Le Directeur général de la Senelec, Mouhamadou Makhtar Cissé, est intervenu pour trouver une solution au blocage sur les travaux de construction de la centrale à charbon de Sendou d’un montant de 130 milliards francs Cfa. La Compagnie d’Electricité du Sénégal (Ces), créée en 2008 par des investisseurs suédois associé à des Sénégalais, a pour but de construire une centrale électrique à charbon pour renforcer la capacité de production de la Senelec, selon Le Témoin.La centrale à charbon à Sendou (Bargny) d’un coût de 130 milliards F Cfa est une usine de production de 125 mégawatts qui a pour objectif de contribuer à combler le déficit énergétique, si ce n’est pas d’accompagner le Senelec dans l’approvisionnement en électricité, un secteur où la demande est devenue très forte par rapport à l’offre. Mieux, la Ces s’est engagée à augmenter de 30% la production de notre Senelec nationale. Un gigantesque projet qui venait à son heure et qui a suscité l’adhésion de certains bailleurs désirant contribuer financièrement à sa réalisation. Il s’agit de la Banque africaine de développement (Bad) à hauteur de 37%, la Banque de développement néerlandaise (Bdn) à 23%, la Cbao/ Atijariwafa 15%et de la Boad 25%.
Hélas, dès que les travaux ont démarré sous la direction et la supervision des Suédois, la Cbao/Atijariwafa a fait objection pour exiger le doublement du capital par rapport à la taille et aux ambitions du projet. Ainsi, les actionnaires ont fait appel à un fond marocain. Au finish, le capital de la (Ces) serait passé du simple au double avec l’arrivée des Marocains.
Seulement, un an après le début des travaux, des préoccupations environnementales surgissent entre les experts en provenance des différents groupes et bailleurs. Et au-delà de questions environnementales, des désaccords d’ordre stratégique et financier ont surgi entre les deux principaux actionnaires, le suédois Nykomb Synergetics et les associés du fonds marocain qui ont obligé les principaux bailleurs comme la Bad, Boad, Bnd et autres à bloquer les financement du projet. Et, du coup, tous les travaux ont été suspendus !
A en croire un actionnaire sénégalais, les associés marocains voulaient contrôler la direction de la Compagnie d’électricité du Sénégal (Ces) et avoir la haute main sur les travaux. « C’est pour cela que le projet avait été suspendu. Mais, dès son arrivée à la tête de la Senelec, Mouhamadou Makhtar Cissé a aussitôt pris en charge le dossier de cette centrale de Sendou. Aujourd’hui, il a réussi à décanter la situation puisque les travaux ont redémarré sur le site… Le Directeur général de la Senelec, Mouhamadou Makhtar Cissé, est intervenu pour trouver une solution au blocage sur les travaux de construction de la centrale à charbon de Sendou d’un montant de 130 milliards francs Cfa. La Compagnie d’Electricité du Sénégal (Ces), créée en 2008 par des investisseurs suédois associé à des Sénégalais, a pour but de construire une centrale électrique à charbon pour renforcer la capacité de production de la Senelec, selon Le Témoin.La centrale à charbon à Sendou (Bargny) d’un coût de 130 milliards F Cfa est une usine de production de 125 mégawatts qui a pour objectif de contribuer à combler le déficit énergétique, si ce n’est pas d’accompagner le Senelec dans l’approvisionnement en électricité, un secteur où la demande est devenue très forte par rapport à l’offre. Mieux, la Ces s’est engagée à augmenter de 30% la production de notre Senelec nationale. Un gigantesque projet qui venait à son heure et qui a suscité l’adhésion de certains bailleurs désirant contribuer financièrement à sa réalisation. Il s’agit de la Banque africaine de développement (Bad) à hauteur de 37%, la Banque de développement néerlandaise (Bdn) à 23%, la Cbao/ Atijariwafa 15%et de la Boad 25%.
Hélas, dès que les travaux ont démarré sous la direction et la supervision des Suédois, la Cbao/Atijariwafa a fait objection pour exiger le doublement du capital par rapport à la taille et aux ambitions du projet. Ainsi, les actionnaires ont fait appel à un fond marocain. Au finish, le capital de la (Ces) serait passé du simple au double avec l’arrivée des Marocains.
Seulement, un an après le début des travaux, des préoccupations environnementales surgissent entre les experts en provenance des différents groupes et bailleurs. Et au-delà de questions environnementales, des désaccords d’ordre stratégique et financier ont surgi entre les deux principaux actionnaires, le suédois Nykomb Synergetics et les associés du fonds marocain qui ont obligé les principaux bailleurs comme la Bad, Boad, Bnd et autres à bloquer les financement du projet. Et, du coup, tous les travaux ont été suspendus !
A en croire un actionnaire sénégalais, les associés marocains voulaient contrôler la direction de la Compagnie d’électricité du Sénégal (Ces) et avoir la haute main sur les travaux. « C’est pour cela que le projet avait été suspendu. Mais, dès son arrivée à la tête de la Senelec, Mouhamadou Makhtar Cissé a aussitôt pris en charge le dossier de cette centrale de Sendou. Aujourd’hui, il a réussi à décanter la situation puisque les travaux ont redémarré sur le site…
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