À la veille de la réception de l’Atlético Madrid, Mario Balotelli, l’attaquant de l’AC Milan, est notamment revenu mardi sur les critiques de la presse italienne qui le visent.
Depuis la nomination de Clarence Seedorf sur le banc de l’AC Milan, il y a un peu plus d’un mois, Mario Balotelli a vécu des semaines contrastées. Buteur lors des trois premières rencontres de l’entraîneur néerlandais, l’attaquant italien a ensuite connu une période plus compliquée : d’abord suspendu bêtement pour la réception du Torino (1-1), il avait fondu en larmes sur le banc lombard après son remplacement à Naples (1-3) où il avait été quelconque quelques jours après avoir reconnu sa paternité d’une petite fille. Vendredi, pour la réception de Bologne, « Super Mario » avait longtemps été emporté par la même torpeur avant d’inscrire un but magnifique en fin de match (1-0). Une façon de prouver qu’il serait bien le principal atout offensif de l’AC Milan mercredi soir, à San Siro, en match aller des huitièmes de finale de la Ligue des Champions.
Seedorf est son «grand frère»
«Je suis un bon joueur, titulaire au Milan et un pion important, a résumé l’international. Cela ne m’intéresse pas d’être considéré comme un champion ou non. Ce que je veux, c’est aider l’équipe et vaincre.» Son influence sur l’issue de cette double confrontation sera forcément analysée par une presse transalpine toujours très attentive à ses prestations. «Je suis critique avec moi-même, a toutefois précisé Balotelli. Cela m’énerve quand vous (les journalistes) me critiquez car je l’ai déjà fait moi-même.» L’arrivée de Seedorf lui a toutefois «permis d’être plus serein. C’est comme s’il était un coéquipier, les choses sont plus faciles pour moi. Il est comme un grand frère.»
lequipe.fr
BALLO fai i tuoi dovere e vai in avanti .Beluscoli aveva detto che uno come Bollo base per ogni 15 anni . Vai in avanti io non voglio mai vedreti piangere davanti ne su no bravo.