C’est dans les moments de troubles que sa présence manque le plus au Sénégalais. Mame Abdoul Aziz Sy Dabakh se donnait pour mission d’œuvrer pour la paix dans le pays. L’Afacs lui a dédié une conférence islamique hier au Cices.
Il jouait «un rôle de régulateur» dans la société sénégalaise, prévenait les conflits et aplanissait les différends. Les troubles que traverse le Sénégal sur le plan politique font que «les esprits se tournent vers lui». Lui, c’est Abdoul Aziz Sy défunt khalife général des tidianes et plus connu sous les appellations affectueuses de Mame Abdou ou Dabakh. Cet homme a pris son bâton de pèlerin, pour aller partout où l’on avait besoin d’un médiateur, explique Serigne Cheikh Mbacké Laye, qui animait ce dimanche une conférence sur la vie et l’œuvre de cet «homme de paix».
Lors de cette conférence organisée par l’Amicale des femmes de l’aéronautique du Sénégal (Afacs), Serigne Cheikh Mbacké Laye a insisté sur le rôle de fédérateur que jouait, en tout temps, Dabakh. D’après le fils du khalife général des Layènes, Serigne Abdoulaye Thiaw Laye, Dabakh «a enlevé toutes les frontières entre les musulmans», et rejetait tout ce qui pouvait créer des dissensions entre les confréries du pays. Mame Abdou était un Cheikh de l’Islam, affirme Moulaye Sy, représentant de Serigne Maodo Sy qui devait présider la conférence.
Disparu en 1997, après 40 ans de khalifat, Abdoul Aziz Sy reste un exemple pour les générations qui lui ont succédé. Pour Moulaye Sy, les enseignements de Serigne Abdoul Aziz Sy sont toujours d’actualité, comme ceux concernant la responsabilité des dirigeants. Mais ce qui caractérisait le mieux le défunt khalife c’est son humilité, qui est naturelle chez lui, explique le conférencier. Son maître coranique, Serigne Hady était même étonné par le calme de son élève qui, témoigne-t-il ne se fâchait jamais, ne faisait de tort à personne et ne se disputait avec personne. Tout cela fait dire à Serigne Cheikh Mbacké Laye que Dabakh était un «bienfait de Dieu». Le marabout œuvrait pour le développement économique du pays et ne se contentait pas des «adiyah» (l’argent que donnent les disciples aux marabouts), préférant vivre de son commerce. Pour finir, le conférencier appelle les politiciens à s’inspirer de cet homme de Dieu qui bannissait les paroles blessantes et la violence, le lot de certains politiques qui veulent coûte que coûte garder leur poste.
Stagiaire lequotidien.sn
Mame ABDOU DABAKH Yalla na Yalla yokk leeral te taas nu ci barkeem. Ce layéne est quelqu’un de niakk kignaane. Seul un homme bon peut reconnaitre la bonté de son prochain
ki;ki;ki que le bon DIEU lui accuielle dans son Paradi
Que Dieu lui reserve les recompenses les plus elevees
Unique dans sa génération et meme audela . Il n’y aura plus personne pour jouer le role qu’il nous a laissé .C’est en ce momenet la qu’on souhaitait vraiment sa présence dans ce pauvre ou toutes les consciences sont détuites ; on préfere l’argent a la place de la vérité et un marabout a la place de Dieu :que le bon Dieu nous met en garde . Amiiiiiin
Yalla na yalla doli aye leer si Mame Abdou Aziz SY,le mediateur de l,islam Amine. Yalla na nou Yalla maye ak degue degue si barke yonetabi (PSL) Un grand merci a cheick Mbacke LAYE qui ne cesse de nous rappeler les enseignements des grands guides religieux du monde et particulierement au Senegal.Dieuredieufffeti Laye Macktar qu,Halla vous benisse. Amiine.
Bay Lay rekay dara kéne dou dara. Cheikh waxal sa mame Limamou lay miy Rassoulou lahi sala lahou aleyhi wa salam.
Yaw Cherif nga yamoo ak ay marabou. Ndax foré ak noubouwa dou
bilahi layene yi nioy ay nitti deug… lecon bou makk la diokhé nienene ni ana loutakh manou wakh lou bakh si les ayenes alors niom danou lene beug walla danouy bagn sounou ko wakhé senne talibés ni kom k moungui nouy diokh ay lecon si layene yi donc si yonou deug lanou nék… ayway li niawna