Sans verser dans la laudation, contrairement à ce que certains détracteurs pensent de mes chroniques, sans aucune intention de parti pris, il convient d’admettre, en toute lucidité intellectuelle, que la différence, bien sûr parmi une multitude d’autres, de gestion du pays entre Me Abdoulaye Wade et le président Macky Sall réside, sans contestation possible, dans leurs conceptions de la bonne gouvernance. Wade a tristement brillé par sa faiblesse à instaurer le respect des principes éthiques de la bonne gouvernance, Macky Sall ne fait pas dans la dentelle pour les faire observer scrupuleusement. Des exemples à foison peuvent étayer cette afirmation. karim Wade pour ne pas le nommer. Cet ancien simple employé de banque est passé en seulement douze ans de magistère de son père à la tête du pays, de 2000 à 2012, du statut de modeste salarié bancaire au multi-milliardaire, voire première fortune du sénégal. Considéré par son père, Me Abdoulaye Wade, comme intellectuellement hors du commun, karim wade a géré cumulativement plusieurs ministères. Capable de faire et de défaire, il était le passage obligé de ces nombreux troubadours qui rêvaient d’approcher son généreux de père. Qui pour se voir remettre beaucoup d’argent qui pour bénéficier d’une acsenssion fulgurante. L’ascension politique de Karim a surpris plus d’un au sein du parti démocratique sénégalais. Sans base politique, sans parcourt glorieux, absent aux années de braises du combat politique de son père alors opposant, karim wade était devenu incontournable au sein du parti. Craint et respecté il a porté sur les fonds bâptsimaux, avec bien entendu la bénédiction de son père, la fameuse Génération du Concret dont les coups de pieds aux orientations doctrinaires et disciplinaires du PDS ont fait fuire certains grands ténors du parti et confinaient au silence ceux qui ont choisi de rester dans la barque. A un autre niveau de comparaison, Aliou Sall, le frère de Macky. Lui, a choisi de travailler pour gagner honnêtement sa vie. La presse qui avait commencé à parler de lui, n’a plus jamais trouvé à redire sur l’origine de ses modestes biens. Les explications rationnelles, claires et objectives qu’il a fournies ont obligé les journalistes, qui pensaient avoir en lui l’équivalent d’un karim wade, à faire amende honorable. Sur le plan politique à l’opposé de karim wade, le frère du président a choisi de militer démocratiquement dans son mouvement de soutien à l’action du président.
Autre entorses à la bonne gouvernances de l’ancien régime les attitudes des dignitaires. Des hommes et femmes de l’ancien qui dans leur équipée d’enrichissement illicite ont sucé le sang du peuple jusqu’à la lie. Ils ont détourné des milliards au détriment de ces millions de sénégalais qui ont énormément de difficultés à joindre les deux bouts. Ces pratiques de gabegie qui ont bien fait court dans la république ont évidemment reccueilli l’Amen implicite du sommet de l’état. Un choix que n’a pas fait Macky Sall. Quand, pour des raisons éthiques, qui ne sont bien entendu en rien semblables à celles des dignitaires non enviables du PDS, virer Alioune Badara Cissé, pourtant compagnon de galère politique, c’est sans état d’âme que Macky Sall a pris la décision de s’en séparer. On me dira que Wade ne s’est pas opposé à l’arrestation d’Idrissa Seck. Nous répondrons à ces derniers que l’arrestation de l’ancien maire de Thiès tient moins à des raisons de répression de l’enrichissement illicite qu’à sa volonté égoiste de ne pas partager le gâteau. Autre fait marquant de la différence profonde de conception de la bonne gouvernance entre les deux hommes, les rapports à la presse. Il faut tuer impunément du journaliste a semblé être l’attitude du régime précédent à l’encontre de la presse. Farba Segnhor malgré des preuves tangibles de son implication dans les saccages des locaux de journaux, et le tabassage de journalistes, n’a jamais été inquité. Tout récemment c’est le patron du groupe Wal-fadjri qui nous révèle que Me Wade avait demandé l’épongement de la dette de certains groupes de presse vis-à-vis du fisc. Enfin la découverte du trafic de drogue dans la haute hiérarchie policière et l’éclatement du mythe d’intouchable de ces gradés. Avant l’arrivée de Macky Sall au pouvoir ces pratiques existaient au sein de la police. Personne n’en parle tant l’omerta est grandement entretnue. Le registre des différence conceptuelles recèle d’autres éléments. Le refus d’Abdoulaye Wade de faire procéder à l’arrestation du dictateur tchadien. Usant du prétexte de ne pas céder aux pressions des grandes puissances occidentales Me Wade a protégé Hisène Habré au grand dam des organisations des droits de l’homme qui ont réclamé sa traduction en justice. Une conception de la démocratie que Macky Sall récuse formellement. Hisène Habré est accusé de délit, il doit être jugé en toute indépendance. Voilà la position de Macky Sall. Ces principes de la bonne gouvernance, honnêteté, sens de la république, sens de l’état, qui n’ont pas du tout vécu leurs lettres de noblesse dans l’ancien régime ont eu leurs incidences néfastes sur le développement de notre pays. Reste à comprendre le choix de l’ancien régime à fermer les yeux sur le ponce-pilatisme qui a caractérisé le magistère de wade. Quant a Macky Sall son choix de l’application strict des principes éthiques de la bonne gouvernance était clairement décliné de la précamapgne électorale à la campagne elle-même. Nombreux sont des observateurs qui n’ont pas hésité à interprété cet engagement comme celui de la campagne. La promees électorale n’engagera pas celui qui y a cru, pour paraphraser autrement l’autre. La promsees a bien été tenue. Le scepticisme n’est pas permis dans la volonté de Macky Sall à faire respecter la bonne gouvernance. Le ministère du même nom en est une preuve si besoin est.
Abdoulaye Mbodji
Journaliste (promotion 2005, Ecole Supérieure de journalisme de Paris).
Vous devriez remercier la famille Wade qui représente votre gagne pain à tous. que votre vie et votre ambition seraient insensées sans cette famille
Sawaay boulniou sonal,y’a pas photo entre wade et macky;une gouvernance vertueuse a 100% ça néxiste nul part au monde,wade a fait son temps y’a du positif et du negatif sous son mandat,les senegalais l’ont sanctionné,ma main dans le feu que macky ne fera pas mieux,arrete de nous souler avec tes comparaisons entre wade et macky et dresse nous un article sur la situation actuelle du pays
Mr Mbodj,
Votre texte n’est aucunement diffèrent des 1001 panégyriques laudatrices que les journalistes sénégalais ont bien appris à régurgiter selon le prince du moment. Ce texte serait signé par Bara Diouf (ancien du Soleil) a la gloire de Abdou Diouf ensuite de A. Wade, je n’en serai pas surpris.
Votre manifeste parti-pris ôte de votre texte cet objectivité qui vous a rendu aveugle a la continuité du système prédateur et prévaricateur qui entrave la marche de notre peuple. Votre poulain Sall est bien directement comptable de 7 ans de la calamite-wadd, quoique vous voulez aujourd’hui reecrire l’Histoire en le présentant avec une virginité qu’il n’a certainement pas.
Cato
Tu m’énerves avec tes fautes que même un élève de primaire ne ferait pas. En plus tu signes JOURNALISTE PROMOTION MACHIN.
Sur le fonds Wade fut un calamité mais Macky fera pire que Wade
Votre article est clair et véridique, Macky a bel et bien sauvé le pays de la dilapidation de ses ressources et de l’anarchie wadienne.
tt les dificulté quon vi aujourdhui c la faute a wade et sa famille c des voleur on devé leur maitre tous derier lé baro il la tt dilapidé
je t’attrape encore en train de mentir,ou de surfer avec legerete sur tout ce qui concerne idrissa seck,comment peux tu dire que le complot contre lui etait du à un partage de gateaux?tout en sachant que la raison principale etait le refus de idy de laisser krim entrer dans le gouvernement et melanger ses activites privée et etatiques,la seule raison etait de faire place nette pour le prince,ce que idy à refuser avec la derniere energie,ce que maky à accepter avec des courbettes,la preuve qui a entendu krim sur quoi que ce soit lorsque idy etait premier ministre?tout ce qu’on reproche aujourd’huit à krim,il l’a fait dans un gouvernement dirigé par le premier ministre maky sall,mais comment un ministre peut faire tout ce qu’on reproche à krim sans l’avale de son chef?c’est impossible;ET C’EST CE QU’AVAIT TOUJOURS REFUSE IDY,ET C’EST CELA LA SEULE RAISON DE CE VASTE COMPLOT CONTRE LUI;dirigé de mains de maitre par ton mentor,et ça tu le sais tres bien,donc ne nous parle pas de partage de gateaux ou de chantiers de thies
d’autre part,pour ce qui est de la difference dans la bonne gouvernance,je partage tes analyses,tout en sachant que maky n’a pas le (deugueur fitt de wade) et c’est tant mieux pour le senegal,d’ailleurs nous ne le laisserons pas faire;je veux juste que tu te rapelle parfois que l’homme que tu nous presentes comme tombé du ciel est las depuis 2000,et tous les maux qui nous assaillent aujourd’huit sont passés entre ses mains;je n’ai rien contre le president que dieu nous a donné et j’ai meme un prejugé tres favorable en lui,mais je n’accepte pas que quelqu’un sorte du neant pour nous traier d’amnésique,je peux pardonner,mais pas oublier,ne me presentes pas ton mentor comme quelqu’un qui est meilleur que tous les autres,c’est meme le contraire;je vous donnent l’exemple de notre ex fleuron nationnal les ICS passé entre les mains des indiens en 2005 2006, d’ailleurs je ne comprends pas que la crei ne regarde pas de ce cote,tout c’est passé sous yeux
Cato
Merci d’avoir remarque cette pépite de contradiction dans ce texte partisan. Donne a ce type de Senegalais 1 minutes et il va se contredire au moins 1 fois. C’est le minimum des effets nocifs de la partisanerie.
Comme quand vous soutenez mordicus que wadd n’a jamais fait son waxwaxeet in direct aux Almadies.
Birds of the same feather flock together, someone once said.
Wade ne l’a jamais dit. Est ce que tu as écouté?
@Monsieur « beugue beurré, bagne beure wade 75% au 1er tour »
Absolument bien ecoute et vu les levres du vieux shmuck prononcer et répéter ces mots, j’etais bien présent et bien impregne du contexte. Pas besoin d’enregistrement pour « comprendre » l’audience s’esclaffer de rire comme dans un show de vaudeville pour le plaisir du « prince ».
Cato