ne pas dire autre chose, ne sera pas là où certains l’imaginent depuis un an !
Aux marabouts le Président Wade Abdoulaye a fait cette recommandation : « Priez pour mes enfants, et pour moi, mais pour ce qui est de la politique, ne vous en faites pas , je m’en charge » ! Tout Wade est résumé dans cette phrase qui revêt beaucoup de chance ! « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu » ! Nul ne doit douter que Wade Abdoulaye a toutes les capacités requises pour faire face à tous les défis ! L’avenir très proche nous édifiera, et la « boue » pour ne pas dire autre chose, ne sera pas là où certains l’imaginent depuis un an !
Xibaaru a toujours clamé l’incompétence de la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI) avec ses preuves obsolètes et sensationnelles. Mais depuis hier, c’est la signature d’un accord entre la Suisse et Singapour sur le secret bancaire qui émerveille l’Europe et l’Asie. Singapour, le pays choisi par notre CREI spécial pour loger les avoirs illicites de Karim Wade, vient de signer un accord historique avec la Suisse. Et cet accord concerne aussi l’Europe, la Chine, et La Russie. Et toutes les grandes agences de presse du monde entier en ont fait leur chou gras. Yahoo, CNN, le New York times, Huffington post et Capital dont xibaaru vous donne le lien ci-dessous :
capital.fr/bourse/actualites/la-suisse-et-singapour-renoncent-au-secret-bancaire-933059
Avec ces révélations, le procureur de la CREI doit en vouloir à Pape Alboury Ndao, l’ex administrateur de DP World. Ce dernier leur a fait croire avec sa petite agence qu’il pouvait réussir là où les Etats Unis ont échoué.
Mais cet accord du mardi entre la Suisse et Singapour prouve que le Sénégal ne pouvait pas accéder à l’information bancaire au niveau de Singapour. Donc tout ce que la Commission d’instruction de la CREI a notifié à Karim Wade est faux. Toutes les charges sont fausses.
Karim est innocent dès lors que Singapour affirme avoir signé le premier accord sur la levée du secret bancaire.
Et si c’est le premier accord, comment la CREI et Pape Alboury Ndao..
Vous avez vu juste ! Il faut simplement ajouter que les termes de cet accord entreront en vigueur en 2017 ! D’autre part, la CREI s’est complètement fourvoyée, parce qu’au moment où elle soupçonnait ou affirmait même que Karim avait des milliards planqués à SINGAPOUR,elle n’était pas au courant de cette perspective de levée du secret bancaire à SINGAPOUR et en SUISSE, pour la simple et bonne raison que l’information ne nous était pas parvenue ! Si la CREI savait cela, elle ne se serait pas aventurée à commettre une erreur pareille, parce que personne ne peut avoir des informations sur des compte secret à SINGAPOUR et en SUISSE ! « VOILA PRIS QUI CROYAIT PRENDRE » ! C’est mon ami M° Amadou Sall et ses collègues de la défense qui ont du rire !