Abdoulaye Wade ou le gâchis d’une vie.
L’éternel rancunier rentrera par une petite porte dérobée de l’histoire.
De Versaille où il se la coule douce, avec sa moitié, Viviane Wade, dans la somptueuse villa de cette dernière, Me Abdoulaye Wade n’arrête pas de se faire parler de lui. Entre attaques incessantes sur fond de calomnies périphériques contre Macky Sall, des appels désespérés à l’unité des libéraux autour de sa personne, l’homme parle, parle. Insconscient de parler pour ne rien dire, Abdoulaye Wade n’a toujours pas pris la mesure du rejet dont il fait objet dans le coeur des sénégalais. Il garde une dent contre Macky Sall. Il ne lui pardonne pas de l’avoir battu à l’élection présidentielle du 25 mars 2012. Comme si ce n’était pas le peuple qui a voté à 65% en faveur de Macky Sall au second tour de la présidentielle.
Rancunier. Pronfondément rancunier. Voilà le qualificatif, sans verser dans un psychologisme béat, qui sied à la personnalité de Me Abdoulaye Wade. L’histoire politique du Sénégal, qu’il a voulu toujours marquer d’une empreinte indélébile, retiendra bien son nom. Hélas pas dans le sens qu’il souhaitait. Il ne rentrera pas par la grande porte de l’histoire comme Senghor et Cheikh Anta Diop à l’endroit desquels il a nourri de leur vivant, jalousie et envie. Mais par la très petite porte dérobée. Ses compagnons politiques et générationnels le décrivent comme profondément haineux, ayant peur du vide, jaloux du succès des autres. De Serigne Diop à Ousmane Ngom en passant par feu Boubacar Sall, surnommé le lion du Cayor à cause de son indéfectible courage, Fara Ndiaye, Idrissa Seck, Aminata Tall et Macky Sall tous ont goûter à l’amer sauce du pape du sopi. Chacun garde le souvenir d’un jour où sa carrière politique ou intellectuelle a basculé. Le triste feuilleton de la destituion de Macky Sall à la présidence de l’assemblée nationale est encore frais dans la mémoire collective. Me Wade qui ne fait jamais les choses à moitié quand il décide de sévir a poussé au dépôt de l’amendement à l’origine du départ de Macky Sall du perchoir de l’assemblée nationale. Serigne Diop a gravé dans le marbre l’humiliation que lui a fait subir Me Wade. C’était en 1986. Serigne Diop doit se présenter à l’agrégation en économie. Mais la brouille d’avec Me wade, à quelques semaines de sa présentation au concours, ne lui facilitera pas la tâche. Révolté par l’initiative de Serigne Diop de créer son PDS-R (parti démocratique sénégalais-Rénovation), Me Wade lui demande de lui restituer tous les documents qu’il lui avait passés pour la préparation de l’agrégation. Tant pis si Serigne Diop, pourtant l’un de ses premiers compagnons politiques, échoue à l’agrégation. Seulement le destin en décidera autrement. Serigne Diop réussira son agrégation quand même. Quant à Boubacar Sall ses années de combat auprès de wade ne sont pas récompensées par ce dernier. Aucune reconnaissance du combat politique du lion du Cayor. On se rappelle tous de l’image triste de l’épouse de Boubacar Sall, éplorée par le décès de son mari, sur la RTS remerciant Abdou Diouf du soutien financier qu’il a apporté à son mari durant sa très longue hospitalisation à l’hôpital Principal de Dakar. Aucun mot de remerciement à l’endroit de Me Wade dont Mme Sall dira qu’il n’a même pas rendu visite à Boubacar Sall pendant son hospitalisation. Mais c’est Me Abdoulaye Wade. Ses aliés politiques objectifs l’ont découvert aussi à leur dépend. Abdoulaye Bathily, Amath Dansokho, Moustapha Niass ont combattu à ses côtés lors de l’élection présidentielle de 2000. Sans état d’âme, Me Wade, une fois élu Président de la république décdide d’écarter ces alliés encombrants. L’euphorie de la victoire d’Alternance 2000 ne sera que de courte durée. La mise à l’écart de ces leaders savamment calculée signe l’arrêt de mort du mouvement unitaire de l’opposition qui a entraîner la défaite d’Abdou Diouf. L’homme Wade est complexe et riche en contradictions dialectiques. Je ne peux pas marcher sur des cadavres pour accéder au pouvoir, disait-il en 1988 à certains de ses compagnons qui lui suggéraient de marcher à la tête du peuple sur le palais de la république pour déloger Abdou Diouf accusé par Abdoulaye Wade d’avoir volé la victoire. Mais c’est lui qui appelle tout récemment implicitement le peuple sénégalais au soulèvement contre le gouvernement de Macky Sall dont il accuse injustement d’incompétence et d’avoir abusé le peuple. L’homme se dit profondément démocrate, le clame sous tous les toîts. Recordman des brimades de la presse et de la liberté d’expression, il aura été aussi le seul président de la république du Sénégal à menacer la stabilité religieuse du pays. Sa fameuse sortie, dont vous m’excuserez de ne pouvoir en préciser la nature, contre les catholiques et la raction du cardinal ont marqué les esprits.
Me Wade pense être indispensable. Que nul n’égale son intelligence. Finalement on l’aura compris. Me Wade est un creuset d’amalgames, un assemblage de contradictions, un faisceau de contraires. Un seul homme a véritablement compris Abdoulaye Wade. Un seul l’a compris avant tout le monde. Au milieu des années 70 il lui affligea le surnom qui le suit toujours. Oui Senghor a bien raison de le surnommer NDIOMBOR ou le lièvre. La malice au service de la salle besogne.
Abdoulaye Mbodji
Journaliste (Promotion 2005/ Ecole Supérieure de Journalisme de Paris)
Abdoulaye wade a fait 1000 fois mieux que senghor pour le senegal. Dici 100 ans on ne pourra pas circuler a dakar sans penser a wade grace a ses realisations. Tu na s rien compris
bien dit il na rien comprit ce jounaliste corompu
Bien dit. Bravo.
Dégagez madame le Ministre de la sante, elle est une dormeuse qui soutient l’incompétence dans son ministère. Toutes les initiatives actuelles à la santé sont prises directement par Monsieur le Président de la République. Personne ne sent une amélioration du système sanitaire, c’est la routine. Elle est la parraine du petit directeur incompétent Youssouph ndiaye de abass ndao. Acteurs de la santé mobilisés vous pour ses deux départs.
Le vrai rancunier Abdoulaye Mbodj s’est dévoilé. Ta plume envers Wade, s’est un crachat adressé au soleil.
Le texte suivant n’est constitué que de faits, rien que des faits vérifiables, réels. Contrairement à la bile d’un rancunier.
La grande différence.
Les choses ont commencé avec la « démission » de Fara Ndiaye. J’ai mis démission entre guillemets parce que tous les observateurs savent le travail, en amont, fait par le PS pour obtenir cette démission. Sérigne Diop avait quitté la pirogue bleue. Il avait porté plainte contre Wade pour réclamer la paternité exclusive du sigle PDS. Il a perdu son procès et a été obligé d’ajouter un R à PDS sur le nom du parti qu’il venait de créer. Il s’est opposé à Wade durant deux élections, au moins, tirant plus sur lui que sur le parti au pouvoir d’alors. Wade a tout effacé, tout pardonné et a négocié avec lui son retour au PDS.
Lors des élections présidentielles de 83 le PS avait concocté un plan diabolique contre Wade. Jean Collin recruta Ahmed Khalifa Niass pour aller « emprunter » à Hissène Habré des prisonniers libyens, arrêtés lors de la guerre de la bande d’Aouzou, pour les faire passer comme des mercenaires recrutés par Wade pour perpétrer un coup d’état au Sénégal et évidemment Khalifa Niass devait avouer, cela fait parti du complot. Le casting du film bouclé et les équipement mis en place, lorsque l’avion qui devait ramener Khalifa Niass et ses mercenaires débarque a l’aéroport de Yoff, en bout de piste attendaient les cameramen de la RTS et le ministre de l’intérieur d’alors, Djibo Kâ pour annoncer devant les caméras, avec les images d’arabes libyens en kalachnikovs et les aveux de Niass, que le Sénégal venait d’échapper à un bain de sang grâce à la vigilance du président Abdou Diouf et le professionnalisme de nos forces de l’ordre. C’est l’épouse d’Ousmane Ngom, alors employée d’Air Afrique, qui a pu se procurer les documents prouvant que les billets d’avion de Niass pour Dakar-Ndiaména, et ceux de trois libyens et Niass pour Ndiaména-Dakar ont été payés par Jean Collin. Par une conférence de presse, après les élections, Wade et Ngom révèlent aux sénégalais le modus operendi de cette affaire. Mais trop tard, ils avaient déjà perdu les élections. La bulle médiatique, la stratégie de campagne électorale avait déjà fait son effet. La suite, c’est que, pour cette raison, Mme Ngom a été licenciée d’Air Afrique. Le PS était fort. Aujourd’hui, tous les membres de ce complot sont (ou ont été, après) en collaboration avec le président. Wade a tout effacé, tout pardonné et a négocié avec eux une coalition pour une majorité d’idées avec le PDS. Cela permet de comprendre (surtout pour les nouveaux nés en politique) pourquoi Hissène Habré fuyant le Tchad est venu chercher refuge chez l’ami-président à qui il avait donné un coup de pouce électoral, à savoir Diouf. Et surtout mesurer le pardon de Wade qui refuse de remettre Habré à la justice belge et cela contre la presse, les ONG et l’opposition sénégalaise (dont le PS ancien bénéficiaire du coup de pouce électoral). Je passe l’affaire des armes de Malika de 1978. Là, encore en veille de campagne électorale le PS annonce dans ses médias avoir découvert des armes en quantité énorme dans une maison à Malika et que ses armes étaient entreposées par un opposant qui voulait faire une guerre civile au Sénégal. Et évidemment dans les deux cas les campagnes du PS furent basées sur les slogans : PS=Parti de la Paix. Il n’y avait pas besoin de préciser que de l’autre côté c’est la guerre, les sénégalais ne sont pas des borgnes intellectuels. Ces recettes de campagne de diabolisation pour des buts électoraux et qui font floraison dans les médias sénégalais datent de très longtemps. Les méthodes de la presse actuelle ne sont que de pâles réchauffées.
Ousmane Ngom avait aussi quitté le PDS et créé son parti libéral, pour s’opposer à Wade, se retrouver dans le gouvernement PS, accuser Wade d’être un mauvais musulman qui ne fait pas la mosquée du vendredi, et j’en passe. Mais Wade a cherché durant tout ce temps à le ramener dans le PDS et lorsque l’occasion s’est présentée, Wade a tout effacé, tout pardonné et a négocié avec lui son retour au PDS.
Idrissa Seck avait été exclu du PDS pour des raisons judiciaires. Il a combattu Wade de la façon la plus farouche possible. Mais malgré tout cela, Wade avait tout effacé, tout pardonné et a négocié avec lui son retour au PDS. C’est à la suite de cela qu’il cherche et obtient son exclusion, espérant bénéficier des sentiments de soutien que le sénégalais moyen réserve, en général, aux victimes. Malgré sa tortuosité légendaire, la position officielle au PDS est que la porte reste ouverte pour l’éventuel retour du fils égaré.
Macky Sall a aussi quitté le PDS, pour moi, grâce à un travail réussi de la presse d’opposition qui a su inventer des histoires là où elles n’existent pas, en premier lieu, mais où elles finissent par avoir lieu. C’est que, en général, l’un de ceux qui sont visés par la campagne de déstabilisation a prêté l’oreille à la presse et a commencé à croire. Quand la presse utilise de pareilles stratégies de déstabilisation, la meilleure solution est de se boucher les oreilles. Parce que « seytaané waxul dëgë waayé yakkana xalaat. Ce fut les mêmes types de stratégie pour radicaliser Idy et Aminata Tall. Les mêmes methodes sont entrain d’être tentées avec Souleymane Ndéné. Malgré cela la radicalisation est toujours obtenue par les journalistes du côté de Macky et non du côté de Wade ou de son entourage. Pour le PDS, la porte reste ouverte derrière Macky pour le cas où il souhaiterait revenir.
La même chose peut être observée avec le départ d’Aminata Tall. C’est elle qui se montre radicale. Annonçant qu’elle ne reviendra jamais, mais le PDS laisse la porte ouverte derrière elle.
Face à Wade, le PS a pratiquement toujours poussé ses mécontents vers la porte avec en prime des accusations de corruption et de manque de représentativité.
Djibo Kâ n’avait demandé rien de plus que l’autorisation de créer au sein du parti un courant d’idées. Parce qu’il était devenu flagrant que depuis l’imposition de Tanor durant un congrès sans débats, les taux de mécontentement allait crescendo dans le parti. Donc un courant pour maintenir les mécontents dans le parti en leur fournissant un lieu d’expression dans le parti même. En réponse on lui désigna la porte. Dans le PS d’alors, la pensée était unique et elle était de Tanor, plus d’ailleurs, que de Diouf. Les idées, théories et doctrines étant des créations humaines, si des gens d’idées, de théories ou de doctrines différentes ou opposées sont obligés, par les circonstances, de se retrouver la solution est de créer de nouvelles théories les réunissant. Certains me diront que les positions peuvent être si différentes que cela nécessiterait des contorsions impossibles à réaliser. Ma réponse est que les théories, même, sont des contorsions, toutes les théories. Serait-ce parce que le PS a perdu trop tôt un théoricien de la trempe de Babacar Sine parti sans laisser d’héritiers ? Entre les deux tours d’élections de 2000, Djibo, se retrouvant au point crucial du choix historique, a opté pour sa famille naturelle : le socialisme. Le PS s’est mis à hurler avec les loups. On a parlé de traitrise (par rapport à qui ? A quoi ?). On a parlé de trahison légendaire des peulhs (que nous sommes). Alors qu’une bonne lecture de cet acte par les ténors du PS devait leur faire voir que l’opposition de Djibo Kâ à la mère(le PS) ne pouvait survivre que lorsque la vie, même, de la mère n’est pas menacée. Djibo avait fait un pas vers sa maman (PS) qui n’avait pas compris la main tendue. Or dans cette situation de sacrifice du fils, seule les dirigeants du PS pouvaient le sauver, pas la populace, pas le commun des journalistes qui est du même niveau d’intelligence que la populace. Ces gens là ne pouvaient pas comprendre, ils n’avaient pas les outils nécessaires. Les dirigeants PS, aussi, peut être, étaient dans le même lot.
Moustapha Niass, aussi avait fini par quitter le parti socialiste toujours par la suite des conséquences du fameux congrès sans débat. Le sommet du PS a maintenu la même stratégie. Pour eux, négocier avec un partant, c’est s’humilier.
A la suite la liste n’a pas fini de s’allonger : Robert Sagna, Mbaye Jacques Diop, Abdoulaye Mactar Diop, Souty Touré, Tidjane Dally, Mamadou Diop, Abdourahim Agne, Adama Sall, Aïda Mbodj, Aïda Ndiongue… Le PS et ses journalistes ont maintenu la même réponse : tous des corrompus-vendus ne représentants rien. Le PS, disaient-ils, se séparent de ses bois morts. Et je passe sous silence la longue période de désenghorisation. Et à chaque séparation, le PS a toujours eu des dirigeants que leur égo n’a pas laissé négocier avec un mécontent. Alors qu’un bon dirigeant politique doit avoir un égo soluble. Le PS a surtout raté de belles occasions d’utiliser les talents d’un homme, d’un militant PS depuis toujours et pour toujours. Je veux nommer Hadj Mansour, rompu à la diplomatie de réconciliation. Voilà un homme dont, je suis convaincu, l’utilisation au moment qu’il faut, aurait pu ramener dans le bercail PS tous les mécontents de ce parti. Mais ce serait sans compter avec l’égo hypertrophié des dirigeants de ce parti. Ces accusés par le PS et par le langage populiste d’être des corrompus sont, pourtant, vénérés comme des prophètes par des milliers d’électeurs. La notion de grand électeur n’est pas une invention du Sénégal. C’est une vérité universelle. Il faut savoir faire avec ou, alors, choisir de ne pas faire de la politique. Un grand électeur entraîne dans ses mouvements des milliers de votants, fussent-ils des « moutons ». Et au moment du vote la carte de l’ivrogne-sdf vaut celle du Khalife général. Elles comptent chacune une voix.
Pendant que le PS pensait pouvoir se délester de ses mécontents sans coup férir, Wade engrangeait. Il récupère les grands électeurs du PS, les dissidents des autres partis, propose des coalitions à des partis entiers et négocie des accords d’absorption de partis par le PDS. Il se retrouve avec une coalition de marxiste-léniniste, maoïstes, trotskistes, socialistes, libéraux, progressiste, panafricanistes, nationalistes. Il transcende tous les différents, efface toutes les oppositions, pardonne toutes les offenses. Et vouloir classer tout ce monde dans la seule rubrique des vendus, c’est faire preuve manifeste de paresse intellectuelle ou vouloir surfer sur le populisme. Or le langage populaire a le don d’être facile et reposant, donc ne requiert pas des nuits blanches de cogitation. Mais il ne fait pas, toujours, recette en politique. En tout cas pas à long terme. Une alliance contre nature diront ceux qui surfent sur le langage populiste. Oui, puisque vous êtes obnubilés par les dogmes. Mais en pratique, les alliances contre nature gagnent en 2000 et en 2007. Et ailleurs, dans le monde, des alliances contre nature gagnent souvent des élections. N’est-il pas temps d’en tirer une leçon ?
Xeme.
Çà c’est ce qu’on appelle « voir son bec cloué ».
et après tout ce qui vient de se dire on comprend aisément que notre chère journaliste n’a même pas une idée de notre histoire politique de ces 25 dernières années.
BRAVO XEME
Trop de fautes. C’est triste. Tu devrais nous épargner de ton titre de journaliste, tu aurais plus d’excuse. verbe qui suis le verbe avoir se mets au passé simple. Je suis d’accord avec fond du texte
passé composé et non à l’infinitif
PPFFF ENCORE UN PAUVRE TYPE QUI SORT DE NUL PART ET CHERCHE UN POSTE AUPRES DE MACKY.
MEME TON PERE ET TON GRAND PERE N ONT PAS FAIT UN MILLIEME DE CE QUE MAITRE WADE A FAIT POUR CE PAYS
BOUFFE TON AIGREUR CAR CA N INTERESSE PERSONNE
Il faut bien poser vos mots, étant un journaliste de formation. Abdoulaye Wade est une bête politique, sur ce point nous sommes d’accord, mais dire que son oeuvre est un gâchis, c’est méconnaître et nier complètement une partie de l’histoire du Sénégal. J’ai combatu Wade comme beaucoup d’autres, je dirais même la majorité des sénégalaises. Mais qu’a même il va marquer l’histoire du Sénégal positivement et négativement. J’ai une ferme croyance que Wade sera réhabilité dans un futur proche.
Il a fait de bonnes choses mais son amour démesuré pour son fils l’a perdu. Ce que beaucoup de sénégalais ne lui pardonneront pas. Je pense que la meilleure solution pour sa réhabilitation est de se tenir à carreau et d’adopter cette posture de sage en attendant des jours meilleurs.
« L’éternel rancunier rentrera par une petite porte dérobée de l’histoire. » Seul un psychopathe peut mentir de la sorte. En plus tu es un misérable mythomane Abdoulaye Mbodji. Tu oublies, dans ta Folie, que tu n´es pas le seul sénégalais. En Effet seuls les fous ne voient pas le leg de Wade. WEDDI GIS BOKKU SI. Abdoulaye Wade est entre dans l´histoire par la grande Porte.
moi ce qui me desole mr l’aprenti journaliste,c’est que tu es deja partisant,de maky?je crois,parce que comment peut on pondre un aussi long article sur wade et sur ce sujet,et faire abstraction sur le plus grand complot de l’histoire politique du senegal,pensé et mis en execution par wade et son bras seculier?passer sur le nom de idrissa seck un seule fois entre plusieurs autres et nous narrer le triste feuilleton de la destitution de maky du perchoir de l’assemblee et taire le complot des chantiers de thies,qui a entrainés des degats collatereaux innimaginables(ex.bara tall et des milliers d’emplois perdus à jean le febvre)ou tu veux nous faire oublier le role du premier ministre d’alors bras armés des wade?nous pouvons pardonner mais pas oublier
Quand on veut plaire au Prince et attirer son attention bienveillante en se faisant Zorro ou « répondeur automatique » (pour un poste à décrocher ou à consolider, un témoignage de gratitude ou de solidarité familiale, ethnique ou autre), il faut un minimum, sinon d’honnêteté intellectuelle, du moins d’étoffe, aussi bien du point de vue du niveau de langue que pour ce qui est des idées reçues à défendre. Or, pour le contenu, vous ressassez des balivernes, les arrangeant à votre sauce, nouvelle ou à réchauffer ; et celles-ci sont à l’image du contenant, une « rédaction » d’écolier truffée de délits de langue. Ce n’est pas vrai ? En voici un petit florilège (non exhaustif, puisque je ferme un œil charitable sur la ponctuation catastrophique, le style, etc.) :
De Versaille ;
Insconscient ;
Pronfondément rancunier ;
tous ont goûter ;
rentrera pas par la grande porte de l’histoire ;
à cause de;
l’amer sauce ;
la destituion de Macky Sall à la présidence de l’assemblée nationale;
Ses aliés politiques ;
à leur dépend;
décdide d’écarter ;
qui a entraîner la défaite d’Abdou Diouf ;
contre le gouvernement de Macky Sall dont il accuse injustement d’incompétence ;
tous les toîts. ;
la raction du cardinal;
Est-ce que vous voyez, même après coup, toutes les incorrections ? Nul doute que, pour vous, ce ne sont là, éventuellement, « que des ‘fautes de frappe’ ». Mais, vu votre identité fièrement déclinée, ce sont plutôt des fautes professionnelles.
Apparemment, vous ne connaissez rien d’Abdoulaye Wade, si ce n’est ce que vous en ont dicté vos mentors / commanditaires. Et rien que le titre de votre bave (s’il est de vous) ne vous ridiculise complètement et définitivement.
Traiter Wade d’ »éternel rancunier » ! Même le cas le plus désespéré parmi les pensionnaires de l’Hôpital psychiatrique de Fann ne se serait abaissé à ce niveau d’indigence. Un rappel édifiant : À l’exception notoire de Ousmane Tano Dieng (qui ne pouvait pas), qui n’a pas travaillé / mangé aux côtés de Wade à un moment ou à un autre, et, sans être acculé par sa cour ou sa basse-cour, s’en est allé sur la base des principes, en démissionnant ? Tous avaient fini par rejoindre la générosité de Wade, par la grande porte ou par la fenêtre, chantant ses louanges. Et, que je sache, tous ceux qui l’ont quitté ont dû le faire « à l’insu de leur plein gré ». Au Contraire, ce sont sa clémence, ses largesses et ses libéralités à l’égard de tous, donc justement le manque de rancune du professeur-avocat-politicien Wade, qui faisaient / ont fait son principal défaut en tant que Président. Et, même cela, c’est foncièrement sénégalais.
D’ailleurs, et comme tout être humain, Wade ne pouvait pas être exempt de faiblesses et reproches, à plus forte raison à la tête d’un pays aussi bizarre que notre Sénégal. Mais, en termes d’erreurs vraiment impardonnables, les démocrates, citoyens et panafricanistes objectifs ne sauraient lui imputer, en tant que tel, que deux faux-pas inexcusables (qui l’ont du reste perdu) : intra-muros, les histoires de Karim, d’une part ; la désolidarisation vis-à-vis des Gbagbo, Mugabé, Kadhafi et des autres combattants de l’intégrité africaine, en politique « étrangère » , d’autre part.
Pour tout le reste, ne pouvaient être discutables que le placement des curseurs ou les agendas, pas les options fondamentales qui, toutes (agriculture, infrastructures, nouvelle capitale, Démocratie, Croyance en soi, dédiabolisation et partage de l’argent, démythification et popularisation des fonctions étatiques, NEPAD, diversification des relations internationales, etc..), allaient incontestablement dans la bonne direction de l’émancipation définitive des peuples africains de leurs tutelles millénaires, multiples et variées . Il n’est à regretter que cela fût, malheureusement, sur fond d’une impatience atavique que la fameuse « demande sociale » et le « beugg-lou-yombb » légendaire des « Sénégalais-Européens-Américains-Arabes-Asiatiques » (que nous sommes tous, plus ou moins), mais aussi, et surtout, son amplitude de vie et ses horizons politiques lui imposaient dans une large mesure.
En faisant, malgré tout et à chaque fois que c’était possible, l’exact contraire de ce qu’ils voulaient, il ne pouvait devenir que l’homme à abattre des Occidentaux, en général, des Français, en particulier, dont le « développement » des pays s’est fait aux dépens des Africains, depuis les « explorations » jusqu’à l’ »aide au développement » et la « mondialisation, aujourd’hui, en passant par les « missions », la Traite négrière, la colonisation, les pseudo indépendances, etc… Et leur «weurr-ndombo » de l’extérieur, s’appuyant sur la coalition de leurs vassaux et chevaux de Troie de l’intérieur, ne pouvait finir que par déboulonner Wade, après avoir systématiquement saboté toutes ses initiatives. En effet, dans une société superstitieuse et culturellement mise à terre, et où l’on n’attend son salut (ici-bas et dans l’au-delà) que des autres, l’armature économico-médiatique des lobbys et intérêts néocolonialistes français et occidentaux a pu graduellement construire et lier des stratégies tous azimuts, dans tous les secteurs et à tous les niveaux pour recouvrer ses « biens » (aéroport, port, marchés de véhicules et de construction, bénéfices d’Orange, soutiens diplomatiques etc…) spoliés par Wade, dans ce qui était devenu avec ce dernier leur ex-arrière-pays, presque comme la Côte d’Ivoire de Gbagbo. La curée a pu se mettre en branle, sérier et apprêter tous les naufragés, opportunistes et maîtres-chanteurs, pour l’essentiel des rebuts des écuries de Wade (auquel certains d’entre eux en voulaient à mort de les avoir chassés ou pas servis à la hauteur de leurs appétits). Les différents plans (A, B, C etc…) allaient de la soi-disant société civile (« Y’en A Marre », « M23 », etc…) à Macky Sall, en passant par les Youssou Ndour, Niasse et autres Tanor, sans compter les lilliputiens ex-communistes qui, de leurs leçons marxistes-léninistes mal apprises, n’ont maitrisé que l’exclusivisme des prébendes et la subversion.
Ton (nouveau ?) Patron, Macky Sall, peut s’estimer heureux d’avoir été (comme François Hollande qui a profité des déboires de DSK), le troisième larron du Combat inter-Benno Siggil Sénégal, lui qui, à l’image d’Idrissa Seck, a été littéralement « fabriqué » de toutes pièces par Wade, lui qui a été, plus que « Mara », le disciple et serviteur zélé d’Abdoulaye Wade, lui qui a été, bien avant Karim, le tout premier, je cite l’autre, « ministre du ciel et de la terre » au Sénégal, « ministre d’Etat, ministre des Mines, de l’Energie, de l’Hydraulique, de l’Equipement et des Transports, autrement dit, comme disait quelqu’un, « ministre de l’or, du feu, de l’eau, du sol, du sous-sol et … des routes » !
Tant mieux pour Brutus II, III ou IV ! Et pour vous ! Mais combien de temps vont encore durer ces offensives de Com’ (et de Com’ seulement), de surcroît affligeantes d’amateurisme et de tâtonnement sur les thèmes et variations «C’est Wade/le PDS ! » ? Ce filon a pu faire élire Macky, mais, maintenant, plus d’un an après, le disque est plus que rayé ! Le temps du verbiage fini, les « Sénégalais », qui ont pris l’ombre pour la proie, sortant de leurs illusions, n’étant plus dupes, mais assumant leur erreur historique, comme à chaque fois ! Si vous savez travailler, vraiment, et rendre le peuple heureux, mais allez-y, Bon Dieu ! Des promesses à tenir et beaucoup de pain sur la planche, il y en a pour l’unique chose qui doit valoir pour nous tous, au-delà des individus, éphémères créatures : le développement bien compris de notre pays et de l’Afrique !
Mais, de grâce, épargnez-nous les éternelles tentatives / campagnes de diversion, avec les régulières récitations de leçons, de surcroît mal apprises, mal dites ou mal écrites, comme votre « investissement » d’aujourd’hui !
Pour finir à propos de diombor : Où est-ce que la malice du lièvre de nos contes et légendes est-elle au service de la salle besogne ? Si tout le monde pouvait avoir la moitié de la vie d’Abdoulaye Wade….
Je voulais répondre à cet imposteur de journaliste, mais vu les réponses qui lui ont été apportées, ce n’est plus la peine. Wade, on l’aime ou on ne l’aime pas, on ne peut reconnaître qu’il était un grand bosseur. Rien que dans le domaine des transports, il a fait des avancées vraiment remarquables. Je me souviens que même vers 1999 l’on se battait pour aller à son lieu de travail ou d’étude, y’en a même qui entraient par les fenêtres des cars rapides ou des ndiaga ndiaye. Ca c’est un vieux souvenir parmi tant d’autres. Et c’est important ! Ne parlons même pas de ces lycées ou hôpitaux de proximité qui ont permis à des Sénégalais de sortir de l’ombre (sens figuré mais aussi réel: l’électrification des village a énormément progressé sous Wade).
Wade fut un bon Président, avec ses qualités et ses défauts. Mais il est bien meilleurs que Diouf et Senghor réunis, avec leurs qualités et leurs défauts. 10000 fois meilleurs que Diouf et Senghor. Espérons néanmoins, pour l’amour du Sénégal que Macky Sall fera mieux…
Al Hamdoulilah tout comme mon parent egnabe a qui je dis KASSOUMAY ,je suis soulage et tres fiers de mes compatriotes.Mention speciale a XEME mon frere Wadiste et aussi a MODY SECK TAALY.Cependant permettez moi de vous dire qu’il vous faut une tribune moins etroite que vous offre des incultes de la trempe de ce mediocre journaliste.Oui mes amis rien que pour notre fibre patriotique car c’est cela que le pere WADE nous a inculque a vos plumes ou claviers pour l’eveil de nos concitoyens pour barrer la route a ces mercenaires moyenageux,qui devraient dabord s’atteler au deficit de leur inculture.Mais Abdoulaye Mbodji dafa deugeur bop.
KOU KHAMOULE BOUR SAYE NA….
Il nous faut donc relever le debat a un autre niveau vraiment il n’est pas donne aux profanes de comprendre Wade ALKHOURANE KHADIOULE SI BOPOU KHADJE. Wade a deja fait un large pan de l’histoire politique de ce pays.Nous avons le devoir de pereniser sa vision socle du developpement de note pays et de l’afrique .C’est cela une vie bien plus qu’utile Mr Mboji
il y a bcp trop de fautes dans ce ramassis d’article ! c’est affligent !!!
kii khamoul daaaaaaaaaaaara dara dara dara,je viens de perdre 10minutes de ma vie a lire un article aussi minable et désobligeant;heu sawaay mbodj un conseil d’ami tu t’es trompé de metier,tente ta chance ailleurs,prquoi pas vendeur de cacahuetes?ça t’irait a merveille
« » Le pire de certaines haines, c’est qu’elles sont si viles et rampantes qu’il faut se baisser pour les combattre » !
C’est tout ce que m’inspire l’article dont le contenu n’est qu’un ramassis de contrevérités , compte tenu de ce que Wade Abdoulaye a fait pour son pays! Le Président Macky Sall, ne vient-il pas de reconnaître ses ses limites en avouant n’avoir pas été élu pour construire des infrastructures ?
Evidemment, il est conscient qu’après avoir inauguré le dernier tronçon de l’Autoroute Mame Wade jusqu’à Diamniadio, il n’aura plus rien à inaugurer d’autre, sinon AIBD en 2014 !
Maître El-Hadj Amadou SALL, vos détracteurs sont incapables d’apporter la preuve de ce qu’ils avancent comme nos contradicteurs dans le web ne savent rien d’autre faire que lancer des insultes qu’ils choisissent comme arguments. Evidemment, vous ne dites rien d’autre que de leur demander d’apporter la moindre preuve de ce qu’ils avancent et ils se fâchent quand les questions les gênent. Alors, nous concluons que le hurlement constitue à présent leur mode d’expression, l’intimidation la meilleure façon d’exclure l’opposition du débat politique, l’emprisonnement l’acte dissuasif contre tous ceux résistent à leur rouleau compresseur de la communication, le culte de la personnalité un nouveau genre forcé de les respecter (Son Excellence, Monsieur pour les conseillers et obligatoirement M. Le Président MACKY SALL et non Macky tout court), l’interdiction des manifestations pour faire semblant que les populations les aiment toujours, l’élection de mars 2012 leur dispense de faire fi des règles élémentaires qui accompagnent la Démocratie (droit à la manifestation, liberté de parole, l’existence d’une opposition). Preuve de leur incompétence? Dire que le Président WADE est détesté par les Sénégalais et mobiliser des faibles d’esprit et les esprits faibles pour proférer des injures à son encontre quand les journalistes annoncent sa venue au Sénégal est une incohérence. Vouloir nier l’évidence des réalisations du Président est une forfaiture et un…
Merci son Altesse, même la gastronomie de Macky fait l’objet de communication poussée à l’extrême. Il pose dans les télévisions Sénégalaises avec une natte bien garnie de nourritures pour montrer nous dit-on de sa simplicité alors que les populations ne peuvent pas se permettre des garnitures qu’il expose. En plus, les populations le voient grossir de jour en jour jusqu’à ne pouvoir plus respirer. Les enfants diraient qu’il bisque les Sénégalais et tout le monde est content. Il faut vraiment oser exposer à la face du monde des nourritures que l’on peut partager avec ceux qui ne l’ont pas. Bon, c’est la nouvelle communication que je trouve bête mais vraiment bêtes. On dirait ces anciens colons de la Guinée BISSAU qui se s’asseyaient sur leur balcon pour manger alors que les colonisés mourraient de faim. Pendant que les populations croulent dans les boues entrainées par la pluie; le président lui mange dans le plus grand confort. Il n’est pas le seul diriez-vous mais il symbolise les Sénégalais aussi bien l’opulence que dans le détresse, alors, il faut qu’il soit intelligent pour ne pas frustrer les sensibilités. En tout cas, je n’ose pas faire ce qu’il fait, manger, boire devant tout un peuple qui a soif en faire un objet de communication frôle le cynisme à mon avis. Qu’il mange comme il veut mais qu’il reste discret par respect à ceux qui ne peuvent pas faire comme lui. Un peu de sport ne lui fera pas de mal.