« Ma candidature n’est pas négociable »
NETTALI.NET – C’est Pikine que Cheikh Bamba Dièye a choisi, samedi, pour fêter ses 46 ans et tenir son meeting d’investiture en perspective de la présidentielle de 2012. Justement parlant de la prochaine présidentielle, le secrétaire général du Front pour le socialisme et la démocratie/Bennoo Jubbël (Fsd/Bj) a dit à qui veut l’entendre que sa candidature n’est pas négociable.
Que les autres candidats à la présidentielle de 2012 ne comptent pas sur Cheikh Bamba Dièye pour soutenir leurs candidatures. Le leader du Fsd/Bj ne renoncera pas. Cheikh Bamba Dièye, par ailleurs maire de la ville de Saint-Louis, l’a encore redit samedi au cours d’un meeting tenu à Pikine. « Ma candidature n’est pas négociable. Il faut que l’on arrête de parler de l’expérience de l’Etat. Il faut avoir seulement le sens de l’Etat et de la justice », a-t-il laissé entendre. Aussi dénonce-t-il « le comportement peu orthodoxe qui prévaut dans le choix de candidat au sein de Bennoo ». Et de s’interroger : « Comment peut-on refuser à un jeune homme qui, du reste, ne l’est plus puisqu’il vient de fêter aujourd’hui (samedi) ses 46 ans, de ne pas être candidat aux joutes électorales de 2012 alors qu’il y a 30 ans, le pays avait élu un homme de 45 ans (Abdou Diouf, ndlr) comme président ? ». « Le Sénégal ne peut pas reculer. Ce qui était possible en 1983 est possible aujourd’hui », croit-il savoir.
Parlant de la proposition de Talla Sylla qui suggère un référendum sur la recevabilité ou non de la candidature de Wade, Cheikh Bamba Dièye s’est refusé à tout compromis. Aussi s’oppose-t-il à une telle proposition. « Cette candidature n’est pas acceptable. Il ne peut pas avoir de compromis ni une dérogation sur cette affaire car Wade ne peut pas être candidat. De plus, le Sénégal a tout donné à Wade, c’est lui qui nous doit. »
NETTALI.NET
Cheikh Bamba Dièye a fait un pas de plus en direction de la présidentielle de février prochain. Le leader du Front pour le socialisme et la Démocratie/ benno jubal (FSD/bj) a été investi le week-end dernier à Pikine, lors d’un meeting qui a rassemblé dans la banlieue, militants et sympathisants de la région de Dakar auxquels se sont joints des délégués d’autres régions ; La manifestation a été organisée par la coordination régionale du Parti dirigé par le maire de Saint-Louis.
Cheikh Bamba Dièye a saisi l’occasion pour répliquer aux détracteurs qui, en plus de le trouver « un peu trop pressé », au regard de son âge, lui reprochent sa démarche en dehors de Bennoo Siggil Sénégal. Pour démonter les arguments relatifs à sa jeunesse, le leader d FSD/bj est allé chercher son exemple dans le cas de Abdou Diouf, rappelant que ce dernier avait le même âge que lui, au moment de son accession à la magistrature suprême.
« Comment peut-on, insinuer que je ne dois pas me présenter pour gérer ce pays, alors qu’un ancien président du Sénégal l’a fait à mon âge » ? s’est-il interrogé avant d’insister sur ses 46 bougies qu’il vient de souffler. Le maire de Saint-Louis s’est ensuite appesanti sur la marche du pays, trouvant le Sénégal « gangrené par la corruption ». Dans un Etat de droit, a-t-il ajouté, « les chances doivent être égales » et dans le cas du Sénégal, il devrait en être ainsi entre tous les citoyens.
Dans son tableau des maux dont souffre le peuple, Cheikh Bamba Dièye a évoqué « les affres des inondations », ce qui lui fait dire qu’il faut maintenant un « Sénégal de rupture ».
Interpellé sur le rejet par le Président Wade de la proposition du Comité de veille d’institution du bulletin unique, Cheikh Bamba Dièye s’est dit étonné par l’attitude du Président de la République invoquant ne question de coût. Selon Dièye, une telle option mettrait tous les candidats à égalité et personne ne serait surpris, le jour du vote, de constater que son bulletin aurait été soustrait ou mal imprimé. Il voit dans l’attitude de Wade, une volonté d’utiliser « tous les artifices en sa possession pour orienter le choix du citoyen dans un sens ou déséquilibré ». Selon lui, « c’est cela qui pourrait faire le lit de la violence ».
« La paix se construit dans le souci de donner à tous les compétiteurs une exacte mesure de leur responsabilité en les égalisant « . Le maire de Saint- Louis avertit : « il ne faudrait pas que dès le départ on ait le sentiment que la fraude sent partout et à tout les nouveaux ; il ne faudrait pas que dès le départ, nous sentions que la peur de perdre poussent certains à revenir sur leurs engagements ».
Le candidat du FSD/bj n’entend en outre faire aucune concession concernant la candidature de Wade « Quand on ne négocie pas avec des formations politique comme le Jef jef , le Rnd , le fsdbj pour la fixation de la caution, quand on leur impose une caution largement au-dessus de leurs moyens et qu’ils l’acceptent, comment voulez vous que parce que Wade est en situation défavorable on lui fasse dérogation ou un compromis sur la Constitution pour sa candidature ? C’est inacceptable », a martelé Cheikh Bamba Dièye
SUDONLINe.sn
Pour quitter sa place de 144é pays sur 193 le Sénégal ne peut s’appuyer que sur des hommes sûrs et éclairés comme Cheikh Bamba. Actuellement de voir de jeunes sénégalais, au 21ième siècle, s’attachant les Services de candidat comme Idy avec une légèreté et une impertinence qui frise l’inculture, l’idiotie et la cancriadise. C’est dire que les « farba senghor » sont encore nombreux dans notre pays en voulant entacher l’image de CBD par des concepts « de jeunesse, d’inexpérience avec une manière si terre-à-terre qu’on se demande si on est au de la pertinence.
Avec grands universitaires et autres sénégalais dignes des temps modernes du FSDBJ marquera le tourant du Sénégal en février 2012. Ayant comptabilisé 32 ans d’études et 10 d’Expérience au Sénégal et à l’étranger, je suis au service de l’une des plus prestigieuses institutions internationales au monde, et pourtant je suis le plus nul de ceux qui partagent totalement la vision et les valeurs incarnéees par Cheikh Bamba Dièye. Nous sommes nombreux avec lui (pas pour s’enrichir, car Dieu merci de nous avoir accorder beaucoup de biens matériels licitement acquis), mais pour s’accorder avec des personnalités comme lui et des sénégalais de valeurs pour tirer notre Sénégal des abîmes. Une situation à laquelle la plupart des candidats sont comptables. Faire état d’une solitude de Cheikh, de manques moyens ou d’absence de programme relève d’une ignorance de jeunesse.
ABDOU DIOUF AVAIT 45 ANS AVEC 10 ANS DEXPERIENCE COMME PREMIER MINISTRE DU SENEGAL…ARRETEZ C B DIEYE!
et obama alors?les fonfonctions presidentielles et celles de premier ministre n ‘ont rien a voir….c toi qui doit arreter « abzo ».Le senegal de rupture » nous l’auront incha alla
halte aux voleurs commme wade idy macky tanor et niass
ON A BESOIN DU NEUFF
mais expérience en quoi, en pillage, détournement ou en développement du Sénégal; Voilà les gens comme Abzo qui font certainement honte même à leur famille. C’est cette médiocrité là qui maintient le sénégal encore aux abîmes. Peux-tu au moins répondre à Galo…c’est vrai pitiant.