Cette lettre ouverte s’adresse à Monsieur Malick GACKOU, digne fils de la belle ville de Guédiawaye, Président du Grand Parti et candidat à l’élection présidentielle 2019.

De surcroit, nous, membres de la Diaspora et originaires de Guédiawaye, partageons avec
vous un amour et une affection indéfectibles pour cette ville qui nous est si chère.
Guédiawaye, plus qu’autre chose, est notre dénominateur commun.
Notre appartenance au Sénégal, ce pays qui nous a tout donné, ce pays qui reste dans nos
cœurs malgré la distance, est encore beaucoup plus profonde. Militants et sympathisants
du Grand Parti et ceux de PASTEF-LES PATRIOTES partagent, au-delà de toute
appartenance politique, cette identité Sénégalaise qui fait de nous tous, quelque soit notre
appartenance politique, des frères et des sœurs de la même grande Nation.
Aujourd’hui, ces deux trésors que nous partageons, et qui scellent notre alliance
désintéressée autour du commun sénégalais, sont en train d’être dégradés sous l’œil triste
et impuissant du citoyen Sénégalais.
D’abord, notre belle ville est tombée entre les mains d’un Maire qui ne peut aucunement
se prévaloir d’une quelconque forme d’appartenance ou d’identification à la réalité et au
vécu de ses habitants. Insensible et complètement déconnecté du quotidien des fils et des
filles de Guédiawaye, le Maire « étranger » a complètement plongé notre belle ville dans
le statu quo : pauvreté, promiscuité, insécurité et insalubrité. Comme si cela ne suffisait
pas, notre Maire fantôme entreprend l’inauguration d’une mosquée dans un folklore
notoire. Monsieur Gackou, Guédiawaye est aux abois !
Comme si cela ne suffisait pas, le grand-frère du Maire « étranger » a achevé son œuvre
pour notre cher Sénégal: décrédibilisation des pouvoirs législatif et judiciaire, violation de
la sacralité de la Constitution, fragilisation des traditions républicaines, expropriation des
ressources économiques, promotion du népotisme, etc. À ce tableau peu enviable,
s’ajoutent des pratiques aux relents dictatoriaux : emprisonnement d’adversaires
politiques, restriction de la liberté d’expression et utilisation des ressources de l’État au
service de sa formation politique.
Monsieur GACKOU, vous êtes vous-mêmes victime de la machination politique à travers
cette forfaiture drapée sous le nom de « parrainage ». Quand le petit-frère vous défie à
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Guédiawaye, le grand-frère vous barre la route de la magistrature suprême. Nous, membres
de la Diaspora et fils et filles de Guédiawaye, manifestons notre soutien à votre endroit, à
l’endroit de tous les militants et sympathisants du Grand Parti et à l’endroit de tous les
Sénégalaises et Sénégalais épris de justice et de démocratie.
Monsieur GACKOU, notre bourreau actuel, le Président de la République du Sénégal, qui
a fini de montrer ses limites d’homme d’État et d’homme de dialogue, gouverne par la peur
et tient sous ses bras l’administration de la justice. Pire, il s’est entouré de vieux requins de
l’ancienne classe politique et se permet d’acheter le soutien (ou la dignité) d’hommes
politiques rejetés par la conscience collective, et qui ne vivent que de la transhumance et
du clientélisme politique.
Face à ce spectacle peu reluisant qui se déroule dans le pays que nous chérissons, nous,
membres de la Diaspora et originaires de Guédiawaye, croyons profondément qu’il est
impératif que des leaders comme vous, digne fils de la ville des cinq communes
d’arrondissement, se dressent entre le Peuple et l’Oppression. Cette détermination que l’on
vous reconnait, et qui s’est traduite par votre engagement à tout donner à Guédiawaye et
au Sénégal, n’est rien d’autre que l’expression la plus digne du patriotisme.
Monsieur GACKOU, votre amour pour le Sénégal rejoint parfaitement la vision de la
coalition SONKO Président et de son leader Ousmane SONKO: pur produit de l’école
sénégalaise, serviteur de l’administration publique, député du peuple, patriote et
panafricaniste.
Le Grand Parti, dans sa valeur intrinsèque, partage fondamentalement l’offre politique de
la coalition SONKO Président, fondée sur le patriotisme et centrée autour de trois
principes : la nécessité de « démarchandiser » la politique, la nécessité de trouver de
nouvelles voies de développement économique et social et la nécessité de redéfinir le
contrat sociétal qui lie les sénégalais.
Monsieur GACKOU, une alliance entre le Grand Parti et la coalition SONKO Président,
éclairée par cette flamme du patriotisme dont les
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nationaux et la sauvegarde des valeurs sacro-saintes qui constituent le ciment social de
notre chère Nation.
Frère GACKOU, nous, fils et filles de Guédiawaye vivant dans la Diaspora et soucieux du
bien-être des fils et filles de notre cher Sénégal, vous demandons solennellement de
rejoindre ce mouvement patriotique, la coalition SONKO Président, afin de contribuer
pleinement à l’éclosion d’un Sénégal fier, digne, riche et tourné vers le développement.
L’avenir, c’est maintenant !
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