C’est le traqueur des actes posés par les acteurs de la vie politique, temporelle sociale et culturelle. Rien n’échappe à la perspicacité de cet homme qui, depuis la ville de Rotterdam où il réside, participe au débat de la Cité. Votre magazine a rencontré l’un des plus grands contributeurs de la presse sénégalaise.
Icône : Le Baol, c’est votre royaume d’enfance, y gardez-vous encore des souvenirs ?
Samba Ngoye Thiam : Un arbre ne pousse que grâce à ses racines. Si on les coupe, il meurt. Je reste attaché au Baol de mon enfance.