« Comment déterminer l’impuissance chez un homme ? »
Certains cas d’impuissances sexuelles ou même de simples dysfonctionnements érectiles ont toujours trouvé un remède à partir des plantes médicinales. Ces dernières commencent aujourd’hui à avoir beaucoup plus d’adeptes que de détracteurs au niveau de la population à cause des effets bénéfiques qu’elles procurent. Et, si vous souffrez d’un problème pareil, n’hésitez pas à tenter les solutions suivantes :
Placez au fond d’un canari une racine de Strychnos spinosa coupée en neuf morceaux ayant chacune la longueur du majeur, une ou deux poignée de Xylopia aethiopica et verser sur le tout des gâteaux de miel frais écrasés dans une certaine quantité d’eau. Fermer hermétiquement le récipient qu’on place dans un coin retiré où il doit rester trois à sept jours. Ce délai passé, boire chaque matin, à jeun, une portion du contenu du canari. Bon excitant, ranimant le membre viril qui il rend toute sa vigueur.
Nettoyer légèrement des racines de Ximenia americana qu’on racle ensuite à fond. Faire sécher ensuite la raclure au soleil puis la piler en y ajoutant du sel gemme et une poudre de Cyperus esculentus et quelques gousses de piment. Tamiser le produit obtenu pour avoir une poudre fine. Le soir, absorber une pincée de celle-ci dans un bouillon de viande. Rend le sperme abondant et combat aussi l’impuissance.
Prendre (boisson) une décoction sucrée de racines de Hymenocardia acida et un tout petit morceau d’une racine de Cassia sieberiana. Facilite l’évacuation des urines, donne l’appétit et fortifie le membre viril.
Boire quotidiennement une semaine durant, une décoction de rameaux feuillus de Daniella oliveri, de Hymenocardia acida et de Bauhinia reticulata. Faire surtout usage de ce médicament pour développer le membre viril atrophié.
Prendre (boisson) de temps à autre une eau miellée ou sucrée dans laquelle ont séjourné des racines de Cassia sieberiana ou « sindian », du Capsicum frutescens, du Xylopia aethiopica. Ce même médicament peut être utilisé contre les maux de ventre. Laisser fermenter le liquide avant d’en faire usage.
Découper des racines de Boscia senegalensis (« ndiandam ») et de Balanites aegyptiaca (« sump ») dont une partie est à ciel ouvert par suite des ravinements des eaux de pluies. Introduire les morceaux de racines dans un canari contenant une eau et du sel gemme. Placer le récipient ainsi garni dans un coin de la demeure où il doit rester trois jours pleins. A partir du quatrième jour au matin, boire quotidiennement, une semaine durant, une bonne cuillérée en calebasse du contenu du pot.
Bouillir longuement une grande quantité des feuilles de Capsicum frutescens. Filtrer la décoction. Ajouter au liquide filtré du beurre de vache et du miel.
Chauffer légèrement la mixture qu’on laisse refroidir toute la nuit. Le lendemain matin, chauffer un peu le liquide, puis boire à jeun une bonne portion de celle-ci ? Absorber l’autre portion, le soir, en allant au lit. Bon excitant combattant sûrement l’impuissance.
NB : Le dysfonctionnement érectile n’est parfois qu’apparente. Il est souvent du à la constipation, apanage des personnes qui mènent une existence assise. Une bonne purge suffit pour ranimer le membre viril engourdi.
Comment déterminer l’impuissance chez un homme ?
L’impuissance n’est parfois qu’apparente. Elle est due alors à l’émotion, à l’état sanitaire plus ou moins précaire des appareils digestifs (constipation, maux de cœur, etc.) Pour être certain que le sujet est atteint ou non de l’impuissance, on procède de la façon suivante : Placer l’intéressé sur le dos, puis avec une épingle ordinaire, chatouiller (en grattant légèrement de haut en bas) la partie face de l’une des deux cuisses. Aussitôt les deux testicules entrent en convulsions, se soulèvent et s’abaissent. Quand on constate un tel fait chez un homme, on peut affirmer à celui-ci qu’il n’est pas atteint d’impuissance.
Les testicules ne bougnent pas ou semblent rester inanimés chez une personne atteinte du mal.
(avec sambamara.com)