Mais qu’est-ce qui se passe entre Tandian et Madiambal, deux patrons de presse voisins et qui faisaient partie du groupe des «chinois» (C’est-à-dire les patrons de presse qui étaient dans les bagages du prince Karim lors de son périple au pays de la grande muraille, ancien berceau du communisme pur et dur) ? Un premier accrochage avait eu lieu après un titre provocateur du journal «Le quotidien» qui avait traité de «monnaie de singe» la contribution de Tandian en faveur des basketteuses championnes d’Afrique.
Un duel sans merci s’ensuivit mais stoppé, fort heureusement, par un armistice signé autour d’un dîner copieux dans un restaurant de la place, offert par Jacques Diouf de la FAO. Dîner au cours duquel, les deux célèbres ennemis, assis côte à côte, se comportaient comme deux larrons en foire et dérangeaient même par leurs éclats de rire. (voir Icône N°52). Mais curieusement et contre toute attente, les potes de Madiambal ont recommencé leurs salves, dans l’édition du mercredi 5 mai 2010. Salves qui firent sortir M. Tandian de ses gongs et qui, dans un éditorial au vitriol, s’employa à lapider Madiambal et tout ce qui touche à lui. Morceaux choisis : «Rien ne nous fera dévier de notre mission
Clash des stars. Baba Tandian/Madiambal Diagne, Waterloo à Yoff: Jacques Diouf de la Fao joue les pompiers
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