Violence, Wade, Karim, Souleymane Ndéné Ndiaye,… |
01-02-2010 | |
Les violences politiques et verbales connues ces derniers temps au Sénégal risquent de perdurer si des sacrifices et autres aumônes ne sont pas faits par les Sénégalais en général et les tenants du pouvoir en particulier. C’est du moins l’avertissement d’une voyante de Mbacké. Par Boucar Aliou DIALLO Voyante, Ndèye Fatou Dior Mbengue, plus connue sous le nom de Binetou Mbengue, et habitant le quartier Gawane de Mbacké, tire une sonnette d’alarme sur les violences qui ont refait surface ces derniers temps au Sénégal. Agée d’une cinquante d’années, cette dame de petite taille, au teint clair, demande aux populations en général et aux hommes en particulier de faire des sacrifices, s’ils ne «veulent pas que le pays s’enlise et entre dans une zone de turbulences qu’ils ne pourront plus gérer. Si ces sacrifices ne sont pas faits, beaucoup de sang sera versé dans ce pays.» Au chef de l’Etat, elle conseille de se débarrasser d’une partie de son entourage. Elle justifie son propos par le fait qu’«au niveau du palais, parmi les proches de Abdoulaye Wade, il y a certains qui font recours au maraboutage ; c’est ce qui fait que, chaque mois que Dieu fait, vous entendez des propos malveillants du Président qui, au finish, débouchent sur des violences verbales ou autres. D’ailleurs souvent après, il regrette d’avoir tenu ces propos ou bien même ne se remémore pas dans quelle circonstance et pourquoi, il a eu à les tenir. Tout cela s’explique par ces histoires d’envoûtement que des personnalités dans l’entourage du chef de l’Etat exercent sur lui». Et la voyante d’ajouter : «S’il se débarrasse de cette partie de son entourage qui fait recours aux pratiques mystiques pour continuer de travailler à ses côtés, il se succédera à lui-même et pourrait même faire comme Senghor avait fait avec Abdou Diouf, c’est-à-dire se choisir un successeur qui va parachever son mandat et lui succéder.» Elle conseille au chef de l’Etat de «tout faire pour renouer le fil du dialogue avec le Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc). Faute de quoi, on s’achemine vers des situations très difficiles et regrettables pour tout le pays. C’est un impératif de parler avec ceux-là qui ont préféré prendre des armes pour s’opposer à l’Etat du Sénégal. Si on n’ouvre pas des plages de discussion, la situation sera sous peu de temps très explosive.» Correspondant lequotidien.sn |
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