Comme son prédécesseur Me Abdoulaye Wade, Macky Sall aura-t-il des relations passablement compliquées et heurtées avec les médias étrangers ? A en croire la dernière parution de la très sérieuse Lettre du continent (Lc), TF1, France 24 et Rfi ne sont pas sur la même longueur d’onde avec le Chef de l’EtatMacky Sall. La faute à El Hadj Kassé son Monsieur com’. Explications.
Brrrr… Rien ne va plus entre le Coordonnateur du pool communication de la Présidence de la République El Hadj Hamidou Kassé et le Président Macky Sall. Le chargé de la com’ présidentielle « officie dans cette tâche, de manière erratique », introduit notre confrère parisien. Et Lc d’entrer directement dans le vif du sujet : « Après avoir promis un entretien avec le président de la République à plusieurs journalistes venus à Dakar début août, il a ensuite éconduit ces derniers sans aucune explication ». Kassé a-t-il promis des exclusivités à des confrères venus spécialement de Paris, sans avoir emporté l’adhésion du taiseux Macky Sall qui n’aime rien tant que se taire et travailler ? Une réponse qui coule de source pour le journal confidentiel. « Déjà, en juillet, durant la visite de Macky Sall à Paris, le communicant avait évoqué une interview au journal télévisé de 20h àTF1. Mais cet entretien n’a, en réalité, jamais été calé par la chaîne ». Dit autrement, les services de la première chaîne française n’étaient pas tenus informés d’une visite deMacky Sall sur le plateau du JT. A moins que ce soit une visite-surprise. « El HadjKassé n’a pas davantage su convaincre le chef de l’Etat de l’importance de satisfaire des engagements pris à l’égard de RFI et France 24 », avance furieusement notre confrère. Et le couperet tombe en guise de conclusion : « Fatigué, Macky Sall a annulé les interviews à la dernière minute, provoquant l’ire des responsables des deux médias ».
El Hadj Kassé et Abou Abel Thiam In(sou)tenable communication
« Tout ce qui se conçoit bien s’énonce clairement. Et les mots pour le dire arrivent aisément », apprend Boileau.
Entre le Coordonnateur du pool communication de la Présidence et Conseiller en communication du Président de la République, El Hadj Kassé et le Porte-parole de la Présidence de la République, Abou Abel Thiam, la communication interne, au départ, ne semble pas être bien conçue. La communication externe ne s’énonce pas de façon claire. Dans ces conditions, la communication présidentielle, après une semestre, ne peut être aisée.
Les deux communicants, tous journalistes au long cours, ne travailleraient pas de concert, selon de tenaces indiscrétions. « Leurs relations sont empreintes de méfiance et d’interférences. Si elles ne sont pas orageuses bientôt, elles deviendront insoutenables et le Patron sera obligé de trancher dans le vif », nous prévient un membre de l’entourage présidentiel.
Le premier, journaliste-écrivain, est dans la conception, la stratégie, le plan-média et les relations avec la presse. Il est venu dans le staff du candidat Macky Sall, « en complément d’effectif ». Le second, journaliste de la presse écrite depuis 25 ans, est la voix de son maître. Ami des temps difficiles et fidèle parmi les fidèles, « il n’est pas seulement admis, il a sa place dans la famille présidentielle ». Un gros avantage (!)
Il est de « notoriété privée » qu’au Palais de la République, les choses ne sont pas aussi simples entre « les deux parents du Fouta ». Les premières erreurs d’aiguillage auraient entraîné de sérieuses frictions entre eux. Ce vrai qu’entre Kassé et Thiam, il n’y a jamais eu de tapes amicales ni de bourrades fraternelles.
Lesenegalais.net
Quand l’intox humecte le fond!!!
Voilà encore ce type d’article qui est d’une niaiserie extrême. Comme pour parler terre à terre comme « lesenegalais » c’est un fouure tout sans tête ni queue qui donne le dégout. Si « lesenegalais » ne sait rien du Sénégal et qu’il lui faut recourir à « la lettre du continent », journal en ligne, parisien de surcroît, c’est le comble. Vous seriez mieux inspiré de faire dans ce cas précis, comme d’autres adeptes de la facilité, du copier-coller que de vouloir nous pondre un aricle d’une nullité absolue sur tous les plans. Par ailleurs, ayez la présence d’esprit la prochaine fois, s’il vous arrive d’en user, de noter qu’un dicton ou adage sert à ullustrer un fait ou une idée et non le contraire. Et surtout nous épargner de cette assertion de Boileau, du style formule-bateau, digne d’un éléve de CM2.
la dernière phrase, vous y comprenez grand chose vous? Foutaise!
J’aime bien Kassé, mais on ne confie pas sa communication à un bègue ou à quelqu’un dont l’élocution n’est ni fluide ni limpode ! Monsieur El haj Kassé, aussi talentueux soit-il par ailleur ne sait pas parler, s’énerve pour un oui ou un non ! C’est lors de son débat en face du redoutable M° Amadou Sall que ces lazcunes ont été mises à jour plus que d’habitude . Il devrait être « enfermé » au Palais pour l’écriture, comme il sait bien le faire ! Je ne doute pas un instant qu’en 2013? LORSQUE LES DEBATS HOULEUX ET PASSIONNES VONT AVOIR LIEU, MACKY SALL ne pourra plus se permettre de le laisser aller se faire « écrabouillé » par des bêtes politiques du Parti de Wade qui n’attendent que ce moment !
« aller se faire écrabouiller » impardonnable faute !
Cheikh Yerim a été conduit à la caserne Samba Diéry Diallo, à la suite d’une plainte pour viol déposée par Boubou Diouf Tall, magistrat détaché au ministère de la Justice et sa fille Aissatou Tall. Il lui est reproché d’avoir forcé la jeune fille à entretenir avec lui des rapports sexuels. Il se trouve que Cheikh Yérim Seck avait une relation amoureuse avec cette jeune fille, rencontrée lors d’une émission de télévision sur le monde étudiant. C’est le coup de foudre, et la célébrité du garçon aidant la jeune Aissatou, 20 ans, s’entiche de lui et deux semaines durant, les deux tourtereaux s’envoient des sms langoureux et même parfois incandescents, surtout de la part de la jeune fille, dont les messages restés sur le cellulaire de Cheikh Yérim Seck, et présentés à la gendarmerie, révèlent malgré ses 20ans, un désir certain pour le journaliste vedette. Les choses se précisent et rendez-vous est pris entre les deux amants pour un câlin à l’hôtel Keur Madamel, ce dont ils conviennent pour ce samedi en fin de matinée.
Sans la tirer par les cheveux, ni lui avoir fait boire une drogue euphorisante, elle le suit dans une chambre de cet hôtel, et là, nul ne sait ce qui s’est passé, sauf que les deux amants ont eu effectivement un rapport sexuel. Forcé ? Pas forcé ? Toujours est-il que les deux ressortent de l’hôtel sans que les préposés à la réception ne perçoivent de troubles majeurs chez la jeune fille, qui monte tout de même dans le véhicule de Cheikh Yérim Seck, pas du tout comme quelqu’un qui vient d’être violentée et violée. Cheikh Yérim Seck, dont le corps ne porte aucune trace d’égratignure ni de coups, dépose la jeune fille à son domicile et rentre, pendant que Aissatou quelque peu ébranlée et affolée par le sang qui lui vient, consécutif à l’acte sexuel, et affolée par les conséquences de son geste amoureux s‘ouvre de ses tourments à sa sœur, laquelle alerte sa mère, qui à son tour révèle la catastrophe à son mari. Lequel a un amour paternel énorme pour cette enfant qui est tout pour lui et qu’il a éduquée selon des principes rigoureux. Cela va être terrible pour elle.
Elle ne peut accepter de trahir son père ainsi et évoque évidemment un viol, ne pouvant se résoudre à détruire l’image que son père avait d’elle ni pulvériser les rêves qu’il nourrissait à son égard. En plus, Aissatou est sur le point d’aller rejoindre Montpellier pour ses études, et ce faux pas compromet ce projet Fou de rage, Boubou Diouf Tall fonce à la gendarmerie et fait convoquer Cheikh Yérim Seck qui est interpellé et conduit à la caserne Samba Diéry Diallo où il subit un interrogatoire pour déterminer les circonstances exactes de ce qui s’est déroulé à la Résidence Keur Madamel. Il est donc un peu précipité de parler viol.
Cet article est mal intentionné, sinon vous remarquez qu’il dit <> en insinuant les deux halpoulars , c’est minable et lâche .
Nous savons bien que les wolofs occupent pratiquement sans gêne les postes les plus importants de l’Etat et vous ne l trouvez rien à dire.
ILs ont occupé plusieurs fois en même temps les postes: President republique,Senat,assemblée nationale,conseil economique,chef d’etat majors et la moitié des postes ministeriels. Pour vous dire d’arrêter d’être lâche et complexé.