Xalima news – Une traque contre les bouillons alimentaires porteurs de graves dangers sanitaires. C’est l’objet de la question écrite adressée par le député Mamadou Lamine Diallo au ministre du Commerce. Pour le leader du mouvement Tekki, c’est un impératif de santé publique que d’édifier les consommateurs sur “la composition de ces bouillons” et d’”expliquer pourquoi (cette composition) ne figure pas sur l’emballage des produits alimentaires mis en vente sur le territoire national”. Mais au-delà, ajoute l’économiste, l’élaboration d’un système national de sécurité alimentaire est devenue une nécessité.
En conséquence, il sera question de revoir la loi n°66-48 relative aux produits alimentaires tels que proposé par le ministre de la Santé. D’ailleurs, si Eva Marie Coll Seck a reconnu que »la production des bouillons devrait être réglementée et contrôlée », même s’ils »participent à augmenter l’apport en sodium chez les consommateurs », pour Mamadou Lamine Diallo, la santé publique doit primer. “N’est-il alors pas possible de fixer une norme maximale de sel (sodium) dans ces produits afin de protéger les consommateurs ?” demande-t-il au ministre du Commerce.
Source: EnQuête
Il n’ y a aucun pays au monde où on fabrique et commercialise autant de ces condiments qui changent tous les six mois ! Le plus inadmissible dans cette fabrication c’est l’autorisation accordée à une société Tunisienne dans la commercialisation au Sénégal de produits interdits en Tunisie! A se demander si réellement nos gouvernants sont au courant de ce qui se passe au Sénégal ! Dans tous les pays du monde, on peu manger un plat dont la préparation nécessite un bouillon simple, les ragoûts etc, et ceci deux ou trois fois par mois , et encore! Il est possible de manger de bons plats bien de chez-nous comme dans les années 70 pour avoir une bonne santé! Quand des autorités Etatiques ne peuvent plus protéger les populations en n’acceptant que des produits sains, bonjours les dégâts !