La classe africaine (17). Le maître d’école de Bobo-Dioulasso, qui ne compte pas ses heures pour faire progresser chaque enfant, fait des miracles et déjoue tous les pronostics.
Maxime : Ma vocation s’est construite, elle n’était pas spontanée », dit-il. A Kouka, il y eut tout de même un déclic. Sa première fierté d’enseignant, dont il se rappelle comme si c’était hier, porte le nom de Sidiki Dao. « Je l’avais en classe de CM1. Son papa était paysan. Je savais qu’il était brillant mais que, s’il restait à Kouka, il n’aurait pas beaucoup de chances de terminer sa scolarité. » Maxime Sou décide d’emmener Sidiki avec lui lorsqu’il est muté à Bama, plus au sud. Quelques années plus tard, Sidiki Dao intégrera l’école la plus prestigieuse du Burkina Faso, le Prytanée militaire de Kadiogo. « Aujourd’hui, il est sous-lieutenant. »
LE monde
Oui c’est possible, c’est une question de méthode ! Au Sénégal on se focalise trop sur le nombre d’élèves par classe et sur la vétusté des salles de classe! En chine et en Inde par exemple, les gouvernements successifs ont construit des abris en terre cuite, en paille, en bambou d’où sont sortis de grands ingénieurs, même des savants ! Pourquoi au Sénégal on ne construirait pas de vraies écoles en terre cuite ? Informez sur les beaux lycées en Bambou en Inde, qui n’ont rien à envier à ceux des grands pays développés, c’est mieux !
Tout à fait Maimouna. Mais c dommage ont ne peut pas dévolopper dans la langue et la culture de l’autruits. GEUM SA BOOP REK.!