« Personne n’acceptera que des gens puissent décider de qui va faire parti ou pas de la coalition de l’opposition en imposant des tickets d’entrée » a assené Thierno lors de son point de presse de ce lundi.
« Lorsque j’ai fait mon poste, beaucoup se sont demandés , est que mon compte n’a pas été piraté ?» , a-t-il ajouté.
Par ailleurs, le leader du mouvement Agir se veut être claire, « Par rapport à la coalition de l’opposition j’ai été très claire, je parle avec Khalifa Sall, Ousmane Sonko et Karim Wade. J’ai le droit de m’adresser eux, car je les ai soutenu tous quand ils étaient dans des difficultés, par principe ». Il poursuit, « Quelqu’un m’a une fois dit que le pays manque de démocratie, car qui exprime son opinion est de fait insulté. Je lui ai répondu non, le pays ne manque de démocratie mais des gens qui ont le courage de dire ce qu’ils pensent ».
Thierno d’affirmer , « Si nos guides religieux n’avaient pas le courage de dire non face à la colonisation, aujourd’hui nos références seraient de blancs. C’est pourquoi nous faisons partis des gens qui ne vont jamais abdiquer face à des tentatives d’intimidation, nous n’allons jamais abdiquer face à la terreur, nous n’allons jamais abdiquer face à une machine qui veut empêcher aux gens dire leurs pensées divergentes à sienne. On est dans quel pays ? On veux nous imposer quoi ? »
Date:
L’une des vérités est que vous n’avez jamais été de l’opposition radicale, mais la complaisante.
Vous aviez aussi préféré idrissa à sonko, c’est aussi c’est une vérité.
Vous vous attendiez à ce que sonko vienne sonner à votre porte, une autre vérité aussi.
Je milite pour une opposition unie, je ne suis pas sur que ce genre de sortie est une solution.
Il faut se parler sincèrement.
Il faut des médiateurs pour trouver la plus grande coalition possible, sans opposition couchée, de préférence.
Je vais me répéter encore une fois, l’opposition sénégalaise doit beaucoup se méfier de ces 3 personnes : thierno bocoum, bougane gueye et thierno alassane sall. Ce sont les vrais taupes de Macky sall. Ce monsieur bocoum a préféré soutenir idrissa seck à la place de sonko, il ne peut pas aujourd’hui vouloir orienter voire imposer les choix de sonko de s’allier à qui il veut ou de venir discuter avec lui pour une quelconque élection. Tes combines ne passeront petit politicien.
bilaye walaye Mr Diedhiou. VOUS AVEZ TOUT DIT!
Ndeyssane Tierno Bocoum n’a maintenant que ses yeux pour pleurnicher ! Toi-même tu as refusé de choisir le camp de la vérité et du courage quand il fallait le faire ! Tu as malhonnêtement soutenu le Yolom Guénio national Sonko Fusilleur qui bel et bien sodomisé une pauvre jeune fille qui a l’âge de son fils aîné Mohamed, et pris en flagrant délit avec des preuves accablantes, il a cyniquement appelé à un criminel « mortal combat » qui a sacrifié 14 jeunes, blessé des centaines de citoyens y compris de nombreux policiers et gendarmes, et détruit par milliards des biens publics et privés. Tu es quelque part responsable de cette tentative de déstabilisation du pays Bocoum, donc ne viens pas maintenant pleurnicher et ameuter l’opinion. Toi comme tous les autres nafèkhes de l’opposition qui crient aujourd’hui à la trahison ! Je le dis depuis des années et des années, Sonko Fusilleur a toujours été un manipulateur, un amateur, un populiste, un immoral et un dangereux déstabilisateur. D’ailleurs il sait lui-même que tôt ou tard il payera cher sa forfaiture, mais vous qui le dénoncez aujourd’hui vous n’auriez jamais dû le défendre par pure hypocrisie et pur opportunisme. On sait que tous les mots que Bocoum emploie ici « tentative d’intimidation » « terreur » « insultes » sont adressés directement à Sonko Fusilleur et sa clique, mais tant pis pour vous… vous avez déjà perdu les locales…
ya meune doul, mythomane
Doom Ja Baay Ja. Voilà le digne fils de Idrissa Seck, Jaloux et sournois.
En tout cas tout laisse croire que tu as voulu sauve tes propres intérêts que celle d’une opposition forte réunie. Il est très difficile de réunir les sénégalais car ayant des egos démesurés. Il est utopique de vouloir réunir toute cette opposition avec autant de chefs de partis et de mouvements.